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citations dissertation argumentation

Publié le 28/06/2024

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« 3Discours MARTIN LUTHER KING JR.

– “I HAVE A DREAM”: - (1.50-2.15) : « Mais, cents ans plus tard, le Noir n’est toujours pas libre.

Cents ans plus tard, la vie du Noir est encore terriblement handicapée par les menottes de la ségrégation et de la discrimination ». = INEGALITES RACIALES - (5.30) : « C’est l’heure d’émerger des vallées obscures et désolées de la ségrégation raciale pour fouler le sentier ensoleillé de la justice raciale ».

= ESPOIR/FORCE - (5.40) : « C’est l’heure de faire de la justice une réalité pour tous les enfants de Dieu ».

= FORCE/UNION - (7.30) : « Ne cherchons pas à satisfaire notre soif de liberté en buvant à la coupe de l’amertume et de la haine ».

= NON-VIOLENCE/PAIX - (8.30-8.40) : « Ils ont compris que leur liberté est inextricablement liée à notre liberté ».

= UNION/SOUTIEN - (12.30) : « Nous tenons ces vérités pour évidentes par elles-mêmes que tous les hommes sont créés égaux ».

= UNION/AMOUR/PAIX - (14.20-14.30) : « Je rêve qu’un jour toute la vallée sera relevée, toute colline et montagne seront rabaissées, les endroits escarpés seront aplanis et les chemins tortueux, redressés, la gloire du Seigneur sera révélée à tout être fait de chair ».

= PAIX/AMOUR/ESPOIR/UNION/FORCE/JOIE - Texte complémentaire : « De l’esclave des nègres », Montesquieu, 1748 : - (ligne 9-10) « On ne peut se mettre dans l’esprit que Dieu, qui est un être très sage, ait mis une âme, surtout bonne, dans un corps tout noir ». - (ligne 20-23) « Il est impossible que nous supposions que ces gens-là soient des hommes ; parce que, si nous les supposions des hommes, on - - - - commencerait à croire que nous ne sommes pas nous-mêmes chrétiens ». Les animaux malades de la Peste, Second recueil dédié à Madame de Montespan, Livre VII, Fable 1, Jean de La Fontaine : (ligne 4-11) « La Peste (puisqu’il faut l’appeler par son nom)Capable d’enrichir en un jour l’Achéron1,Faisait aux animaux la guerre.

Ils ne mourraient pas tous mais tous étaient frappés: On n’en voyait point d’occupés, À chercher le soutien d’une mourante vie; Nul mets n’excitait leur envie; » (ligne34-43) « Sire, dit le Renard, vous êtes trop bon Roi;Vos scrupules font voir trop de délicatesse; Et bien, manger moutons, canailles, sotte espèce, Est-ce un péché? Non non.

Vous leur fîtes Seigneur En les croquant beaucoup d’honneur.

Et quant au Berger, l’on peut dire Qu’il était digne de tous maux, Étant de ces gens-là qui sur les animaux Se font un chimérique empire » (ligne 58-64) « Ce pelé, ce galeux, d’où venait tout leur mal.

Sa peccadille fut jugée un cas pendable. Manger l’herbe d’autrui! quel crime abominable! Rien que la mort n’était capable D’expier son forfait: on le lui fit bien voir.

Selon que vous serez puissant ou misérable, Les jugements de cour vous rendront blanc ou noir ». Femmes, soyez soumises à vos maris, Voltaire, Mélanges, pamphlets et polémiques, 1759-1768 : (ligne 19-28) « L’abbé de Châteauneuf la rencontra un jour toute rouge de colère.

« Qu’avez-vous donc, madame ? » lui dit-il.

— J’ai ouvert par hasard, répondit-elle, un livre qui traînait dans mon cabinet ; c’est, je crois, quelque recueil de lettres ; j’y ai vu ces paroles : Femmes, soyez soumises à vos maris ; j’ai jeté le livre.

— Comment, madame ! Savez-vous bien que ce sont les Épîtres de saint Paul ? — Il ne m’importe de qui elles sont ; l’auteur est très impoli. Jamais Monsieur le maréchal ne m’a écrit dans ce style ; je suis persuadée que votre saint Paul était un homme très difficile à vivre.

Était-il marié ? — Oui, madame. — Il fallait que sa femme fût une bien bonne créature : si j’avais été la femme d’un pareil homme, je lui aurais fait voir du pays.

Soyez soumises à vos maris ! Encore s’il s’était contenté de dire : Soyez douces, complaisantes, attentives, économes, je dirais : voilà un homme qui sait vivre ; et pourquoi soumises, s’il vous plaît »? -(ligne30-34) « N’est-ce pas assez qu’un homme, après m’avoir épousée, ait le droit de me donner une maladie de neuf mois, qui quelquefois est mortelle ? N’est-ce pas assez que je mette au jour avec de très grandes douleurs un enfant qui pourra me plaider quand il sera majeur ? Ne suffit-il pas que je sois sujette tous les mois à des incommodités très désagréables pour une femme de qualité, et que, pour comble, la suppression d’une de ces douze maladies par an soit capable de me donner la mort sans qu’on vienne me dire encore : Obéissez » ? -(ligne 35-36)« Certainement la nature ne l’a pas dit ; elle nous a fait des organes différents de ceux des hommes ; mais en nous rendant nécessaires les uns aux autres, elle n’a pas prétendu que l’union formât un esclavage ». -(ligne 43-47) « On me parlait ces jours passés d’une princesse allemande qui se lève à cinq heures du matin pour travailler à rendre.... »

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