Dans Entretiens sur le cinématographe, Jean Cocteau déclare : « Je ne crois pas à ce terme à la mode : l'évasion. Je crois qu'au lieu de s'évader par une oeuvre, on est envahi par elle. Ce qui est beau, c'est d'être envahi, habité, inquiété, obsédé, dérangé par une œuvre ». Vous commenterez et discuterez cette opinion en empruntant des exemples précis aux textes au programme et à vos lectures personnelles.
Publié le 20/12/2021
Extrait du document
Ci-dessous un extrait traitant le sujet : Dans Entretiens sur le cinématographe, Jean Cocteau déclare : « Je ne crois pas à ce terme à la mode : l'évasion. Je crois qu'au lieu de s'évader par une oeuvre, on est envahi par elle. Ce qui est beau, c'est d'être envahi, habité, inquiété, obsédé, dérangé par une uvre ». Vous commenterez et discuterez cette opinion en empruntant des exemples précis aux textes au programme et à vos lectures personnelles.. Ce document contient 1394 mots soit 3 pages. Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système gratuit d’échange de ressources numériques. Cette aide totalement rédigée en format PDF sera utile aux lycéens ou étudiants ayant un devoir à réaliser ou une leçon à approfondir en: Français / Littérature.
«
Dans Entretiens sur le cinématographe , Jean Cocteau déclare : « Je ne crois
pas à ce terme à la mode : l'évasion.
Je crois qu'au lieu de s'évader par une
oeuvre, on est envahi par elle.
Ce qui est beau, c'est d'être envahi, habité,
inquiété, obsédé, dérangé par une oeuvre ».
Vous commenterez et discuterez
cette opinion en empruntant des exemples précis aux textes au programme et à
vos lectures personnelles..
»
↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓
Liens utiles
- Dans Entretiens sur le cinématographe, Jean Cocteau déclare : « Je ne crois pas à ce terme à la mode : l'évasion. Je crois qu'au lieu de s'évader par une oeuvre, on est envahi par elle. Ce qui est beau, c'est d'être envahi, habité, inquiété, obsédé, dérangé par une œuvre ». Vous commenterez et discuterez cette opinion en empruntant des exemples précis aux textes au programme et à vos lectures personnelles.
- De nombreux auteurs tels que Voltaire ont pris « leur plume pour une épée » (Jean-Paul Sartre, Les Mots, 1964). Pensez-vous que la littérature soit une bonne arme contre les inégalités ou les abus humains ? Quel(s) genre(s) et quel(s) registre(s) vous semblent-ils le(s) plus efficace(s) dans ce domaine ? Vous appuierez votre réponse sur des exemples précis, tirés de vos lectures personnelles, des textes étudiés en cours et de Candide.
- Dans son roman, les Faux-Monnayeurs, Gide prête à son personnage de romancier, Edouard la réflexion suivante : « Il se dit que les romanciers par la description trop exacte de leurs personnages, gênent plutôt l'imagination qu'ils ne la servent et qu'ils devraient laisser chaque lecteur se représenter chacun de ceux-ci comme il lui plaît ». Partagez-vous ce jugement ? Vous expliquerez et discuterez le point de vue énoncé par André Gide en vous appuyant sur vos lectures personnelles et l
- « La noblesse du théâtre, c'est de faire oublier au spectateur la vie réelle, de lui permettre d'échapper à tout ce qui l'entoure, de n'être plus son contemporain. » (Gaston Baty)Vous discuterez cette information en vous demandant si le théâtre permet au spectateur de s'évader du réel ou s'il ne le renvoie pas au contraire à lui-même. Vous prendrez appui sur les textes du corpus et sur vos lectures personnelles.
- Dans En lisant en écrivant (1980), Julien Gracq - s'adressant au critique littéraire - déclare : « Un livre qui m'a séduit est comme une femme qui me fait tomber sous le charme : au diable ses ancêtres, son lieu de naissance, son milieu, ses relations, son éducation, ses amies d'enfance ! Ce que j'attends seulement de votre entretien critique, c'est l'inflexion de voix juste qui me fera sentir que vous êtes amoureux, et amoureux de la même manière que moi : je n'ai besoin que de la co