CHARADE

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Scénario D'après une histoire de Directeur de la photographie Musique Générique Production ..

Distribution Durée Stanley DONEN (1963) Peter STONE Peter STONE et Marc BEHM Charles LANG (Technicolor) Henri MANCINI Maurice BINDER Stanley DONEN Universal-International 114 minutes INTERPRÉTATION Peter Joshua .........

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« Reggie '' Lambert Hamilton Bartholomew Tex Penthollow Herman Scobie Leopold Gideon Inspecteur Édouard Grandpierre Felix Cary GRANT Audrey HEPBURN Walter MAITHAU James COBURN George KENNEDY NedGLASS Jacques MARIN Paul BONIFAS L'HISTOIRE Au retour d'un séjour aux sports d'hiver, la jolie Reggie Lambert, en instance de divorce, trouve son appartement saccagé et apprend la mort de son mari ...

L'inspecteur Grandpierre et Hamilton Bartholomew de la C.I.A.

lui expliquent que, lors de la dernière guerre, son mari, avec la complicité de Tex Pen­ thollow, Herman Scobie, Leopold Gideon, et un certain «Dyle" qui fut tué, a subtilisé et caché 250 000 dollars destinés à la résistance française.

Lambert a vraisemblablement été abattu parce qu'il voulait s'enfuir pour jouir seul du magot.

Mais ce dernier demeure introuvable ...

Reggie est inquiétée par les anciens com­ plices de son défunt époux.

Elle pense trouver un appui en la personne de Peter Joshua, un séduisant célibataire dont elle fit la connaissance aux sports d'hiver.

Mais Joshua, à son tour, semble avoir partie liée avec le trio de suspects ...

Petit à petit, les anciens complices sont assassinés mystérieusement : on découvre le cadavre de Scobie dans la salle de bains de Joshua, celui de Gideon dans un ascenseur.

Reggie finira par découvrir que son mari avait investi l'argent dans trois timbres de grande valeur.

Que Peter Joshua était en réalité un agent américain.

Et que le coupable n'était autre que Bartholomew qui l'avait mise en garde au début de cette affaire LA PETITE HISTOIRE La comédie policière est un genre difficile dans lequel s'illustrèrent entre autre John Huston (LE DERNIER DE LA LISTE), Mark Robson (PAS DE LAURIERS POUR LES TUEURS) ou Richard Brooks (DOL­ LARS) mais qu'Alfred Hitchcock porta au pinacle (MAIS QUI A TUÉ HARRY?, LA MORT AUX TROUSSES).

Stanley Donen, l'un des grands de la comédie musicale des années cinquante, a parsemé CHARADE de trouvailles humoristiques, de clins d' œil et de « private jokes" (idées et notations des­ tinées aux connaisseurs).

Au cours d'une scène sur les quais de la Seine, il fait dire à Audrey Hepburn : « C'ifst ici que Gene Kelly dansait dans UN AMERICAIN A PARIS." Plus tard, on entend quelques notes de CHANTONS SOUS LA PLUIE.

Ailleurs, on entrevoit un décor de DROLES DE FRI­ MOUSSE.

Les clins d'œil à Hitchcock sont eux-mêmes nombreux bataille sur un toit (SUEURS FROIDES}, enlèvement d'enfant (L'HOMME QUI EN SAVAIT TROP), assassinat dans une salle de bains (MAIS. »