Cours littérature comparée: les styles artistiques
Publié le 29/09/2021
Extrait du document
«
La tragedie montre des valeurs qui doivent être imités, das la comédie en montrant des exagération
de vices et l’oeuvre d’art doit être proportionné et coïncider avec une certaine harmonie.
L’équilibre classique
ex : Polyclete (V avant jc) Doryphore
- Structure à chiasme ( contrapposto)
tout est équilibré et contrebalancé ( un bras en repos, l’autre maintient une lance)
- Toute tension est contrebalancé
A la renaissance les artistes se mettent à imiter ces exemples
art moderne : Michel-Ange (XVIe) David
La position est la même que le Doryphore et David est représenté avant son combat contre Goliath
et c’est une représentation idéalisée de la nature : idéal d’équilibre et de perfection.
La différence est
que la tête et les mains de David sont disproportionés : depuis la perspective de l’homme on ne voit
pas ces disproportions mais ne sont pas visibles depuis a perspective de l’homme (qui regarde a
statut depuis en bas).
On est dans la présentation d’un idéel car David n’est pas en tension en vue de
son combat.
Baroque
Le baroque est l’adaptation du classicisme en fonction de l’homme moderne et passe par
l’invalidation de certaines règles de class.
Les techniques changent et certaines règles restent.
C’est
la changement dans la représentation dans l’univers qui va remettre en question la perception qu’il a
grace à ses sens.
C’est ce qui remettra en question le principe de mimesis, si on imite la nature on va
créer qlqchs de trompeur.
En découle que l’artiste va pouvoir représenter la nature comme il le
souhaite.
La métaphore sera grandement utilisés car permet de représenter une chose par un autre
(illusion).
L’illusion est le caractère propre au théâtre (des acteurs qui jouent des roles, on ne
intéresser pas a la vie des acteurs mais a une identité illusoire/fictive)
point importants du baroque :
- Sentiment d’instabilité et multiplication des points de fuite
Principe centrales, les intrigues se font sur une multiplication de l’histoire.
≠ L’un des principes de
l’art classique est l’unité (la règles des 3 unités) Dans le baroque on remet en question ce principe.
L’objectif est de susciter la merveille et la valeur.
- Le dynamisme, david de Bermini : Il n’y a pas la tranquillité et la harmonie exprimé par Mange,
son corps est en tension ainsi que son visage ≠
- Le jeu de contrastes Madone des pèlerins L’obscurité à sa place car l’art représente aussi ce qui
va mettre en question l’harmonie.
On s’éloigne des idéaux de beauté, on représente la saleté du
monde.
Mange représente que des personnes aux corps sculptés ≠ Baroque ou on représente les
choses
C’est pendant cette période que naissent
- les spectacles totales ( mélange de danse, chant),
- la pièce à machine (pour créer une dimension spectaculaire) qui sont visibles au spectateurs (chose
que les classicistes détestent car enlève l’illusion du vrai)
- Sensualité (mettre en avant les sens pour les condamner) L’art baroque a été largement
instrumentalisé et financé par l’état du vatican pour s’auto célébrer.
Les quatre pièces que nous allons voire sont des pièces baroques qui s’appuient sur des règles
classiques ( parfois en les respectant, parfois en s’en détachant)
contexte de l’époque :
Période de grands bouleversement, prémices de la société capitaliste et affirmation de la classe
bourgeoise avec le déclin progressive de la noblesse.
C’est aussi l’époque ou se créent les états
européens avec la construction du pouvoir absolue du roi qui vise à affaiblir la noblesse.
La
monarchie et la bourgeoisie montant se sert l’un de l’autre pour s’affirmer.
Ces états en construction
investissent bcp dans la guerre, dans les grands voyages qui visent à coloniser des espaces pour.
»
↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓
Liens utiles
- « Un titre doit embrouiller les idées, non les embrigader ». En vous appuyant sur des exemples empruntés à la littérature et à d'autres formes artistiques, vous discuterez et expliquerez cette affirmation.
- De nombreux auteurs tels que Voltaire ont pris « leur plume pour une épée » (Jean-Paul Sartre, Les Mots, 1964). Pensez-vous que la littérature soit une bonne arme contre les inégalités ou les abus humains ? Quel(s) genre(s) et quel(s) registre(s) vous semblent-ils le(s) plus efficace(s) dans ce domaine ? Vous appuierez votre réponse sur des exemples précis, tirés de vos lectures personnelles, des textes étudiés en cours et de Candide.
- L'idée même que la signification d'une oeuvre valable puisse être épuisée après deux ou trois lectures est une idée frivole. Pire que frivole : c'est une idée paresseuse », écrivait Claude-Edmonde Magny en 1950 dans Histoire du roman français depuis 1918. En vous appuyant sur des exemples précis que vous emprunterez à la littérature et, éventuellement, à d'autres formes artistiques, vous montrerez pourquoi certains aspects essentiels d'une oeuvre ne se livrent que peu à peu et comment
- Selon Mme de Staël, « au cours du XVIII°s l'on vit la littérature prendre un caractère différent. Ce n'est plus un art seulement, c'est un moyen : elle devient une arme pour l'esprit humain, qu'elle s'était contentée jusqu'alors d'instruire et d'amuser. » Vous direz si vous partager ce jugement.
- Dans quelle mesure les productions artistiques (cinéma, peinture, musique, littérature...) permettent-elles de « comprendre l'esprit » d'une époque ?