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CURIE, Pierre et Marie (née Sklodowska) (1859-1906) et (1867-1934) Physiciens Avec son frère Paul, qui a quatre ans de plus que lui, Pierre Curie découvre dès 1880 la piézo-électricité.

Publié le 17/05/2020

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Ci-dessous un extrait traitant le sujet : CURIE, Pierre et Marie (née Sklodowska) (1859-1906) et (1867-1934) Physiciens Avec son frère Paul, qui a quatre ans de plus que lui, Pierre Curie découvre dès 1880 la piézo-électricité. Ce document contient 313 mots soit 1 pages. Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système gratuit d’échange de ressources numériques. Cette aide totalement rédigée en format pdf sera utile aux lycéens ou étudiants ayant un devoir à réaliser ou une leçon à approfondir en Histoire-géographie.

« CURIE, Pierre et Marie (née Sklodowska) (1859-1906) et (1867-1934) Physiciens Avec son frère Paul, qui a quatre ans de plus que lui, Pierre Curie découvre dès 1880 la piézo-électricité.

En 1882 il est nommé chef de travaux à l’Ecole de physique et de chimie.

C’est en 1895 qu’il passe sa thèse, intitulée Propriétés des corps à diverses températures .

Elle met en évidence que le diamagnétisme est indépendant de la température et qu’au-delà d’une température précise le ferromagnétisme se transforme en paramagnétisme.

C’est en cette même année 1895 qu’il épouse une jeune polonaise venue poursuivre ses études à la Sorbonne.

C’est avec une thèse sur la radioactivité, découverte par Becquerel , intitulée Etude des rayons uraniques que Marie devient docteur ès sciences.

Pierre, qui a la chaire de physique générale à la Sorbonne, entraîne sa femme dans ses recherches.

Celles qu’il a conduites à propos des cristaux et de leurs propriétés le mènent à énoncer dès 1894 le principe de symétrie.

Ces recherches et les études faites par Marie sur la radioactivité leur permettent d’isoler en 1898 le polonium et, quelque temps plus tard, le radium.

Ils mettent encore en évidence le dégagement de chaleur important et spontané que produit le radium.

Ce sont essentiellement ces travaux qui valent à Pierre et Marie Curie, ainsi qu’à Becquerel , de revoir le prix Nobel de physique en 1903.

En 1904, Pierre est élu à l’Académie des sciences.

Après la mort de son mari, renversé par un camion en 1906, Marie lui succède à la chaire qui fut la sienne à la Sorbonne.

Aucune femme n’avait encore été nommée à un tel poste. C’est elle qui découvre la radioactivité du thorium et qui parvient, avec Debierne, à isoler le radium à l’état métallique.

En 1911 un second prix Nobel lui est décerné : celui de chimie.

Elle organise pendant la guerre de 1914-1918 un service de radiologie aux armées.. »

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