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COMMENTAIRE COMPOSE SUR LA LETTRE 20 DES LIAISONS DANGEREUSES

Publié le 15/05/2020

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« COMMENTAIRE COMPOSE SUR LA LETTRE 20 DES LIAISONS DANGEREUSE. Les liaisons Dangereuse publié en 1782 a été écrit par Pierre Choderlos de Laclos. Le roman s’ouvre sur une lettre de la jeune Cécile de Volanges, qui va sortir du couvent pour être mariée par sa mère, Mme de Volanges, à un certain Gercourt.

Cependant La marquise de Merteuil qui est proche de Mme de Volanges, apprend ce projet de mariage, et décide de se venger de Gercourt, ancien amant qui l’a quittée pour une autre femme.

Pour cela, elle propose à son ami et ancien amant, le Vicomte de Valmont, de pervertir la jeune Cécile afin de ruiner le mariage de Gercourt.

Mais le Vicomte de Valmont refuse l’offre, car il est retenu chez sa vieille tante Mme de Rosemonde, par la présence de la Présidente de Tourvel, jeune femme dévote et vertueuse. Valmont veut faire de cette séduction un exploit, mais ce projet agace Mme de Merteuil.

Parallèlement, la jeune Cécile, qui vient de quitter le couvent, s’éprend du Chevalier Danceny.

Valmont, qui fait surveiller Mme de Tourvel, apprend que celle-ci a été prévenue contre lui par Mme de Volanges.

Dès lors, il accepte de servir la vengeance de Mme de Merteuil, afin de se venger lui aussi, de Mme de Volanges.

Cependant, Cécile demande à Danceny de ne plus lui écrire, et la Présidente fait la même demande à Valmont.

Comment la pensée libertine de la marquise de Merteuil est présentée dans cette lettre ? Nous répondrons à cette question en deux mouvements, dans un premier temps nous verrons le portrait de la Marquise de Merteuil, puis pour finir nous étudirons l’écriture épistolaire. La marquise de Merteuil est une libertine accomplie.

Elle a passé sa vie à se jouer des hommes tout en gardant son honneur.

Dans cette lettre, elle est le narrateur.

Mme de Merteuil est donc représentée par la première personne du singulier « je » (l.

1 ;2, 3 ; 4 ; … ; 23 ; … ; 65 ), mais aussi par le pronom possessif « mon » (l.4 ; 36).

C’est une femme de caractère qui ne veut pas se laisser faire.

Elle a très vite compris qu’être une femme à la cour était un désavantage.

La marquise décide donc d’essayer dans tirer le plus d’avantage.

Elle nous le montre par l’utilisation de la modalisation de la certitude : « …je ne crois pas …» (l.

4), « …je diffère et j’ai raison.

» (l.

12-13), « Ou je me trompe, ou… » (l.

42).

En se jouant des hommes, Mme de Merteuil, aime manipuler les personnes.

Et elle prend un malin plaisir à en jouir de leur humiliation, elle est mauvaise.

Lorsqu’elle parle de son fiancé actuel, « …mon Chevalier » (l.

5), « il » (l.

5), on sent comme une façon de montrer que c’est elle qui tient les rênes, elle décide malgré le fait que c’est une femme.

Pour elle, ni sentiments et ni moral n’ont pas. »

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