CHAPITRE 3 – La difficile entrée dans l’âge démocratique : la Deuxième République et le Second Empire Cours 1. La Deuxième République (1848-1852) : entre espoirs et échecs (p. 92-93)
Publié le 06/01/2023
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CHAPITRE 3 – La difficile entrée dans l’âge démocratique :
la Deuxième République et le Second Empire
Cours 1.
La Deuxième République (1848-1852) : entre espoirs et
échecs (p.
92-93)
La révolution de février 1848 fait naître la Deuxième République et de grandes
espérances.
Mais celles-ci sont rapidement déçues et Louis-Napoléon
Bonaparte instaure son pouvoir personnel entre décembre 1851 et décembre
1852.
A - Le retour des idéaux démocratiques
La révolution de février 1848.
L’interdiction par le pouvoir d’un banquet républicain
à Paris provoque une vague de protestations.
Du 22 au 25 février 1848, une
révolution parisienne renverse la monarchie de Juillet.
Un gouvernement provisoire
proclame la République, la deuxième après celle de 1792.
Diverses tendances y sont
représentées : l’une modérée avec Lamartine, l’autre proche du socialisme avec
Louis Blanc ou l’ouvrier Albert.
« L’esprit de 1848 ».
L’espoir est immense, un climat d’euphorie s’installe : c’est «
l’esprit de 1848 ».
Des arbres de la liberté sont bénis par des prêtres.
Les libertés de
la presse et de réunion sont rétablies.
Les clubs politiques se multiplient.
Le
gouvernement provisoire institue le suffrage universel masculin, qui fait passer le
corps électoral de 250 000 à 10 millions de Français de plus de 21 ans.
Dans les
colonies, l’esclavage est aboli le 27 avril.
La peine de mort pour délit politique
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est supprimée.
Le désenchantement des femmes.
Eugénie Niboyet créé le journal La Voix des
femmes, Jeanne Deroin milite au sein du club de l’Émancipation des femmes pour
que le droit de vote ne soit pas un privilège masculin.
Mais ces militantes féministes
se heurtent à une misogynie quasi générale et, le 26 juillet, on interdit aux femmes
de participer à tout débat public.
B - L’échec de la république sociale
Les ateliers nationaux.
Le gouvernement souhaite régler la question sociale.
Le
temps de travail est réduit à 10 heures à Paris, à 11 heures en province.
La création
d’ateliers nationaux répond au chômage des ouvriers.
Cette mesure est financée par
une hausse des impôts directs de 45 % (les « 45 centimes ») qui mécontente
l’opinion, notamment les paysans.
L’opposition entre modérés et socialistes.
En avril 1848, les législatives sont
remportées par les républicains modérés face aux royalistes et aux socialistes (doc.
2).
Pourtant, à Paris, la pression des clubs politiques est constante.
Le 15 mai,
l’Assemblée nationale est envahie par la foule.
Le prétexte est tout trouvé pour
arrêter les meneurs comme Auguste Blanqui et mettre fin à la « menace rouge ».
La révolution des prolétaires.
En réaction, le nouveau gouvernement annonce la
fermeture des ateliers nationaux considérés comme des foyers d’agitation.
Du 23 au
26 juin 1848, les ouvriers des quartiers populaires de l’Est parisien et de Marseille se
soulèvent.
À Paris, le général Cavaignac reçoit les pleins pouvoirs pour réprimer
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violemment les insurgés.
C - La fin de la République
Le parti de l’Ordre.
Après les journées de juin 1848, la droite royaliste se rassemble
dans le parti de l’Ordre conduit par Adolphe Thiers et fait pression sur le
gouvernement.
La journée de travail est de nouveau fixée à 12 heures.
Des mesures
limitent la liberté d’expression.
La République ne sera pas sociale, et elle devient de
moins en moins démocratique par peur du prolétariat.
La question des institutions.
La constitution du 4 novembre 1848 répartit
difficilement les pouvoirs entre une Assemblée législative et un président de la
République, élu pour quatre ans et non rééligible (doc.
1).
Le 10 décembre 1848,
Louis-Napoléon Bonaparte est élu président de la République comme candidat du
parti de l’Ordre, qui triomphe aux législatives de mai 1849.
La loi électorale du 31 mai
1850 restreint le suffrage en radiant des listes 3 millions d’électeurs.
Vers le Second Empire.
Louis-Napoléon Bonaparte cherche à réviser la
Constitution pour pouvoir être réélu.
N’y parvenant pas, il organise un coup d’État le
2 décembre 1851, tout en rétablissant le suffrage universel masculin.
La résistance
est assez faible à Paris, car les ouvriers ne veulent pas défendre le régime qui les a
réprimés en juin 1848.
Elle est plus forte dans les campagnes du sud-est et du centre
de la France.
Le 2 décembre 1852, la République est abolie au profit du Second
Empire ; Louis-Napoléon Bonaparte devient « empereur des Français ».
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Cours 2.
Le Second Empire (1852-1870) : de la dictature au régime
parlementaire (p.
94-95)
Devenu empereur des Français en 1852, Napoléon III entend concilier les
acquis de 1789 et le maintien de l’ordre.
Le régime impérial se démocratise
dans les années 1860.
Il est renversé non par l’opposition, mais à cause de sa
défaite militaire face à la Prusse.
A - L’empire autoritaire
Une nouvelle monarchie.
Napoléon III devient empereur le 2 décembre 1852.
C’est
la date anniversaire du sacre de Napoléon Ier en 1804 et de la victoire d’Austerlitz en
1805, ce qui permet au régime de s’inscrire dans la tradition napoléonienne.
Le
mariage avec Eugénie de Montijo, une jeune noble espagnole, puis la naissance du
prince impérial en 1856 installent la dynastie.
Un régime autoritaire.
Napoléon III concentre les pouvoirs exécutif et législatif.
Il a
l’initiative exclusive des lois.
Les députés du corps législatif sont élus au suffrage
universel masculin, mais leur action est limitée par le Conseil d’État, qui rédige les
projets de loi et les amendements, et par le Sénat, qui peut bloquer une loi.
Les
sénateurs sont membres de droit (cardinaux, amiraux et maréchaux) ou nommés à
vie par l’empereur (doc.
1).
La répression des oppositions.
Les préfets nommés par l’empereur quadrillent le
territoire.
Ils désignent les candidats officiels aux élections législatives et nomment
les maires des communes.
À l’université, les historiens Edgar Quinet et Jules
Michelet sont exclus en raison de leurs opinions républicaines.
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Le contrôle de la presse pousse les journalistes à l’autocensure.
Contraint à l’exil,
Victor Hugo écrit depuis les îles anglo-normandes un recueil de poèmes, Les
Châtiments, contre « Napoléon le petit ».
B - Le « césarisme démocratique »
Le maintien du suffrage universel.
Napoléon III a légitimé le coup d’État par le
rétablissement du suffrage universel et affirme tenir son pouvoir du peuple, qu’il
consulte par plébiscite (doc.
2).
Le césarisme démocratique se présente comme une
alternative à la démocratie parlementaire.
La pratique du vote s’enracine en France,
même si les élections sont truquées par le système des candidats officiels.
La recherche de nouveaux soutiens.
En négociant, en 1859, le rattachement de
l’Italie centrale au royaume de Sardaigne contre les intérêts du pape (voir p.
146),
Napoléon III mécontente les catholiques.
Un traité de libre-échange conclu avec la
Grande-Bretagne en 1860 inquiète les milieux d’affaires qui craignent la concurrence
anglaise.
Napoléon III se trouve alors lâché par ses soutiens habituels et contraint
d’en chercher d’autres.
Il tente de se rapprocher des ouvriers en accordant en 1864
le droit de grève, mais il ne parvient pas à les détacher de l’opposition républicaine.
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C - Vers un Empire libéral ?
Les concessions politiques.
Napoléon III décide alors de se rapprocher des
libéraux, en leur accordant les « libertés nécessaires » réclamées en 1864 par
Thiers.
Les députés reçoivent le droit d’amender les projets de loi (1866) et
d’interpeller le gouvernement (1867).
Les libertés de la presse et de réunion sont
quasiment rétablies en 1868.
Ces mesures renforcent l’opposition républicaine, qui
s’efforce depuis quelques années de jouer le jeu des élections et de diffuser ses
valeurs dans la société civile.
Aux élections législatives de 1869, les candidats
officiels réunissent 4 438 000 voix et ceux de l’opposition 3 355 000.
Un régime quasiment parlementaire.
La Constitution est révisée en 1870 : le
gouvernement est désormais responsable devant l’empereur et devant le corps
législatif.
Émile Ollivier, républicain rallié à l’Empire, devient chef du gouvernement.
Napoléon III a presque accepté le régime parlementaire, mais il cherche à maintenir
son lien direct avec le peuple.
Il organise donc un plébiscite, par lequel les Français
approuvent à 85 % les réformes.
Mais la défaite face aux Prussiens, qui capturent
Napoléon III le 2 septembre 1870, porte un coup fatal à un régime fondé sur la gloire
militaire et le prestige de l’empereur.
Le 4 septembre 1870, le Second Empire
disparaît avec la proclamation d’une nouvelle République.
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Doc 2 p.
96 : Le drapeau de la France
Le 25 février 1848, le drapeau rouge est brandi par les insurgés parisiens
devant l’Hôtel de Ville, où se forme le gouvernement provisoire.
Lamartine
répond à un Parisien réclamant son adoption comme drapeau officiel de la
République.
Citoyens, vous pouvez faire violence au gouvernement, vous pouvez lui commander
de changer le drapeau de la nation et le nom de la France.
Si vous êtes assez mal
inspirés et assez obstinés dans votre erreur pour lui imposer une République de parti
et un pavillon de terreur, le gouvernement, je le sais, est aussi décidé que moi-même
à mourir plutôt que de se déshonorer en vous obéissant.
Quant à moi, jamais ma
main ne signera ce décret.
Je repousserai jusqu’à la mort ce drapeau de sang, et
vous devez le répudier plus que moi, car le drapeau rouge que vous rapportez n’a
jamais fait que le tour du Champ-de-Mars, traîné dans le sang du peuple en 91 et en
93, et le drapeau tricolore a fait le tour du monde, avec le nom, la gloire et la liberté
de la patrie.
[…] C’est le drapeau de la France, c’est le drapeau de nos armées
victorieuses, c’est le drapeau de nos triomphes qu’il faut relever devant l’Europe.
[…]
Ah ! Embrassons-nous, aimons-nous, fraternisons comme une seule famille, de
condition à condition, de classe à classe, d’opulence à indigence.
Lamartine, Discours du 25 février 1848.
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Doc 3 p.
97 : Le suffrage universel
Au nom du gouvernement provisoire, Lamartine présente aux Français la
nouveauté du suffrage universel.
[…] Nous avons hâte de remettre la République à la nation.
La loi électorale
provisoire que nous avons faite est la plus large qui, chez aucun peuple de la Terre,
ait jamais convoqué le peuple à l’exercice du suprême droit de l’homme, sa propre
souveraineté.
L’élection appartient à tous sans exception.
À dater de cette loi, il n’y a
plus de prolétaires en France.
Tout Français en âge viril est citoyen politique.
Tout
citoyen est électeur.
Tout électeur est souverain.
Le droit est égal et absolu pour
tous.
Il n’y a pas un citoyen qui puisse dire : « Tu es plus souverain que moi ! ».
Contemplez votre puissance, préparez-vous à l’exercer, et soyez dignes d’entrer en
possession de votre règne.
Le règne du peuple s’appelle la République.
Si vous
nous demandez quelle république nous entendons par ce mot, et quels principes,
quelle politique, quelles vertus nous souhaitons aux républicains que vous allez élire,
nous vous répondrons : regardez le peuple de Paris et de la France depuis la
proclamation de la République.
Le peuple a combattu avec héroïsme.
Le peuple a triomphé avec humanité.
Le
peuple a réprimé l’anarchie dès la première heure ! Le peuple a brisé de lui-même,
aussitôt après le combat, l’arme de sa juste colère.
Il a brûlé l’échafaud.
Il a proclamé
l’abolition de la peine de mort contre ses ennemis.
Alphonse de Lamartine, Déclaration du gouvernement provisoire le
17 mars 1848, Œuvres complètes, t.
39, 1863.
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Doc 1 p.
98 : Un rêve qui se réalise
George Sand, de retour de Paris à Nohant, écrit à son ami Charles Poncy,
poète ouvrier.
Vive la République ! Quel rêve, quel enthousiasme et en même temps quelle tenue,
quel ordre à Paris ! J’en arrive, j’y ai couru, j’ai vu s’ouvrir les dernières barricades
sous mes pieds.
J’ai vu le peuple grand, sublime, naïf, généreux, le peuple français,
réuni au cœur de la France, au cœur du monde, le plus admirable peuple de
l’Univers.
J’ai passé bien des nuits sans dormir, bien des jours sans m’asseoir.
On
est fou, on est ivre, on est heureux de s’être endormi dans la fange 1 et de se réveiller
dans les cieux.
Que tout ce qui vous entoure ait courage et confiance ! La
République est conquise, elle est assurée, nous y périrons tous plutôt que de la
lâcher.
[…] Je repars pour Paris dans quelques jours probablement, pour faire soit un
journal, soit autre chose.
Je choisirai le meilleur instrument possible pour
accompagner ma chanson.
J’ai le cœur plein et la tête en feu.
Tous mes maux
physiques, toutes mes douleurs personnelles sont oubliés.
[…] Je suis revenue ici
aider mes amis dans la mesure de mes forces à révolutionner le Berry qui est bien
engourdi.
Maurice2 s’occupe de révolutionner la commune.
Chacun fait ce qu’il peut.
George Sand, Lettre à Charles Poncy, 9 mars 1848.
1.
Boue (George Sand décrit ici le sentiment des rév olutionnaires de février
1848 transformés en héros).
2.
Maurice, son fils, devenu maire de Nohant.
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Doc 2 p.
98 : « Occupée comme un homme d’État »
George Sand a rédigé (anonymement) certains des Bulletins de la République,
circulaires envoyées par le ministère de l’Intérieur aux maires des communes.
Elle en parle à son fils.
Mon Bouli,
Me voilà déjà occupée comme un homme d’État.
J’ai fait déjà deux circulaires
gouvernementales aujourd’hui, une pour le ministère de l’Instruction publique, et une
pour le ministère de l’Intérieur.
Ce qui m’amuse, c’est que tout cela s’adresse aux
maires, et que tu vas recevoir par la voie officielle les instructions de ta mère.
Ah ! Ah ! monsieur le maire ! Vous allez marcher droit, et pour commencer, vous
allez lire vos Bulletins de la République tous les dimanches à votre garde nationale
réunie.
Quand vous l’aurez lu, vous l’expliquerez, et quand ce sera fait, vous
afficherez ledit Bulletin à la porte de l’église.
Les facteurs ont l’ordre de faire leur
rapport contre ceux des maires qui y manqueront.
[…] Nous l’aurons, va, la République, en dépit de tout.
Le peuple est debout et
diablement beau ici.
Tous les jours et sur tous les points, on plante des arbres de la
liberté.
J’en ai rencontré trois hier en diverses rues, des pins immenses portés sur les
épaules de cinquante ouvriers.
George Sand, Lettre à Maurice Dudevant-Sand, 23 mars 1848.
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Doc 3 p.
99 : L’affranchissement de la femme
George Sand répond aux militantes féministes qui ont présenté sans la
consulter sa candidature à l’Assemblée constituante.
Les femmes doivent-elles participer un jour à la vie politique ? Oui, un jour, je le crois
avec vous, mais ce jour est-il proche ? Non, je ne le crois pas, et pour que la
condition des femmes soit ainsi transformée, il faut que la société soit transformée
radicalement.
[…] Quelques femmes ont soulevé cette question : pour que la société
soit transformée, ne faut-il pas que la femme intervienne politiquement dès
aujourd’hui dans les affaires publiques ? – J’ose répondre qu’il ne le faut pas, parce
que les conditions sociales sont telles que les femmes ne pourraient pas remplir
honorablement et loyalement un mandat politique.
La femme étant sous la tutelle et
dans la dépendance de l’homme par le mariage, il est absolument impossible qu’elle
présente des garanties d’indépendance politique […].
Je dirai toute ma pensée sur ce fameux affranchissement de la femme dont on a tant
parlé dans ce temps-ci.
Je le crois facile et immédiatement réalisable, dans la
mesure que l’état de nos mœurs comporte.
Il consiste simplement à rendre à la
femme les droits civils que le mariage seul lui enlève, que le célibat seul lui conserve
; erreur détestable de notre législation qui place en effet la femme dans la
dépendance cupide de l’homme, et qui fait du mariage une condition d’éternelle
minorité […].
George Sand, Aux membres du Comité central, lettre inachevée
et non expédiée, mi-avril 1848.
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Doc 1 p.
100 : Le candidat du suffrage universel
Élu député en 1848, Louis Cormenin est un juriste favorable au suffrage
universel et spécialiste des élections.
Louis-Napoléon Bonaparte est un nom qui est un souvenir et qui est une espérance.
[…] Louis-Napoléon Bonaparte sera élu président parce que libre du passé, dégagé
du présent, il tient l’avenir.
Parce que son nom, c’est la confiance,
Parce que son nom, c’est la démocratie organisée,
Parce que son nom, c’est le peuple.
[…]
Le peuple a l’instinct plus sûr, la vue plus nette et le cœur plus grand que les
sophistes1 et les journaux.
En nommant Louis-Napoléon, il reconquiert le suffrage
universel, la seule et vraie conquête ; il assoit sa souveraineté.
[…]
Les journaux qui discutent Louis-Napoléon se croient encore sous Louis-Philippe
avec un cens de 200 francs.
Ils ont oublié que nous avons le suffrage universel, qui
ne les subit plus, et sept millions d’électeurs qui voient sans les écouter.
Leurs
abonnés ne sont pas le pays !
Louis Cormenin, Opinion du....
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- Les républicains sous 1852 - 1870le Second Empire.