Commentaire de texte : la querelle des successions

« CIORCA Salomé Groupe 1, Section b Commentaire de texte : la querelle des successions « Que c’est faible, une reine, et que c’est peu de chose ».

Cette citation de Victor Hugo illustre parfaitement que la fonction royale n’est pas une attribution que l’on devait accorder à une femme.

La question de savoir si une femme est apte à gouverner est une question fondamental.

Jean de Venette est un chroniqueur français du XIVème siècle.

Il est né à Venette en 1307 et mort après 1368.

Ce dernier était d’origine paysanne et devient prieur en 1339 au couvant de l’Ordre de Carmel.

Il devient par la suite supérieur de cet ordre pour la France de 1341 à 1366.

La nature du texte est une chronique, au Moyen-Age, une chronique est un récit dans lequel les faits sont enregistrés dans l’ordre chronologique.

Jean de Venette est connu pour sa sympathie envers les paysans mais est totalement oppose aux nobles et aux Anglais.

De ce fait on remarque dans ses chroniques qu’il est fermement opposé aux prétentions d’Edouard III au trône de France dans ses récits.

Suite à la mort du roi Charles IV la question de qui lui succédera fait polémique.

On se demande si le trône doit revenir au petit fils de Philipe le Bel qui est Edouard III qui est le roi d'Angleterre et fils d’Isabelle ou le trône doit il revenir au Compte de Valois qui est le neveu de Philippe le Bel.

Dans ce texte Jean de Venette illustre toutes les difficultés que le royaume a connu pour la succession de la Charles IV.

En effet la difficulté est qu’il y a une absence de descendant mâle survivant, de ce fait l’attribution de la couronne est un sujet fondamental en ce qui concerne la succession royale.

Le texte met en lumière le principe de masculinité qui est du aux succession. Cette attribution de la couronne est un sujet fondamental puisqu’elle détermine qui sera le futur roi de France.

Le soucis est qu’il n’y a pas de règles clairement écrites, de ce fait il n’y a pas de règles. Seul le roi fait la loi ce qui mets en évidence le pouvoir royal.

La coutume ne suffirait plus ainsi la mise en place d’une Constitution écrite un moyen d’assurer la continuité de la succession royale. Ainsi nous verrons sur quels principe la masculinité s’est affirmé lors des successions royales au XIVème siècle ? La coutume à un impact sur l’affirmation de la masculinité au milieu du XIVème siècle (I), de ce fait ce renforcement de la masculinité écarte les femmes à l’accession au trône (II). I- L’affirmation du principe de masculinité par la présence de la coutume - Cette affirmation de la masculinité va s’affirmer et se renforcer tout d’abord en excluant le femmes (A), puis en s’opposant au roi « illégitime » (B). A) La légitimité d’Isabelle complètement évincé - Louis X qui est le fils aine de Philippe le Bel il laisse a sa mort une fille Jeanne.

Les barons décidèrent de l’exclurent à la succession au trône.

En effet Louis X n’a pas d’héritier masculin direct - Isabelle est la fille aine de Philippe le Bel elle est aussi la mère du roi d’Angleterre Edouard III. Cette dernière se voit elle aussi exclue de la couronne de France selon un adage « les Lys ne filent pas ».

La coutume voudrait que les femmes tissent mais ne se mélange pas au Lys qui représente le pouvoir royale. - Ce n’est pas Isabelle qui monte sur le trône en effet c’est son frère Philippe V sur le principe : «Une femme ne succède pas au royaume de France ». - Un régent n’est pas seulement une personne qui s ‘occupe des prérogatives royales durant une période donne, mais il représente un successeur potentiel au trône. - On relève que de 987 à 1316 le premier enfant du roi de France était un garçon.

Treize rois se succédèrent, c’est pour cela qu’il y a un caractère héréditaire à la monarchie française.

De ce fait l’enfant né doit être un garçon pour pouvoir gouverner afin de respecter la coutume B) Le rejet d’Edouard III - Les coutumes féodaux-vassalique impliquent le consentement des barons « les barons furent convoqués » .

Ainsi ces derniers sont convoqués afin de designer le futur un roi de France.

« garde du royaume ».... »