Carnet de lecture des Fleurs Du Mal

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l’époque moderne par la veste du seul personnage ainsi la lampe brillante au-dessus. Le personnage a l’air attristé et solitaire dans l'une des villes les plus fréquentées et modernes du monde. Sa solitude est soulignée par l’éclairage de la lampe qui met le personnage au centre de la scène. On peut imaginer que le personnage représente Baudelaire, baigné dans la tristesse après ses échecs poétique dans la ville, et isolé du reste de la ville. Impressions de lecture D’abord je trouve que la lecture n’est pas trop difficile, il me faut que quelques relectures pour comprendre les enjeux de la section. J’ai l’impression que Baudelaire cherche toujours d’immerger lui-même dans l’obscurité où il tente toujours quelque chose de lumineuse. Le poète comprend qu’il est le seul à pouvoir trouver la lueur dans le noir. Mais plus il avance, plus il se perd. Il est trop dissemblable de ce monde comme la façon qu’il exploite la beauté d’une Paris si éblouissante et si charmante : le poète s’intéresse aux personnes que tout le monde évite et stigmate, parce qu’il sait qu’il y a que lui qui peut trouver la clarté la joliesse dans ces gens. Mais, plus il essaie, plus il souffre quand il n'y arrive pas non plus à s’intégrer avec les gens qu’il pense d’avoir l’affinité. Je pense que la raison est que Baudelaire est trop atypique, il comprend trop de monde donc il voit des démons partout, on dirait que le poète est déjà en train de vivre dans le gouffre. Thématiques Après l’échec de la poésie dans l’idéal contre le Spleen dans la dernière section, l’auteur se réfugie dans la ville en espérant de pouvoir reconstruire son monument poétique. L’auteur cherche la beauté de la ville de Paris dans les classes le plus bas, les plus infortunés, les coins cachés, les coins les plus malfaisants. Au milieu d’une ville si splendide, Baudelaire sait qu’il y a seulement lui qui voit la beauté dans cette côté considérée comme honteuse pour la ville. Le poète trouve l’empathie envers les plus malchances de Paris, parce que comme lui, ils se sont faits rejetés par la société tel que les aveugles, les vieillards, les mendiantes, les prostitueuses... Il esquisse de la manière la plus nue possible et décrit méticuleusement la splendeur il creuse de ces personnes, comme pour les petites vieilles, l’auteur avoue qu’elles ont une apparence monstrueuse mais il trouve comme même la beauté à travers leurs yeux qu’il compare aux “yeux divins de la petite fille” et “ont d’invincibles charmes” Malgré ces efforts, l’auteur ne trouve aucune connexion avec les gens qu’il cherche à rapprocher. Il revient dans sa situation au début de la section : toujours solitaire, toujours déprimé, mais, au milieu d’une grande ville, au milieu d’une mer de gens. Dans cette section, le poète déploie en majorité les métaphores et les comparaisons, avec le but comme la section précédente, de simplifier, clarifier et traduire les idées de l’auteur à la forme d’une image pour les lecteurs. Puisque les personnages que l’auteur dépeint ont des caractéristiques excentriques, qui est la cause de leur éloignement avec la société, mais ainsi des caractéristiques uniques et fascinants que seulement que les yeux transparents de Baudelaire peuvent apercevoir, donc l’emploi d’antithèse est fondamental. Texte choisi Les aveugles Ce poème m’a d’abord étonné par le façon que Baudelaire voit les aveugles. Il ne montre aucune compassion pour le malheur des aveugles. Il les décrit comme des êtres hideux en utilisant les termes “affreux”, “ridicules” ou “terribles”. Puis, quand l’auteur se place dans la situation des aveugles, il réalise qu’ils subissent d’une condition horrible durant toute leur vie, qui est de vivre dans le noir. Le poète a ainsi trouvé le point commun entre lui et les aveugles qui est l’exclu de la société. Ils sont tout aussi malheureux que lui, c'est à ce moment-là qu'il a trouvé de la sympathie vers les aveugles. Comme nous tous, l’auteur est curieux de la condition des aveugles : “Qu’est-ce qu’il voit dans ce noir illimité exactement ? Comment ils vont ressentir la beauté de cette vie ?”. Citations “Le vieux Paris n'est plus (la forme d'une ville Change plus vite, hélas ! Que le cœur d'un mortel) ;” Vers 7 et 8 de Le Cygne Cette citation me rappelle l’incendie à Notre-Dame de Paris il y a 2 ans, lorsque j’habite encore dans cette ville. Tout le monde était sous le choc, on a suivi les actualités pendant toute la soirée en espérant que les pompiers vont bientôt éteindre le feu pour sauver ce symbolique et majestueux édifice. Pendant cette soirée, toute ma famille a aussi recherché tous nos photos avec Notre-Dame. On se sent tous que Paris a perdu son cœur, elle ne va jamais être le même sans ce cathédral, même s’il sera rebâti, l'ancienne version sera toujours plus précieuse, puisqu’elle a vécu des moments historiques avec la ville, gouté de la douceur et d’amertume et accueillant des millions de visiteurs y compris ma famille