Comprendre le féminisme

« 1 L es deux périodes d u féminisme 1848 : La Première Vague Du Féminisme La première vague du Féminisme commença autour de 1848, il y avait deux femmes qui étaient des abolitionnistes actives.

En 1840, une convention anti -esclavage a eu lieu à Londres, « The 1840 world anti -slavery convention 1 » - « La convention mondiale anti -esclavage de 1840 » aucune femme n’a été acceptée, ces deux femmes y sont allées et elles ont été interdites d’entrée, c’est là où elles se sont rencontrées. Dans l’État de New -York en 1848, elles ont amené 200 femmes environ, elles ont discuté de : - Leurs griefs (revendications). - La condition sociale, civile et religieuse et des droits des femmes. 1919 -20 : Le Droit De Vote Elles ont fini par voter douze résolutions appelant pour des droits égalitaires spécifiques incluant après beaucoup de débats, le droit de vote. Je vais très rapidement dans cette histoire en sautant des pans de l’histoire pour aller directement en 1919 -20.

Soixante -dix ans plus tard, elles ont obtenu le droit de vote. En 1920, le Congrès a adopté le 19e amendement accordant le droit de vote aux femmes.

( En théorie, il accordait le droit aux femmes de toutes les races, mais dans la pratique, il restait difficile pour les femmes noires de voter, surtout dans le Sud) https ://w ww .vox.com/2018/3/20/16955588/feminism -waves -explained -first - second -third -fourth. Il ne s’agissait pas d’une victoire égale mais c’était un point de départ, C’est la victoire principale de la première vague du mouvement Féministe. Il restait encore plusieurs choses qui n’étaient pas égales : - La sphère financière. - Le lieu de travail. - L’éducation. 1 Convention anti -esclavagiste de Londres de 1840 : Da ns les années 1830, de nombreuses femmes ont agi selon leurs convictions religieuses et leur indignation morale, et ont répondu à l'invitation de William Lloyd Garrison à s'engager dans la Société antiesclavagiste américaine.

Elles assistent à des réunions et rédigent des pétitions pour soutenir la cause.

Arthur Tappan et d'autres membres conservateurs de la société s'y opposent.

S'appuyant sur des principes chrétiens différents, ils estimaient qu'il était contraire à Dieu et à la nature que les femmes s'engagent en politique en public. La question de la participation des femmes au mouvement a atteint son point culminant en 1840, lorsqu'une convention mondiale antiesclavagiste sans précédent était prévue à Londres.

À la demande de Tappan, les organisateurs ont précisé que la réunion était réservée aux hommes, mais un certain nombre de déléguées américaines et britanniques, dont Lucretia Mott et Elizabeth Cady Stanton, se sont présentées le premier jour pour prendre place en tant que déléguées officielles.

Des heures de débats controversés ont suivi.

Finalement, seuls les délégués masculins, assis au premier étage, ont été autorisés à prendre la parole ou à voter.

Comme l'indique le rapport publié. »