CFPC

« 1 / 2 CFPC 1 Le Centre chretien des patrons et dirigeants d'entre- prises francals a conserve l'ancien sigle CFPC (Centre francais du patronat chretien) eves avoir change le nom de son mouvement en 1958.

Le CFPC n'est pas un organe de defense des interets professionnels du patro- nat, mais un centre de reflexIon d'inspiration chretienne. II 44 reunit les dirigeants d'entreprise resolus faire face en chretiens 8 leurs responsabilites propres dans les entreprises, les professions et l'ecenomie tout entiere, voulant se penetrer de la doctrine sociale de I'Eglise, la faire connaltre, en faire progresser ('application par leurs recherches et leurs initiatives 2 Le CFPC a environ 2 500 adherents.

Mais son influence se prolonge par les 2 000 abonnes libres A ses publications (dont la revue mensuelle 44 Professions et Entreprises *). II possede egalement un bulletin de liaison inteme.

Les adherents sont groupes, sur le plan local, en 80 sections interprofessionnelles, regroupees en unions regionals.. Cheque sectionaun conseiller ecclesiastique.

Des assises nationales rassemblent tous les deux ans les membres du mouvement.

Un conseil national reunit les responsables pas sections une fois par an.

Le comite directeur national (35 membres elus par le conseil natio- nal) se reunit une fois par mois.

Le bureau national, elu par le comite directeur, comprend neuf membres et le conseiller eccieslastlque national (en 1976, le R.P.

Georges Ducoin s.j.). 3 En 1926 *Malt fondee Ia Confederation francaise des professions (CFP) par Ia fusion de l'Union fraternelle du commerce et de l'industrie, qui se proposait depuis 1891 de reformer les mceurs des milieux d'affaires salon les idees de l'encyclique a Rerum Novarum promulguee par le pape Leon XIII en 1891 (qui donna epaleinent son impulsion au syndicalisme chretien), et du Syndicat cen- tral des Unions federales oetholiques, no en 1899.

En CFPC 1 Le Centre chrétien des patrons et dirigeants d'entre­prises français a conservé l'ancien sigle CFPC (Centre français du patronat chrétien) après avoir changé le nom de son mouvement en 1958.

Le CFPC n'est pas un organe de défense des intérêts professionnels du patro­ nat, mais un centre de réflexion d'inspiration chrétienne.

Il « réunit les dirigeants d'entreprise résolus à faire face en chrétiens à leurs responsabilités propres dans les entreprises, les professions et l'économie tout entière, voulant se pénétrer de la doctrine sociale de l'Eglise, la faire connaître, en faire progresser l'application par leurs recherches et leurs initiatives ».

2 Le CFPC a environ 2 500 adhérents.

Mais son influence se prolonge par les 2 000 abonnés libres à ses publications (dont la revue mensuelle « Professions et Entreprises »).

Il possède également un bulletin de liaison interne.

Les adhérents sont groupés, sur le plan local, en 80 sections interprofessionnelles, regroupées en unions régionales.

Chaque section a un conseiller ecclésiastique.

Des assises nationales rassemblent tous les deux ans les membres du mouvement.

Un conseil national réunit les responsables des sections une fois par an.

Le comité directeur national (35 membres élus par le conseil natio­ nal) se réunit une fois par mois.

Le bureau national, élu par le comité directeur, comprend neuf membres et le conseiller ecclésiastique national (en 1976, le R.P.

Georges Ducoin s.j.).

3 En 1926 était fondée la Confédération française des professions (CFP) par la fusion de l'Union fraternelle du commerce et de l'industrie, qui se proposait depuis 1891 de réformer les mœurs des milieux d'affaires selon les idées de l'encyclique « Rerum Novarum » promulguée par le pape Léon XIII en 1891 (qui donna également son impulsion au syndicalisme chrétien), et du Syndicat cen­ tral des Unions fédérales catholiques, né en 1899.

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