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Commentaire linéaire de bel-ami - chapitre 2, partie 1

Publié le 18/05/2020

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« Commentaire linéaire Bel-Ami de Maupassant Chapitre 2 Dans le deuxième chapitre de la première partie du roman Bel-Ami de Maupassant, George Duroy est invité à diner chez les Forestier dans l’espoir de rentrer dans le journalisme grâce à son ancien camarade de régiment, Charles Forestier.

Ce dîner marque une étape importante dans le désir d’ascension social du personnage. Cependant, dans l’extrait que nous allons étudier, qui est le début de ce chapitre, Duroy nous est dépeint à la fois timide et hésitant pour enfin se révéler audacieux et sûr de lui à l’idée d’affronter ce monde de « luxe » et de bourgeoisie qu’il espère conquérir.

De ce fait, en quoi cet extrait symbolise-t -il l’entré de Duroy dans le monde Parisiens et sa prochaines ascension sociale ? Nous étudierons dans un premier temps l’évolution personnel du personnage, pour ensuite nous intéresser à ce qui constitue la première étape de son ascension sociale et terminer sur l’aspect hypocrite et ambitieux du personnage.

I.

L’évolution du personnage a.

« La première fois » Dans les première lignes, Duroy est mal à l’aise et peu sûr de lui : « Il était un peu gêné, intimidé, mal à l’aise.

Il portait un habit pour la première fois de sa vie » l6-7 « La première fois » est une marque supplémentaire du manque d’assurance du personnage. « Sa toilette l’inquiétait.

Il la sentait défectueuse en tout » l8 est marqué par l’opposition entre les vêtements de la ligne 8 à 11.

* Des bottines non vernis, mais fines * Une chemise à 4.50 Francs mais neuve et venant d’un grand magasin. Ce qui prouve malgré tout d’une certaine élégance et d’une envie de plaire. * Enumération des défauts de sa tenue de la ligne 14 à 17 : un pantalon trop large qui dessine mal la jambe, une apparence fripée des vêtements d’occasion.

Duroy est encore dans la pauvreté, chose qui le rend mal à l’aise et l’exaspère. * L19, il monte lentement les marches « le cœur battant, l’esprit anxieux », car « la crainte d’être ridicule » l’assaille. Cependant, cet état d’angoisse n’est que momentané. b.

Une prise de confiance en soi En effet, l’adverbe « brusquement » l 31 apporte un effet de rupture qui marque la découverte du personnage à lui -. »

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