culte.
Publié le 07/12/2021
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culte. n.m., hommage rendu à une divinité ; forme de pratique religieuse (culte
catholique, israélite, etc.). En France, la loi du 9 décembre 1905, qui pose le principe
de la séparation des Églises et de l'État, régit l'organisation des cultes. Cette loi (dont le
rapporteur et le défenseur fut Aristide Briand) assure la liberté de conscience en
garantissant le libre exercice des cultes, l'État ne reconnaissant et ne subventionnant
aucun culte. Les édifices servant à l'exercice des cultes ou au logement de leurs
ministres sont propriété de l'État, des départements et communes, mais ils sont laissés
gratuitement à la disposition des fidèles et du clergé. Les biens de l'Église ont été
dévolus par la même loi à des associations cultuelles ; l'Église catholique n'a pas admis
le principe de ces associations cultuelles ; c'est seulement en 1924 qu'elle a autorisé les
« associations diocésaines «. Par cette loi, l'Église catholique perdit sa situation
privilégiée en France et ne releva plus que du Saint-Siège ; c'était la fin du gallicanisme.
Le denier du culte est le don que font les catholiques pour l'entretien du clergé.
culte. n.m., hommage rendu à une divinité ; forme de pratique religieuse (culte
catholique, israélite, etc.). En France, la loi du 9 décembre 1905, qui pose le principe
de la séparation des Églises et de l'État, régit l'organisation des cultes. Cette loi (dont le
rapporteur et le défenseur fut Aristide Briand) assure la liberté de conscience en
garantissant le libre exercice des cultes, l'État ne reconnaissant et ne subventionnant
aucun culte. Les édifices servant à l'exercice des cultes ou au logement de leurs
ministres sont propriété de l'État, des départements et communes, mais ils sont laissés
gratuitement à la disposition des fidèles et du clergé. Les biens de l'Église ont été
dévolus par la même loi à des associations cultuelles ; l'Église catholique n'a pas admis
le principe de ces associations cultuelles ; c'est seulement en 1924 qu'elle a autorisé les
« associations diocésaines «. Par cette loi, l'Église catholique perdit sa situation
privilégiée en France et ne releva plus que du Saint-Siège ; c'était la fin du gallicanisme.
Le denier du culte est le don que font les catholiques pour l'entretien du clergé.
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