cours philo: la nature
Publié le 05/03/2022
Extrait du document
«
La nature
I.
L’Ho dans la nature
1) qu’est ce qui est naturel ?
Les être naturel ont un développement spontané, il porte leur moteur ou leur principe de
changement en eux même.
Cela les distingue des êtres artificiels qui ont besoin d’un moteur
extérieur comme le lit avec le menuisier.
Deuxième point, cette force motrice est dans les deux cas
orienter vers une finalité.
Cette cause finale est interne au chose de la nature tandis quelle est fixé
par l’homme qui fabrique dans le cas des être artificiels.
Donc il y a l’idée que la nature est
totalement autonome, elle fonctionne toute seul.
Mais Aristote ne parle de la nature pas comme
d’un milieu, d’un environnement mais plutôt comme principe interne à certains être qui leur permet
d’exister.
Si on prend la nature au sens de totalité, au sens de monde matériel est physique.
Dans ce
cas-là il est aussi nécessaire de la distinguer du monde humain.
Merleau-Ponty (texte : « La Nature ») reconnait avec Aristote que la nature est un principe de
croissance, quelle a un sens c’est-à-dire quelle est orienté vers une fin.
Mais ce sens n’est pas réfléchi.
Il précise que la nature s’oppose à tout ce qui est de l’ordre du culturel.
Elle n’a pas besoin d’être
institué, d’être construite.
Elle ce qui est premier.
La nature ne pourrait pas être vu comme un objet
car un objet on peut le délimiter dans l’espace.
Lui marquer un début et une fin.
On peut en faire le
tour.
Or la nature n’est jamais entièrement devant nous comme entité finis mais elle est notre seule
existence.
Avec le temps la nature est plus difficile à la remarquer.
Transition : si la nature est une totalité qui n’a pas vraiment de limite, comment peut-on la connaitre,
en faire une science.
Les sciences de la nature séparent celle-ci en différent objet et partie.
L’objet
lumière, l’objet cellule et croit connaitre la nature dans sa totalité.
Mais celle-ci n’échappe-t-elle pas à
la science.
2) La nature objet complexe de la science
La science semble initié par un rapport d’étonnement à l’égard de la nature.
C’est quand on ne sait
pas expliquer les phénomènes naturel qu’un cheminement scientifique de réflexion se met en place.
La science est aussi apparue pour des raisons pratique.
Il s’agissait d’appréhender un minimum la
nature pour survivre et l’utiliser.
La nature semble exister en elle-même de manière autonome mais l’homme va chercher à l’expliquer
comme s’il ne se contentait pas de la seule présence de la nature.
On peut être étonné par l’ordre
dans la nature.
Cet ordre ne serait pas causé par l’homme lui-même il va donc chercher par trouver
son origine.
Leibniz (texte : « pourquoi la nature est-elle si bien faite ») distingue deux formes de science
matérialiste qui se contenterais d’expliquer le comment c’est-à-dire les causes matériel ou physique
qui on produit un effet d’une science supérieur que l’on pour appeler finaliste qui explique aussi la
raison d’être des chose, le pourquoi.
Pour lui la nature n’est pas un produit du hasard mais il y a de
l’harmonie.
Cela ne peut venir que d’une intelligence souveraine qui ordonne les choses de la nature
à savoir Dieux.
Donc la science de la nature à besoin du soutien de la croyance religieuse.
Ce retour de la nature à la croyance religieuse pose un problème à savoir notre science ne pourrait
être qu’incertaine.
En effet si nous ne somme les auteurs de la nature nous ne pouvons la
comprendre ou la saisir qu’a postériori, c’est-à-dire qu’en observant ses effets.
Il faudrait donc
attendre le déroulement des évènements de la nature..
»
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