Commentaire de texte sur Karl.G.Jung, La nature de l'inconscient, in La réalité de l'âme
Publié le 15/03/2022
Extrait du document
«
II Faut-il condamner toutes les
croyances ?
Karl G.
Jung est un médecin psychate suisse du XXsiècle vivant à l’époque freudienne.
Durant cette époque, il y a eu un essor scientifique ou toute a été remis en question et vérifier par la
science.Comment Carl J'démontre que prouver l’existence d’une religion est tout aussi impossible
que de prouver son inexistence ?Pour lui, condamner toutes les croyances dues à l’inconscient
collectif est une erreur à ne pas commètre.
Après avoir vu comment la science n’arrive pas à prouver l’existence d’un être Suprême par des
méthodes scientifiques, il convient de montrer qu’il est impossible de prouver l’existence tout
comme l’inexistence d’une religion, avant de terminer sur le choix arbitraire et unique de chacun
d’entre nous sur la croyance..
Pour commencer, Karl G.
Jung nous fait rendre compte que depuis de mille-énaire,
l’Homme a toujours vécu avec des croyances.
Mais pourtant, aujourd’hui, l’existence d’un être
suprême est remise en question car les scientifiques affirment que « de telles idées ne sont pas
« vraies » »(ligne 3), donc toutes croyances sont fausses.
Pour eux, si l’on ne peut pas établir une
méthode scientifique pour prouver l’existence de ces religions, remettre en cause l’univers, le haut
delà de ce monde.
Comme personne n'est immortel, personnes peut expliquer tout ce qui s'est passé
dans les années antérieures.
De plus, on ne peut « établir d’une manière certaine qu’un père ou une
mère bien-aimée existe encore au-delà » ( ligne 3-4) pour veiller sur nous, ou encore que le paradis
et l’enfer existent.
Mais cette affirmation scientifique n’est pas valable car ces idées ne sont pas relement fausse
puisqu'elles « ne sont pas suffisamment vraies » ( lignes 6).
On ne peut pas dire qu’un élément est
faux s'ils manquent des choses vérifiables car, on ne peut pas tout vérifier.
Chaque personne peut
être influée par son inconscient collectif.
En effet, selon Karl G.
Jung notre inconscient est divisé en
deux "territoires" : le personnel et le collectif.
L’inconscient personnel est le produit des expériences
propres à chacun de nous.
L’inconscient collectif est né de toutes les expériences humaines depuis
l’aube des temps.
Mais dès que qu’ils doivent ritmer leurs vies (mariages,…), avoir un but où se
sentir bien, toutes ses croyances « resurgissent ».
Alors qu’à d’autre moments, ils peuvent aller
jusqu’à ne plus posséder de croyance.
Enfin, l’auteur montre que chacun est libre de croire en la religion qu’il souhaite comme il
n’y a pas de preuves qu’elle n’existe pas.
Il ne faut pas se laisser influer par notre inconscient
collectif .
Le sel est pris pour exemple : « même si notre raison ne confirmait pas notre besoin de
sel dans les aliments, nous ne tirerions pas moins profit de son usage.
Même si l’on objectait que
l’usage de sel flatte une simple illusion du goût, ou résulte d’une superstition, il n’en continuerait
pas moins à contribuer à notre bien-être.» ( ligne 12-14).
À l'aide de cet exemple, nous pouvons
comprendre que même si notre raison ne veut pas croire en quelque chose ou que l’on y doute, notre
besoin sera toujours présent et de manière involontaire va nous pousser à faire l’opposer de notre
raison.
Si posséder des croyances nous fait du bien et nous apporte du bénéfique tel que :
« contribuer à notre bien-être » ( ligne 14) ; « nous soutiendrait dans les moments de crise, et
donnerait un sens à notre vie.» ( ligne 15), pourquoi y renoncer et se faire du mal.
Même si « ces
idées sont probablement des illusions » ( ligne 17), il est impossible de prouver qu’elles n’existent
pas donc chacun est libre de pensée et croire comme ils le souhaite..
»
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