Comte: Le positivisme n'admet jamais que des devoirs
Publié le 03/09/2020
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«
COMTE
« Le p ositivisme n'admet jamais qu e des devoirs, chez tous envers
tous.
Car son point de
vue toujours soc ial ne peut c omporter au cun e
notion de
droit, c onstamment fondée sur l'individualité.
Nous naissons
c
hargés d'obligations de toute espèce, envers nos p rédécesseurs, n os
successeurs, et
nos c ont emporains.
Elles ne font ensuite que se développer
ou s'accumu
ler avant que nous puissions re ndre aucun service.
S ur que l
fondement humain p
ourrait don c s'asseoir l'idée de droit , qu i supposerait
raison
nabl em ent une e fficacité préalable ? Quels que pu issent ê tre n os
efforts, la pl
us l ongue vie bien employée ne nou s permettra jamais de
re
ndre qu'une port ion im pe rceptible de ce que nous avons reçu.
C e ne
serait pou
rtant qu'après un e restitution c omplète qu e nous se rions
dig
nement autorisés à réclamer l a réciprocité des nouveaux servic es. Tout
droit humain e
st donc absurde autant qu'imm oral .
» Catéchisme
positiviste.
La question
Sur quoi se fondent les droits de l'homme ? La question peut embar
rasser dans la mesure où les droits de l'homme sont souvent considérés
eux-mêmes comme le fondement ultime du droit.
Mais c'est surtout la
réponse d' Auguste Comte qui semble choquante : « Tout droit humain
est donc absurde autant qu'immoral ».
Comment convient-il de réagir
face à une telle conclusion ? Il est tout d'abord exclu de ne pas réagir : un
tel sujet implique une confrontation d'idées.
Pour autant, on ne peut se
satisfaire d'une simple indignation en guise de réfutation.
Et il ne fau
drait pas confondre la théorie d' Auguste Comte avec un q�*>$IFOY*
«fascisme».
Elle n'a strictement rien à voir avec une apologie de la.
»
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