conscience et inconscience

« Chapitre 1→ La conscience et l’inconscience. Introduction→ Avec Socrate on sait que « connaît toi toi même » est une invitation plus délicate qu’il n’y paraît, avoir conscience de soi est ce forcément accéder à la connaissance de soi.

Je semble être la mieux placée pour me connaître mais on peut se demander si ce n’est pas une illusion. L’intelligence et la raison ne sont elles pas dupées par des mécanismes insidieux.

Il s’agit pour l’être humain de mesurer sa capacité à se situer dans le règne animal : créature sur un piédestal car « Dieu à fait l’Homme à son image » ou bien maillon d’une chaîne qui doit réapprendre à se regarder dans le miroir.

1) La conscience en quête de transparence. A→ Le moi se connaît forcément.

Connaissance objective→ universelle / évidente. subjective→ individuelle. La carte d’identité j’accède à moi / « on » accède à moi.⇒ - Le prénom Sécurité mentale (certains prénom sont interdits). - Le nom de famille Non-neutre + discriminations sociales. - L’image c’est moi et parfois on ne me reconnaît pas. « Le stade du miroir » : expression de S.Lacan psychanalyste du XX e siècle.

Vers 4/5 ans dans le miroir, le reflet est désigné par « C’est moi » avant→ « C’est Sasha ». L’identité personnelle surgit.

C’est l’ipséité : la connaissance de soi.

Perdre cette ipséité c’est angoissant, horrible, déroutant… Celui qui décide de l’utiliser à des fins littéraires/pédagogiques, la cultive : « Confessions » de Rousseau. Les autres me connaissent-ils (finalement) mieux que moi (début de la rupture avec transparence) ? - Compléter la perception de soi. - Corriger la perception de soi. Leur intérêt pour moi me donne des pistes ou des obstacles.

B→ Une démarche rationaliste. « Si je pense alors je suis ». Formule hypothético-déductive. ⇒ Principe n°1 : Dans le discours de la méthode 16 e siècle, Descartes.. »