Commentaire de texte: «à quoi songeait les deux cavaliers dans la forêt?»
Publié le 13/02/2022
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«
Commentaire de texte
Le poème « à quoi songeait les deux cavaliers dans la forêt ? » à été écrit en octobre 1841
dans le manuscrit.
C’est Victor HUGO qui l’a écrit, l’un des plus grands auteurs du XVIIIe
siècle.
Il à fait parti de la génération romantique, un courant artistique du début du XIXe
siècle.
Hugo s’inspire dans ce roman d’un voyage qu’il a fait dans la vallée du Rhin.
Ce poème
se trouve dans le livre IV des « Contemplations » qui à pour thème la mort de sa fille
Léopoldine.
Le poème met en scène deux cavaliers durant la nuit qui vont débattre de la mort
et de la vie.
Nous allons donc commencer ce commentaire par le coter lyrique du roman,
pathétique et philosophique.
Puis nous verrons et analyserons son côté narratif et descriptif
par sa progression et son ambiance.
Nous pouvons voir que le poème possède une dimension lyrique.
On le repère car il
renferme une dimension personnelle, une expression d’un sentiment violent et une musicalité
rythmique.
On peut voir la dimension personnelle malgré que ce soit une scène imaginaire
par l’utilisation de la première personne du singulier « je ».
On peut le voir également car
Hugo se confie à nous.
Et il nous donne son point de vue sur la mort : « Hélas, d’autres sont
endormis ! » (Vers 24).
Le verbe « endormis » rappelle la mort donc ce qui veut dire qu’Hugo
se plaint qu’il y ait des personnes qui meurt.
Et cela lui rappelle également le décès de sa fille
Léopoldine.
Ensuite, on peut voir qu’il y à une dimension lyrique car le texte dégage un
sentiment violent qui rappelle une extrême souffrance.
On comprend qu’il y a un sentiment
fort de la souffrance lorsqu’il dit : « je suis plein de regrets » ce qui rappelle une nouvelle fois
cette idée de souffrance.
On comprend le thème de souffrance lorsqu’il parle de « regrets » ce
qui dévoile sa souffrance et sa douleur.
De plus, Victor HUGO nous dis lui-même qu’il est
« brisé par la souffrance ».
Il utilise dans cette exemple une hyperbole « brisé » qui renforce
une nouvelle fois l’idée de » douleur extrême omniprésente.
Cette douleur est également
réelle car provient de la mort de sa fille ce qui fait ressortir la douleur de Victor HUGO qu’il
ressent.
Le poème possède également une dimension pathétique ? On le voit par : « je suis
plein de regrets », « les morts ; ce sont les cœurs qui t’aimaient autrefois » (Vers 33), « c’est
ton ange expiré ! C’est père et ta mère ! » (Vers 34).
Victor HUGO nous parle de tous ses
proches décédés dont sa fille qu’il à qualifié « d’ange expiré ».
Il compare sa fille à des choses
divines ou sacré ce qui appuie l’idée qu’il éprouve un lien fort entre lui et sa fille donc que sa
mort lui provoque énormément de souffrance.
De plus, en tant que lecteur, on peut se
retrouver dans ce poème car le fait qu’il repense à ses proches décédés provoque de la
tristesse tant à Victor HUGO qu’au lecteur.
Dans le deuxième vers relevé, HUGO utilise
plusieurs point d’exclamations afin de développer un aspect de souffrance violent qui, dans ce
vers se transforme en une colère intense.
On comprend donc que Victor HUGO est hanté par
tous ses morts, car il en parlera durant tous le passage concernant les morts.
Et cela accentue
une nouvelle fois l’idée de souffrance pathétique.
Cette idée est appuyé par : « Les tombeaux
sont refermés ! « (Vers 12), « tous ceux qui ne sont plus » (Vers18), « Je regarde en arrière ».
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