Commentaire de texte : Alain, « Libres propos »

« SERRUT Pierre TS3 Commentaire de texte Alain, « Libres propos » Dans nos sociétés actuelles la croyance religieuse est présente mais beaucoup moins qu’à d’autres périodes de l’histoire, on peut se demande où était la liberté dans ces périodes , et l’on peut se poser cette question avec la croyance en général: la croyance est -elle un obstacle à la liberté ? A cela Alain répond dans ce texte que pour être libre, on ne doit pas se contenter de croire aveuglement mais sans cesse remettre en question mes propres connaissances.

Pour cela il s’exprime en trois points distincts, il commence par définir le doute, puis par la suite regarde les différences entre se laisser à croire et toujours remettre tous en doute, il finira en rassemblant tout c ela et en se demandant qu’est ce qu’il faut toujours remettre en cause et de quel façon. Alain commence son texte par ceci « Le doute est le sel de l’esprit », pour l’expliquer il dit que le doute permet la connaissance, il utilise le sel ici pour nous faire penser à un plat pas ou peu assaisonné, en effet on peut supposer que pour lui le doute est une sorte d’ingrédient qui est presque tout le temps utilisé ou devrai l’être.

=l explique par la suite son idée, il nous montre de façon simple que le dout e est souvent juste utilisé après un échec quand on a cru et est souvent décevant et inutile c’est un «doute triste ; c’est un doute de faiblesse» en effet si l’on prend l’exemple d’une personne qui croit que qu’une autre personne l’aime, alors il peut s ’y attacher et lors de la découverte du fait que la personne ne l’aime pas il peux être blessé et avoir un doute dans sa confiance, un doute qui n’apporte rien d’enrichissant.

Cela peut être à partir de cas similaire où un doute inutile apparait qu’Alain a trouvé l’autre doute, celui qui permet le « vrai », celui qui fait que l’on cherche toujours à tout remettre en question pour pouvoir avoir des connaissances.

L’on a donc vu ici tout d’abord que le doute se traduit de deux façons, après un échec de croyan ce ou. »