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Commentaire L'histoire des voyages de Scarmentado

Publié le 13/03/2011

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histoire

       Voltaire est un écrivain philosophe qui marqua le XVIIIe siècle. Voltaire était un écrivain très révolté par de nombreux problèmes de la société. Il faisait passé sa révolte dans ses contes philosophiques en utilisant l’ironie. Nous allons étudier un extrait de L’Histoire des voyages de Scarmentado écrit en 1756 par Voltaire. Dans un premier temps nous allons étudier satire de la tyrannie ainsi que de l’intolérance caractérisant l’Inquisition. Puis nous étudierons la satire de la belle apparence cultivée par l’Inquisition.

 

 

      Pour commencer nous allons étudier la satire de la tyrannie qui caractérise l’Inquisition évoqué par Voltaire de différentes manières. Voltaire critique ici la société pour cela il fait paraître l’ironie. La tyrannie est d’abord décrite par l’humiliation des condamnés « quarante personnes couvertes de sacs sur lesquels on avait peint des diables et des flammes » en effet alors que pour l’Inquisition semble vivre une réelle cérémonie montré par l’insistance des « puis » qui apparaissent ici comme pour montré l’organisation de la cérémonie, pour l’embellir. Ensuite on aperçoit une antithèse « On chanta dévotement des belles prières, après quoi on brûla à petits feu tous les coupables » le thermes de « prières» signifie quelque chose de beau alors qu’ici il est question de la mise à mort de 40 condamnés et ici la tyrannie est bien décrite par « on brûla a petit feu » qui en vient même a  de la torture tous cela sous les yeux de la famille royale qui semble honoré « La famille royale parut extrêmement édifiée. »

         De plus il critique aussi l’intolérance de l’Inquisition par la satire. L’Inquisition se sont des personnes qui veulent que tout le monde soit de leur religion. Les personnes qui n’appliquent pas ces règles sont condamnée a mort comme ici dans cet extrait il est question de la condamnation des juifs qui n’ont pas voulu renoncer a leur religion et aux chrétiens marié avec une personne non chrétienne. Ce qui montre donc l’intolérance de la l’Inquisition car toutes personnes différentes d’eux sont classées comme coupable «  après quoi on brûla à petit feu tous les coupables ». Aussi même dans le cachot de Scarmentado l’Inquisition mais encore en avant le fait qu’il faut être chrétiens « un beau crucifix ».

 

 

          Cependant Voltaire ne critique pas seulement les actes de l’Inquisition mais aussi le paraître des moines. Tout d’abord nous allons voir la belle apparence physique des moines. Voltaire se moque de cette belle apparence de plusieurs manières. En premiers il se moque de l’importance que ce donne l’Inquisition à elle-même il est dit que les moines défilent deux à deux comme si ces personnes étaient très importantes et que tous le monde les admirait « vint une armée de moines défilant deux à deux ». Puis l’accumulation des adjectifs qualificatifs et des contraires, «  blancs, noirs, gris, chaussés, déchaussés, avec barbe, sans barbe … » montre bien que Voltaire veut montrer que tous cela est ridicule. L’harmonie qui est voulu par les moines est ridiculisée par tous les procédés de Voltaire. Les moines veulent paraître d’une belle apparence, veulent organiser une belle cérémonie comme par exemple de chanter de belles prières mais tout cela est rabaissé par la réalité montrée par Voltaire.

          Voltaire se moque aussi de la belle apparence morale de l’Inquisition car en réalité elle se cache derrière la religion pour s’enrichir de la société, elle en profite. Voltaire montre bien l’absurdité des moines d’abord par l’hypocrisie de ceci qui veulent paraître gentils et bons « Ils m’embrassèrent tendrement, me menèrent, … dans un cachot très frais », l’association de ces deux thermes dans cette même phrase montre bien la satire de Voltaire est ridiculise bien l’Inquisition. Ensuite quand Scarmentado est prié d’aller voir l’Inquisiteur qui celui-ci parait navré du mauvais accueil du jeune homme , il lui apporte même  une affection paternelle, il parait vraiment sincère et ceci a de l’apparence de tendresse mais en réalité on ressent encore la moquerie de Voltaire.

 

     Dans cet extrait Voltaire se protège en utilisant l’ironie, mais fait vraiment réfléchir le lecteur sur la société.

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