Dans la préface de son recueil de poèmes Les Contemplations (1856), Victor Hugo répond à ceux qui se plaignent des écrivains qui disent moi : « Ah ! quand je vous parle de moi, je vous parle de vous. Comment ne le sentez-vous pas ? Ah ! insensé qui crois que je ne suis pas toi ! ?
Publié le 08/12/2021
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Ci-dessous un extrait traitant le sujet : Dans la préface de son recueil de poèmes Les Contemplations (1856), Victor Hugo répond à ceux qui se plaignent des écrivains qui disent moi : « Ah ! quand je vous parle de moi, je vous parle de vous. Comment ne le sentez-vous pas ? Ah ! insensé qui crois que je ne suis pas toi ! ?. Ce document contient 0 mots. Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système d’échange gratuit de ressources numériques ou achetez-le pour la modique somme d’un euro symbolique. Cette aide totalement rédigée en format pdf sera utile aux lycéens ou étudiants ayant un devoir à réaliser ou une leçon à approfondir en : Littérature
Dans la preface de son recueil de poemes Les Contemplations 1856) Victor Hugo repond a ceux qui se plaignent des ecrivains qui disent moi Ah ! quand je vous parle de moi je vous parle de vous. Comment ne le sentez-vous pas ? Ah ! insense qui crois que je ne suis pas toi ! ?
Dans la preface de son recueil de poemes Les Contemplations 1856) Victor Hugo repond a ceux qui se plaignent des ecrivains qui disent moi Ah ! quand je vous parle de moi je vous parle de vous. Comment ne le sentez-vous pas ? Ah ! insense qui crois que je ne suis pas toi ! ?
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- A ceux qui se plaignent des écrivains qui disent «moi», Victor Hugo répond dans sa préface des Contemplations : «Quand je vous parle de moi, je vous parle de vous.»En restant dans le domaine de la littérature, mais sans vous limiter au genre autobiographique, vous commenterez ce jugement à l'aide d'exemples précis.
- On se plaint quelquefois des écrivains qui disent moi. Parlez-nous de nos, leur crie-t-on. Hélas ! Quand je vous parle de moi, je vous parle de vous. Comment ne le sentez-vous pas ? Ah ! Insensé qui crois que je ne suis pas toi ! (Victor HUGO). qu'en pensez-vous ?
- « On se plaint quelquefois des écrivains qui disent moi. Parlez-nous de nous, leur crie-t-on. Hélas! quand je vous parle de moi, je vous parle de vous. Comment ne le sentez-vous pas? Ah! insensé qui crois que je ne suis pas toi! » (Victor Hugo.)
- « Ah insensé, qui crois que je ne suis pas toi ! » a écrit Victor Hugo dans la préface des Contemplations. Dans quelle mesure l’expérience personnelle des poètes peut-elle concerner le lecteur ?
- Commentaire lineal CONTEMPLATIONS, VICTOR HUGO (1856), LIVRES I à IV TEXTE 1: "Vieille chanson du jeune temps", I, 19