Carnet de lecture, primo Levi

« Carnet de lecture Si cÕest un homme de Primo Levi PrŽface Dans cette prŽface nous avons lÕimpression que le narrateur est boulversŽ.

Ce rŽcit semble passionnant et pleins dÕhistoire.

Auteur : Primo Levi Date de parution : 1947 1- le voyage De la page 1 a 13, nous comprenons que lÕhomme de 24 ans ne va tre emprisonnŽ dans les camps que le 13 dŽcembre 19343 soit ˆ la fin de la guerre.

Dans les camps de juifs situŽ ˆ Fossoli, il se retrouve entourŽe de 600 juifs.

2- le fond A leur arrivŽ au camp, les Italiens sont stupŽfait quand le SS leur dit quÕils ne peuvent pas boire alors quÕils sont assoiffŽs.

Je trouve anormal quÕil les prive de tout alors quÕils nÕont rien fait.

Au fur et ˆ mesure que les jours passent, on comprend la pauvretŽ du lieu et la misre dans laquelle ils vivent. 3-initiation Au dŽbut du chapitre 3, le narrateur nÕest plus quÕun numero le 175517.

Il peine ˆ trouver un couchage, nŽglige son hygine et voit la portion de nourriture de son voisin toujours plus grosse que la sienne.

Son ami Steinlauf essaie de lui remonter le morale tant quÕil peut.

4- K.B. Le narrateur blessŽ rentre au KB.

Ce qui le dispense alors de travail.

Il rencontre deux hommes nommŽs Schmuleh et Walter.

Schumel atteint dÕune maladie incurable sera gazŽ.

JÕai trouvŽ ce passage trs Žmouvant.

5- Nos nuits Aprs sa blessure, lÕauteur est renvoyŽ dans un nouveau block.

Celui-ci est dirigŽ par son meilleur ami.

Je trouve quÕil a beaucoup de chance.

Le retour au travail lui est trs compliquŽ mais le plus pesant sont les nuits.

La nuit, recommence alors les insomnies, les rŽveils nocturne pour aller au seau... 6- le travail LÕhomme nous dŽcrit une journŽe de travail.

Je trouve ce travail trs dur surtout quÕil mange peu.

Il doit porter de lourd de charge sur ses Žpaules jusquՈ un entrep™t.

Comme le narrateur est trs maigre et de petits taille lÕeffort lui est plus pŽnibles.

Il fait ˆ leur Žquipe avec son compagnon de couchette qui est grand et serviable.

On a lÕimpression que le travail lui alors moins rude.

Le seul moment qui mÕapparait reposant pour cet homme est la soupe.

7- une bonne journŽe Au dŽbut, je ne comprenais pas pourquoi il parlait de Ç bonne journŽe È alors quÕil avait travaillŽ.

Vers le milieu du chapitre, je comprends que cÕest une bonne journŽe car les hommes de la buna retrouve le soleil et que ce komando DOM a plus ˆ manger que dÕhabitude gr‰ce a leur Kapo.. »