Commentaire linéaire épilogue fables

« FORME FOND I.

La Fontaine satisfait de son travail en vantant sa connaissance approfondie de la nature (l.1-8) Muse Inspiration sacralisée du poète (à l’image de Homère qui l’invoque à la fin de l’Odyssée) Onde pure Idée de transparence, refus du classicisme de l’artifice, recherche d’une langue pure et naturelle (simplicité, pureté) Langue des dieux Périphrase Suprématie de la poésie, complexité du genre, Tant d’être Peuples divers Grande diversité dans le choix des personnages montrée par l’adverbe de quantité et l’adjectif “divers” Ex : hommes, lion, renard Traduisait Truchement Tout parle dans l’univers Voix dans le nature La muse (poète) se fait l’interprète de la nature en les faisant s’exprimer en langage humain, grâce à son lien très fort avec elle. Champ lexical de la parole Acteurs LF metteur en scène de la nature en créant une interaction entre des animaux en valorisant le dialogue (écrit bref + rythme rapide) -> mise en scène Comédie française Il n’est rien qui n’ait son langage Réfutation de Descartes et de l’universalisme qui affirme que les animaux ne sont voués que d’instincts et reflexes dépourvus d’intelligence. Défenseur de la cause animalière I.

L’ imitation (l.9-16) Eloquence Art oratoire, héritage de l’Antiquité très codifiée Plus...que Œuvre imparfaite : son ouvrage est inférieur à la nature (œuvre divine), posture de modestie. »