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Cours sur la Production de l'ordre culturel (sociologie)

Publié le 22/01/2024

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« Chapitre 4 : La production de l’ordre culturel Introduction : → Rappelle Chap1 , différents courants (Holisme, Individualisme Méthodo, et Interactionnisme ) Donc logiquement en socio on estime que : Tout comportement humain pourrait s’expliquer ou se comprendre par son environnement social.

Toute ses façons d’agir de penser de sentir s’explique par des influences sociales. Influences sociales qu'il faudrait définir, et comment et par quels mécanismes influencent-t-elles les individus ? Comment définir le lien qui relie les unités qui au tout et par quel mécanisme société et individus s’influencent-ils. Structure générale qui se détachent de l’historique, ni d’approche thématique Deux concepts clés : - - Culture : Termes polysémique, sens commun : "L'ensemble des formes acquises de comportement dans les sociétés humaines“ définitions du petit Robert, se sociabiliser c’est peut-être aussi avoir de la culture,la culture peut renvoyer à être cultivé (renvoie à la question de la hiérarchie sociale), la culture peut être un aspect culturel d’une société (production culturelle, bien culturel) rien que dans le sens commun c’est très diversifié Socialisation : La façon dont la société forme et transforme les individus.

Un individus c’est un représentant de la société dans lequel il vit, car grâce à la socialisation il incarne la culture de sa société Par quels mécanismes la société s’impose-t-elle aux individus et forme des êtres sociaux ? Partie I - Les approches de la culture en sciences sociales Introduction : Opposition entre culture et nature, la notion de culture permet de définir la spécificité des hommes en se détachant des critères biologiques (on se détache de la distinction raciale). La culture c’est à l’homme ce que l’instinct est à l'animal c’est ce qui lui permet de s’adapter à son environnement.

A la différence des animaux, l’homme est capable de transformer son environnement.

Rien n’est vraiment naturel chez l'homme, tout peut être saisi par la culture. Différence biologique (sexe) → peut se voir avec une question social (genre) Les philosophes des lumières vont particulièrement insister sur la culture comme caractère universelle, ce qui fait le point commun entre tous les hommes I.

La culture des anthropologues : de l’universalisme au particularisme On va approfondir l' anthropologie, l'ethnologie et l'ethnographie. l'ethnographie : Description des peuples hommes, se rendre en immersion chez des peuples primitif l'ethnologie : première théorie explicatives (plutôt des société développé) anthropologie : généralise encore plus et va chercher à identifier les fondement commun de toute organisation sociales et culturel A.

La culture comme universel humain : à la recherche des invariants 1.

Tylor et la conception évolutionniste de la Culture Edward Burnett Tylor : Primitive culture → donne une def de la : La culture, ou civilisation est ce tout complexe qui comprend la connaissance les croyances, l’art la morale le droit les coutumes et les autres capacitées ou coutumes acquises par l’homme en tant que membre de la société” → Définition descriptive, toute la vie social relève de la culture, elle est collective, → Culture qui prend des formes intérieures (les croyances et les habitudes) et extérieurs (l’art, le droit, les coutumes) → La culture n’est pas innée elle acquise car on grandit dans une certaines sociétés (de nouveaux distinction culture =/ nature ) La culture est définie comme sociale ayant une influence propre sur les individus. 1er critique : Très peu de travaux de Tylor sur la transmission (point de discussion) 2e critique : conception très linéaire Il veut montrer que la culture est universelle , une seule culture de base présente dans toute les sociétés, toute les cultures seraient liées entre elles mais elles ont plus ou moins progressé.

Avec l’idée d’un côté des groupes primitif et des groupes civilisés (attention pas de différence de nature mais une différence de degré dans les stats de développement → image d’un escalier mécanique) → N’empêche approche assez progressiste avec cette idée que toute les “races” peuvent évoluer (pas de race inférieur et supérieur) Tylor explique que toute les cultures comportent ce qu’il appelle des survivances càd des élément de base référant à son état primitif. 3e critique : Il va très peux réussir à le démontrer empiriquement 2.

Lévi-Strauss et l’anthropologie structurale Structurale : Il abandonne cette idée de l’évolution, de la progression.

Pour lui le lien entre les cultures particulières des différentes sociétés se trouvent n’ont pas dans une chronologie commune mais bien dans la forme, dans les structures des différentes société (universaliste → cherche à expliquer les différence) a) Présentation de la théorie de Lévi-Strauss Anthropologue français connue à l’international.

Agrégé de philosophie qui part au Brésil, voyage ethnographique raconté dans l’ouvrage Tristes tropiques.

Pendant la IIGM il s’exile aux USA et il va commencer à apprendre la linguistique.

C’est la science qui s'intéresse aux langues et aux structures sonores des différentes langues.

Dans toutes les langues, on retrouve des points communs.

Il applique ce raisonnement à la socio, c’est en ça qu’il est considéré comme le père du structuralisme.

Il fonde le laboratoire d’anthropologie à l’EHESS où il fonde une bibliothèque avec de nombreuses données empiriques sur les différents peuples.

Collège de France, Chair d’anthropologie sociale et Académie française. → Les anthropologues sont les premiers à “se déplacer". Il s’intéresse donc à la méthode linguistique avec la métaphore du jeu de carte : - On joue avec les même jeu de cartes (dans les langues alternances de contrastes (aiguë/grave)(Voyelle/Consonnes) Même cartes qui peuvent suivre différentes règles (Anglais différents du français, différents de l’italien etc…) Tout le monde à la même carte et les différentes cultures c’est juste les différentes façon de jouer ces cartes. Système symbolique : - La culture permet de structurer le monde dans lequel on vit. Il va chercher les invariants qui structure les relations entre les individus b) Présentation des invariants culturels 4 invariants (plus du côté des symboles) : - La prohibition de l’inceste → Objet des premiers travaux de Levi-Strauss, Les Strucutres élémentaires de la Parenté (1949) autour de la théorie de l’allience (inceste autour du droit de mariage) → Prohibition de l’inceste : peu être différentes selon les sociétés (relations sexuelle, mariage ou les deux) elles peuvent s’appliquer sur des spéctres plus ou moins larges de la parenté (père/enfant, cousin/cousine, parfois à des groupes entier clan1/clan1) Dans tous les cas, il y a des relations interdites : 1er conséquences : chaque parenté doit d’ouvrir sur une autre, Lévi-Strauss met en avant que chaque société à des règles particulières, ses études au brésil : Un homme ne peut se mettre en relation avec des femmes de son groupes, il va donc il y avoir des échanges entre les femmes (circulation des femmes qui va mettre en lien nombre de société qui va permettre l’ouverture de nouvelle parenté) 2e conséquences : cette prohibition de l’inscente rend possible une structure sociale, on à une place donné dans une société - Le triangle culinaire → “la cuisine d’une société est un langage dans lequel elle traduit inconsciemment sa structure” Il part de la langue, il va montrer que dans toute culture on va trouver un système d’opposition dans la cuisine qui va structurer aussi la pensée.

On a dans la forme culinaire une structuration commune. Idée dans la série d'ouvrage : “Mythologique” Il prend l’exemple des indiens Borobos il constate que le passage de l’état de nature à l’état de société est présenté par la domestication du feu et l’apparition de la cuisine.

Dans les mythologies Borobos les hommes primitifs sont compris entre deux risques → Finir asséché par le Soleil (trop proche) ou alors de finir pourris par l’eau (soleil trop loin).

Par le contrôle du feu les deux risques diminue (donc merci le four à tarte) Pour Lévi-Strauss la cuisine incarne l’état de nature et l’état de culture qui se concrétise par l’opposition entre trois pôles culinaires (les vrais invariants). CRU : Soleil trop proche, l’homme ne peut rien faire → Rôti, c’est le soleil qui chauffe l’aliment (davantage une exo cuisine, POURRIE : Côté des eaux, transformation naturel → Bouilli utilisation de l’eau (endo cuisine, pour soi) CUIT : Transformation culturel → Fumé, c’est le feu qui agit de manière indirecte (voir les triangles culinaire) Règles Intransigeantes autour de leurs cuisines communes à toutes les sociétés - La valence différentiel des sexes : Françoise Héritier : Masculin/Féminin, la pensée de la différence Dans toutes les sociétés → opposition central qui découle d’une différence sexuelle/genrée → couple d’opposition qui vont être rapproché d’une distinction genrée (Haut/bas , intérieur/extérieur).

→ Il y a également selon Françoise Héritier une distinction asymétrique entre association appartenant au fémini (négatif) ou au masculin (positif). Exemple : C.

Detrez Les filles sont principalement représentées sur des positions passives, position active pour les hommes.

Ici l’actif est bien vu pas le passif donc femmes se trouve du mauvais côté de la frontière. A l’inverse dans des sociétés indienne le termes actif est plutôt féminin et le passif est masculien mais les représentations sont inversé (actif → mal vue / passif → bien vue) Intérêt pour le genre : système symbolique de bicaractérisation des.... »

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