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? Commentez ce texte de Descartes, eextrait du Discours de la méthode.

Publié le 07/07/2020

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« ? Commentez ce texte de Descartes, eextrait du Discours de la méthode. 5 10 15 20 , 25 DOCUMENT « Je ne sais si je dois vous entretenir des premières méditations que j'ai faites ; car elles sont si métaphysiques et si peu communes, qu'elles ne seront peut-être pas au goût de tout le monde. Et tou-tefois, afin qu'on puisse juger si les fondements que j'ai pris sont assez fermes, je me trouve en quelque façon contraint d'en parler. J'avais dès longtemps remarqué que, pour les moeurs, il est besoin quelquefois de suivre des opinions qu'on sait être fort incertaines, tout de même que si elles étaient indubitables, ainsi qu'il a été dit ci-dessus, mais, pource [parce] qu'alors je désirais vaquer seulement à la recherche de la vérité, je pensai qu'il fallait que je fisse tout le contraire, et que je rejetasse, comme absolument faux, tout ce en quoi je pourrais imaginer le moindre doute, afin de voir s'il ne resterait point, après cela, quelque chose en ma créance, qui fût entièrement indubitable. Ainsi, à cause que nos sens nous trompent quelquefois, je voulus supposer qu'il n'y avait aucune chose qui fût telle qu'ils nous la font imaginer. Et pource qu'il y a des hommes qui se méprennent en raisonnant, même touchant les plus simples matières de géométrie, et y font des paralogismes, jugeant que j'étais sujet à faillir, autant qu'aucun autre, je rejetai comme fausses toutes les raisons que j'avais prises auparavant pour démonstrations. Et enfin, considérant que toutes les mêmes pensées, que nous avons étant éveillés, nous peuvent aussi venir quand nous dormons, sans qu'il y en ait aucune, pour lors, qui soit vraie, je me résolus de feindre que toutes les choses qui m'étaient jamais entrées en l'esprit n'étaient non plus vraies que les illusions de mes songes. ...»

« Descartes ► Commentez ce texte de Descartes, extrait du Discours de la méthode. DOCUMENT « Je ne sais si je dois vous entretenir des premières méditations 1 que j'ai faites ; car elles sont si métaphysiques et si peu communes, 1 j qu'elles ne seront peut-être pas au goût de tout le monde.

Et tau- il tefois, afin qu'on puisse juger si les fondements que j'ai pris sont •: s assez fermes, je me trouve en quelque façon contraint d'en parler.

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Et pource qu'il y a des hommes ;; qui se méprennent en raisonnant, même touchant les plus simples 'l :t matières de géométrie, et y font des paralogismes, jugeant que j'étais sujet à faillir, autant qu'aucun autre, je rejetai comme fausses toutes 20 les raisons que j'avais prises auparavant pour démonstrations.

Et enfin, considérant que toutes les mêmes pensées, que nous avons é,tant éveillés, nous peuvent aussi venir quand nous dormons, sans ;\ qu'il y en ait aucune, pour lors, qui soit vraie, je me résolus de feindre que toutes les choses qui m'étaient jamais entrées en resprit l! , 2s n'étaient non plus vraies que les illusions de mes songes.

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