Comment fait Victor Hugo pour toucher les lecteurs avec une histoire fictive qui dénonce la peine de mort ?
Publié le 28/06/2024
Extrait du document
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Commentaire littéraire
Le dernier jour d’un condamné est un roman de Victor Hugo qui
dénonce la peine de mort ave une histoire fictive.
Dans le chapitre trente-quatre, le narrateur, qui parle à la première
personne du singulier, décrit comment il se sent face a ses dernières
heures avant son exécution et décrit son passé.
Comment fait Victor Hugo pour toucher les lecteurs avec une histoire
fictive qui dénonce la peine de mort ?
Pour commencer un moment pathétique pour émouvoir le lecteur et pour
finir un moment de revendication.
Le narrateur avant son exécution, souffre du présent.
Le narrateur a
peur d’être exécuté mais c’est aussi la seule pensée qu’il a en tête car à la
deuxième ligne il dit qu’il a du mal à entendre à cause de ses « dernières
heures qui bourdonnent » et à la sixième ligne il dit que dans sa tête il n’y
a de « plus de place que pour les pensées de mort.
», vu que sa mort est
proche il n’arrive a pensée à autre chose.
Et à la neuvième ligne il dit qu’il
« frissonne » en pensant que dans quelques heures il sera mort, donc
dans son présent il souffre mentalement en pensant à une seule chose sa
mort.
Mais le narrateur souffre aussi de son passé.
Il repense à son
horrible crime mais aussi à sa jeunesse aux moments où il était libre, il
repense à d’horrible moments mais aussi aux meilleurs moments « Je me
recueille dans mes souvenirs » dit-il à la quatrième ligne mais dans ses
souvenirs il y a « mon crime » quatrième ligne mais aussi son « enfance....
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