Contagion
Publié le 16/05/2020
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1 La transmission d'un Individu a un autre du germs
d'une maladie infectieuse constitue
lephenomene de
Ia contagion.
II arrive souvent que les facteurs de conta-
gion n'aient pas un lien bien Mini avec les facteurs de
virulence, et qu'ils representent un domaine a part dans
l'etude d'une maladie.
2 Une souche bacterlenne doit
etre transmise a un
organisme sensible pour etre pathogene dans une espece
animate.
Sile germe est pathogene, mais non trans-
missible, it
provoquera une infectionseulement a la
favour d'une transmission artificielle.
'Ainsi les pneumo-
coques sont non seulement pathogenes pour l'homme,
mais aussi frequemment transmis d'un individu- a un
autre.
lis infligent donc des maladies relativement com- munes a l'homme.
Les memos germes inoculds artificielle-
ment a Ia souris provoquent chez l'animal des affections
mortelles, mais qu'il ne pout transmettre directement a
ses semblables.
3 La contagion, qui passe d'un individu a un autre, pout
egalement utiliser un agent intermediaire.
La transmission
directe resulte du contact avec des secretions emises
par une personne infectee (crachat, salive, pus), voire par
simple exposition au souffle (respiration,parole,toux,
eternuement) du malade.
Dans des cas relativement rares,
une mere peut transmettre a son enfant avant sa nals-
sance, a travers le placenta, les germes d'une maladie
telle que Ia fievre typhoide.
4 La transmission
indirectepouts'effectuer
apartir
d'aliments ou d'objets infectes, ou encore a partir de
particuies en suspension dans l'air.
Dans ce dernier cas,
Ia dimension des poussieres sera determinante, car seules
cellos qui ont un faible diametre (moins de 5 microns)
peuvent acceder aux voles respiratoires profondes.
Enfin,
Contagion
1 La transmission d'un individu à un autre du germe
d'une maladie infectieuse constitue le phénomène de la contagion.
Il arrive souvent que les facteurs de conta
gion n'aient pas un lien bien défini
avec les facteurs de virulence, et qu'ils représentent un domaine à part dans
l'étude d'une maladie.
2 Une souche bactérienne doit être transmise à un
organisme sensible pour être pathogène dans une espèce
animale. Si le germe est pathogène, mais non trans¬
missible, il provoquera une infection seulement à la
faveur d'une
transmission artificielle. Ainsi les pneumo coques sont non seulement pathogènes pour l'homme, mais aussi fréquemment transmis d'un individu à un autre. Ils infligent donc des maladies relativement com munes à l'homme.
Les mêmes germes inoculés artificielle ment à la souris provoquent chez l'animal des affections mortelles, mais qu'il ne peut transmettre directement à
ses semblables.
3 La contagion, qui passe d'un individu à un autre, peut
également utiliser un agent intermédiaire.
La transmission
directe résulte du contact avec des sécrétions émises
par une personne infectée (crachat, salive, pus), voire par
simple exposition au souffle (respiration, parole, toux, éternuement) du malade.
Dans des cas relativement rares,
une mère peut transmettre à son enfant avant sa nais
sance, à travers le placenta, les germes d'une maladie
telle que la fièvre typhoïde.
4 La transmission indirecte peut s'effectuer à partir
d'aliments ou d'objets infectés, ou encore à partir de
particules en suspension dans l'air. Dans ce dernier cas,
la dimension des poussières sera déterminante, car seules
celles qui ont un faible diamètre (moins de 5 microns)
peuvent accéder aux
voies respiratoires profondes.
Enfin,
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