Commentez ce jugement d'André Bellessort : « Le succès des romans repose sur notre éternel besoin qu'on nous raconte des histoires où nous nous reconnaissons tels ... que nous voudrions être. »
Publié le 10/06/2020
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BELLESSORT André. Né le 12 mars 1866 à Laval (Mayenne), mort le 22 janvier 1942 à Paris. Militant d’Action française, catholique fervent, il commence par un recueil poétique, Mythes et poèmes (1894). De ses voyages, il rapporte Chili et Bolivie (1897), De Ceylan aux Philippines (1899), La Société japonaise (1901), La Roumanie contemporaine (1905)... Il a traduit et adapté avec succès La Saga de Costa Berling et deux autres romans de Selma Lagerlof. Il reprend ses cours en 1914 aux lycées Janson de Sailly et Louis-le-Grand où il a, comme élèves, Robert Brasillach et Daniel Rops. Il dirige, un temps, la Librairie Académique Perrin. Conférencier, il laisse sur son auditoire une impression profonde. Parmi ses ouvrages, on peut citer son Saint-François-Xavier (1917), Le Rôle des Intellectuels dans l'avènement de la IIIe République (1930), La Société française sous Napoléon III (1933), Etudes et Figures, variétés littéraires (1921), suite d’études qui vont de Cervantes à Brunetière. Secrétaire de La Revue des Deux Mondes, il fut élu à l’Académie Française en 1935.
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