CADAVRES EXQUIS

« CADAVRES EXQUIS Réalisation Scénario .....

...

.. ...

........ ................ ....

.

.

D 'après l e roman de ......... ...

..

.. ......... ......

.

Directeur de la photographie Musique ...... ..... ................. ...... ........

.

Production .... .... ..... ............ ...

.. .... ......

.

Distribution Dur ée INTERPRÉTATION Inspe c teur Amerigo Rogas ............ ...... .... ....

.

Le ministre de la Sûret é ...................... ..... .

.

Le président Rich es ..... ............. ..............

.

Le procureur Varga s .. .............. ..... ... .......

.

Le chef de la Police ...... ..... ....... .......... ....

.

Le paresseux ... ..... .

.... ........ ..

. .... ..........

.

D octeur Maxia ........ ...... ....

..... ..... ........

.

Le juge Rasto ... ...... ...... ......

...... ........ ..

.

Le commissaire , ami de Rogas ......... .............

.

La prostitu ée ......... ............. ......... ..

.. ...

.

L'ffiSTOIRE Francesco ROSI (1976 ) Francesco ROSI Tonino GUE RR A Lino JANNUZZI Leonardo SC I ASCIA Pasqualino DE SANTIS (Tec hnicol or) Pierro PICCIONI P.E.A.

(Rome ) Les Artistes Associés ( Paris) Artistes Associés 120 minutes Lino VENTURA Fernando REY Max VON SYDOW Charles VANEL Tino CARRARO Marcel BOZZUFFI Paolo BONACELLI A lain CUNY Renato SALVATORI Tina AUMONT Le vieux procureur Varg as est assassiné quelque s instants après être sorti des cata­ combes où il venait d e se livrer à la mé ditation.

L'in s pecteur Ro gas , charg é de l'enqu ête, as­ s iste à ses grandioses fun éra illes, l esq uelles sont troublées par des m a nifestation s de jeu­ nes gens venus dénoncer l'administr ation cor­ rompue de la cité.

En moins d'une semaine, en des lieux proches , deux autres magistr a ts sont tués dans des circonstances ana logues.

Tous deux sont pareillement jug és corrompus.

En désaccord avec son supér ieur, qui est ime que le coupable est assu r ément un dés équilibré , Roga s émet l'hypot hèse de la vengea nc e d'un homme inju ste ment condamné.

D 'autres inci­ dents , tout aussi troubl ants , fini ssent par le conv a in cre que ses supérieurs , en complicité avec les chefs des forc es arm ées , se trouvent impliqu és dans une vaste conj uration contre l'Éta t et que Crès n 'a été e ntre leur s main s qu'un instrument.

Par un ami d 'enfanc e, Cu­ san .

journali ste marxist e, Ro gas parvient à obtenir un e ntretien avec le secrétaire du parti commun iste qu'il tient à informer imm édi ate­ ment.

Rendez-vous est pris dans une salle du musée de la ville.

C'est là que le s deux homme s seront abatt us.

LA PETITE HISTOIRE Publié en 1971 .

le roman du Sicili en L eo­ nard o Sciascia a1·ai1 pour cad re 1111 pays san s r éalit é.

i11s cri1dan s 1111e di111 ensi o 11 mé taph ysi­ que, mais qui , au fil des années, d 'après Scias cia , a fini par resse mbl er à /' I tali e de faço n plus précise.

Bi en qu'il air d écidé d 'être fidèl e à l'esprit du livre, R osi , le Napolitain, se deva it de te nir compt e des d emiers évé n e­ m e nts politiqu es survenus en flalie, le squels devai ent abo utir au fam eux compr omis histo­ riqu e.

D 'ail /'obl ig at io n d e modifi er la fin du r écit- e nqu ête .

Ainsi ce n'est plus le polici e r­ enqu ête ur qui assassin e le sec r é tair e génér al du P.C.

/ ..

mais to us deux lombent sous l es balles de ceux qui co111p/ 0 1e 111 contr e le pou­ vo ir.

Ce tte m éditati on s ur le po u vo ir est l e rhèm e do 111i11a11t de l'œuvre de R osi.

Dans s o n " D oss ie r R osi» .

Mi ch el Cim ent précise: «Ce ..., qui est passionnant dans le livre de S ciascia ~ c'es t son aspect fantastiqu e : on n e c om- l" prend pas de quel compl o t il s' agi! ...

Et cela ~ correspo nd à un e idée que j'a i to ujours 1rai 1ée Qî dans mes films: il y a to ujours quelqu 'un de r- "' rière la 1nain qui tue , 101(j ours un pouvoir plu s ~ Jort q11e le p ouvoir qui nous réprim e».

.S @. »