CHAPITRE VIII - STENDHAL, LA CHARTREUSE DE PARME

« _ CHAPITRE VI II l ;i#-i 1 1MII Fabrice s' amo urac he d'une g entille actr ice du nom de Ma rietta.

Le co mte Mo sca s' en trouve tout à fait soula gé.

M ais pas l'amant en titre de la belle ingénue, un certain Giletti, da�«r sur co rde à la mine patibulaire, qui se r épa nd en injures contre Fab rice et veut le t uer.

Mais le c om te est là qui ve ille ...

e t pour sortir la duch esse de la m élancolie où l'a plongée cette a venture, il conseille le départ de Fabrice.

C elui-ci part re joindr e sa mère à B elg i­rate, l e cœur dépité de n'avoir pu pr ofiter de s promesses d'a mour de la jeune M arietta.

Sur place, il l ui pre�
p l'envie de co nsulter l'abbé Blanès et , pour cela, se r end de nuit à Grianta.

La beauté sublime du la c de C ôme, e n l'attendris­sant jusqu'aux larmes, calme son cha grin: il se prom et de ne ja mais parler d'amour à la duchesse.

L'accueil que lui ré ser ve le vie ux c uré est ce lui d'un père: a vec émotion, Fabr ice écoute ses ultimes c onseils et prédictions .

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COMMENTAIRE U ne méditation n octurne e t solitaire La station de F abr ice sur les bor ds du lac de Côme i ntroduit une pause dans l a course incessante à laquelle il est v oué: cet in termède, qui évoque l a rêverie de Julien dans la m ontagne lors de l a visite à Fou­qué, se lit comme une fa çon de prendre du champ et d' échapper aux vicissitudes d'un e vie a moureuse q ui l 'engage malgré lui.

L'échappée solitaire est car actérist ique des h éros sten dhaliens.

Ell e manifeste leur goû t pour la m édit ation_ : loin des hommes et du monde, loi n des scè nes de l'histoire mais dan s ùne ,nature q uasi archa'ique et ma tr icielle, il leur fa ut se ressourcer en s'abandonnant a u plais ir d' être soi, à la. »