Composition histoire le second empire

« Composition histoire Thème 2 : Le second Empire.

De nos jours, nous avons le droit de faire la grève pour exprimer notre mécontentement néanmoins ceci aurait été impossible sans la loi Ollivier instauré sous le second Empire.

Le second Empire voit le jour sous le règne de Napoléon III, neveu de Napoléon Ier.

Le 2 Décembre 1851, il fait un coup d’état qui lui permet de passer de président à Empereur, le plébiscite amplement positif du 20 Décembre de la même date permet à Napoléon III de devenir empereur de France.

Le 14 janvier 1852, la nouvelle constitution est promulguée, elle rentre en vigueur en mars. La politique est une notion polysémique, nous nous intéresseront dans cette composition à la politique en son sens plus large, celui de la civilité, désigne ce qui est relatif à l’organisation d’un Etat et à l’exercice du pouvoir dans une société organisée.

L’économie au sens courant rassemble les activités humaines tournées vers la production, l’échange, la distribution et la consommation de biens et de services.

Les relations internationales sont quant-à-elles un ensemble de liens, de rapports et de contacts qui s’établissent entre les Etats et relèvent de la politique étrangère de ces Etats. Nous nous demanderons comment le second Empire à moderniser la France en terme politique, économiques ainsi que dans ses relations internationales.

Dans un premier temps nous nous intéresseront à la politique, dans un second temps nous étudierons l’économie sous cette Empire.

Enfin nous nous pencheront sur les relations internationales de la France durant cette période. Pour commencer, sous le second Empire le dirigeant du pays est l’Empereur Napoléon III, celui-ci accède au pouvoir grâce à son coup d’Etat soutenu par le peuple français.

L’Empereur exerce un pouvoir autoritaire en France les dix premières années de son règne.

Dès son arrivée au pouvoir il applique un pouvoir personnel.

Il se base sur l’autoritarisme, la réduction des libertés, la répression de toutes formes de libertés ou encore le populisme.

Par exemple, dès 1852 il vise la presse en imposant des contraintes à celle-ci.

En effet, dorénavant pour qu’un journal paraisse il faut qu’il ait une autorisation ainsi que le règlement d’une taxe, par conséquent les seuls journaux disponibles sont ceux faisant l’apologie de l’empereur.

La presse se retrouve donc censurée, entravée et muselée et un système d’avertissement permettant la suspension quasi immédiate des journaux est mise en place.

De plus, en 1854 la liberté de circulation et de réunions est en danger, en effet dorénavant l’ouvrier doit être muni d’un livret d’ouvrier signé par son employeur avec renseigné à l’intérieur son adresse ainsi que tous ses déplacements professionnels et privés.

L’ouvrier doit tout le temps l’avoir sur lui sous peine d’une contravention assez élevé par rapport à son maigre revenu.

De même, quatre années plus tard en janvier 1858, l’Empereur que l’on surnomme Napoléon le Petit organise un attentat à Paris contre lui-même pour pouvoir mettre en place la loi de sureté général qui permet de faire condamner un individu sans aucun procès s’il est jugé dangereux pour la société.

Cette loi sert à privilégier une sécurité de l’Etat et de l’Empire.

Également, les policiers sous le second Empire ont ce qu’on appelle « carte blanche », ce qui signifie que les policiers peuvent faire ce qu’ils veulent et ainsi surveiller le peuple français.

Par conséquent, Napoléon III a environ 700 000 hommes qui lui ont prêté serment et lui permettent de tout savoir.

Nous pouvons en conclure que la liberté sous le second Empire est très limitée et n’est en aucun cas une véritable liberté.

Mais, Napoléon III est quand même apprécier du plus grand nombre du fait des bourgeois qui bénéficient de l’économie grâce à l’industrialisation et la modernisation de la France, mais aussi les citoyens qui pense que Napoléon protège leur propriété et empêche une autre révolution d’avoir lieu ainsi que le fait qu’il ait. »