C’est sous le règne de Louis 14 que la pièce Britannicus voit le jour.
Publié le 08/12/2021
Extrait du document
Ci-dessous un extrait traitant le sujet : C’est sous le règne de Louis 14 que la pièce Britannicus voit le jour.. Ce document contient 1443 mots. Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système d’échange gratuit de ressources numériques ou achetez-le pour la modique somme d’un euro symbolique. Cette aide totalement rédigée en format pdf sera utile aux lycéens ou étudiants ayant un devoir à réaliser ou une leçon à approfondir en : Echange
C’est sous le règne de Louis 14 que la pièce Britannicus voit le jour. L’œuvre s’inscrit au cœur d’un siècle de monarchie absolue où le pouvoir du roi est à son apogée. Mais pourquoi la scène se situe dans un contexte Romain en 56 après Jésus-Christ ? En effet la pièce emprunte le sujet de Britannicus à l’histoire romaine, plus précisément à Tacite . Cette œuvre appartient donc au mouvement du « classicisme » du 17e siècle dont la devise est « Plaire et Instruire » car c’est en effet, une forme d’argumentation indirecte. Cette pièce de tragédie classique apparaît en 1969 et raconte une histoire qui commence au début du règne tyrannique de Néron et qui suit donc, les règles des trois unités du « classicisme » : Agrippine, mère de Néron a fait mener des vices afin de mettre au pouvoir son fils. Ainsi Britannicus, en couple avec Junie, a été écarté du trône. Cependant, Néron se pose des questions sur sa mère possessive, manipulatrice, qui nourrit énormément d'ambition pour son fils et ne recule devant rien pour l'aider à prendre le pouvoir. Son amour immense pour Néron est motivé par la gloire de son fils qui rejaillit sur elle. Ensuite, celui-ci devint éperdument épris d’amour pour Junie, ce qui va poser des problèmes politiques, familiaux mais aussi amoureux. En quoi Britannicus de Jean Racine présente-t-elle la tragédie de l’homme face au pouvoir. Nous allons voir dans un premier temps que cette tragédie présente les dangers du pouvoir, incarnés par Néron, et nous étudierons dans une deuxième partie la visée didactique et satirique de celle-ci.
D’abord, Racine dénonce les dangers du pouvoirs à travers le début du règne de Néron.
D’une part, Néron abuse de son pouvoir, ce qui rend plus intense la tragédie à venir. Premièrement, l’« attentat » qui va inaugurer sa tyrannie, selon les termes d’Agrippine, est l’enlèvement de Junie. Effectivement, il « Fait enlever Junie au milieu de la nuit ». De plus les antithèses ou encore les champs lexicaux péjoratifs comme les mots tels que « nuire », « chaîne », « malignité » démontre sa descente dans la tyrannie. Ainsi, le conflit familial apparaît car Agrippine, par l’intermédiaire de la double énonciation, lui présage un avenir funeste. Deuxièmement, il aimait « jusqu'à ses pleurs » qu’il faisait « couler », ce qui annonce bien le côté sadique de Néron qui grandit, de même avec le vers « J'employais les soupirs, et même la menace. ». De plus, son orgueilleuse mère insiste sur son avenir tyrannique : en effet elle le compare à Domitius pour son règne tyrannique, et à Auguste dans les vers « Il commence, il est vrai, par où finit Auguste. Mais crains, que l'avenir détruisant le passé, Il ne finisse ainsi qu'Auguste a commencé. » : Agrippine prédit que son fils finira dans la tyrannie même si il a bien débuter son règne, car au contraire, Auguste a mal commencer mais néanmoins il a terminé le sien avec la Pax Romana. Troisièmement, son règne est réellement définit de tyrannique, lorsqu’il empoisonne Britannicus pour faire abstraction de ses sentiments avec Junie. En effet, contre toutes attentes, avec perfidie, tue Britannicus alors qu’il s’était fait « bon ami » avec.
D’autre part, Jean Racine dénonce le mauvais contrôle de la société. Effectivement, Néron se fait influencer par plusieurs personnages intrigants, ce qui va accélérer sa chute vers la dictature. Certains personnages sont fous de pouvoir et feraient n’importe quoi pour l’obtenir. D’un côté, Agrippine se présente comme une mère prestigieuse, autoritaire, dont la présence est primordiale pour aider son fils dans son règne, alors qu’en réalité, celle-ci se résume à une mère possessive, assoiffée de pouvoir, qui trouve à travers son fils, comme seul intérêt : gouverner sous le nom de son fils, car en cette époque il n’existait pas d’impératrice, mais pour participer au pouvoir elle devait continuer à influençait Néron comme elle le faisait quand celui-ci n’était pas apte à gouverner. Elle pense que Néron est toujours sous sa tutelle, ce qui va causer une perplexité chez Néron qui va s’écarter d’Agrippine, pour ensuite rejoindre les conseils influenceurs de Narcisse, qui n’est pas mieux. Donc, d’un autre côté, il y a Narcisse qui a le rôle de double-jeu. En effet Narcisse n'est pas un personnage comme les autres, c'est au fil de la pièce que l'on découvre qui il est réellement. Au début de la pièce il est perçue comme étant un bon conseiller de Britannicus et le seul qui le soutient encore. Mais finalement on finit par comprendre que Narcisse n'est qu'un fin manipulateur. Il n'est en faite qu'un traître, un imposteur sous les ordres de Néron. C’est quelqu’un de très malicieux qui a la stricte volonté d’asseoir le pouvoir de Néron pour y contribuer. C’est pourquoi, il va le guider peu à peu vers le mal : c’est le moteur de la tyrannie de Néron et ainsi de sa décadence. Il va notamment l’encourager à aimer Junie, pour le pouvoir, mais encore, c’est aussi lui qui va le persuader de tuer Britannicus, toujours dans un souci de pouvoir.
Ensuite, l’auteur, à travers sa pièce de tragédie classique, a l’ambition de transmettre ses idées, à l’époque où la critique du roi est condamnée.
D’une part, il recherche le Catharsis. Mais, qu’est-ce que la Catharsis ? La catharsis est l’une des fonctions de la tragédie selon Aristote. Il s’agit de libérer les spectateurs de leurs passions en les exprimant symboliquement. L’idée est que le spectacle tragique opère, chez le spectateur, une purification des passions. La catharsis peut se comprendre, à l’instar du rêve, comme un accomplissement des désirs, ou un exorcisme des craintes. Il cite par exemple : « La tragédie est donc l’imitation d’une action noble […], et qui par l’entremise de la pitié et de la crainte, accomplit la purgation des émotions de ce genre. En effet, on retrouve ici les composantes d’une tragédie classique : la démesure, ou « hybris » en grec, la terreur et la pitié. D’abord on assiste à une destin funeste auquel on ne peut pas échapper. Cette notion de démesure est mise en valeur par les tournures comme « c’en est fait », « voilà […] mais trop tard », ou encore par exemple avec la restriction « Je ne sais si ». Ensuite, le spectateur est amené à condamné l’attitude de Néron qui perd toute sa modération. Enfin, on ressent de la pitié, d’une part pour Junie car on assiste à son enlèvement, mais d’autre part pour Néron tout de même puisqu’on assiste à sa chute. En effet, nous avons aussi pitié d’un homme qui a perdu son humanité en raison d’un amour impossible. C’est pourquoi ces composantes nous démontrent bien le souci Racinien de provoquer la « Catharsis » chez les spectateurs ou les lecteurs. Effectivement, la Catharsis nous montre un mauvais portrait que l’on doit éviter de devenir, elle nous permet aussi de nous vider de nos pulsions. On peut donc dire qu’elle détient une certaine visée didactique.
D’autre part, cette pièce de tragédie classique relate en effet une visée didactique, mais aussi satirique. D’un côté, sa visée didactique provient de la diffusion de la Catharsis, ayant pour but de faire réfléchir les spectateurs ou lecteurs sur leur propre vie. Mais de plus, d’un autre côté cette œuvre de Racine permet de critiquer indirectement le pouvoir royal de la France. En effet, elle présente aussi une visée satirique. En inscrivant cette pièce à l’époque de l’Empire Romain, c’est-à-dire en 56 après Jésus-Christ, l’auteur délocalise son œuvre et a ainsi permis de critiquer la monarchie absolue de la France sous Louis 14.
Ainsi, Britannicus de Jean Racine présente bien la tragédie de l’homme face au pouvoir, la tragédie d’un amoureux naïf, Britannicus lui-même qui finit empoisonné, la tragédie d’une mère possessive et assoiffée de pouvoir qui finit par être tuée, tout comme le conseiller Burrhus, la tragédie d’une pauvre femme, Junie qui parvient à s'échapper et à se réfugier chez les vestales, prêtresses de la déesse du foyer Vesta, privant ainsi Néron du fruit de ses crimes, et enfin la tragédie de l’empereur Néron, privé de son amour et submergé par la folie. Néanmoins, la seule mort réjouissante est celle de Narcisse, personnage froid et vicieux, moteur de la tragédie. Mais cette pièce de tragédie classique permet aussi de faire raisonner l’Homme sur le contrôle de leurs propres émotions notamment, mais aussi de dénoncer la monarchie absolue. Elle nous montre les dangers de la monarchie absolue, la cruauté cachée au cœur d’une âme humaine. Néanmoins, cette forme d’argumentation indirecte, donc cette critique indirecte, peut aussi être symbolisée par une autre forme de théâtre : le théâtre comique.
C’est sous le règne de Louis 14 que la pièce Britannicus voit le jour. L’œuvre s’inscrit au cœur d’un siècle de monarchie absolue où le pouvoir du roi est à son apogée. Mais pourquoi la scène se situe dans un contexte Romain en 56 après Jésus-Christ ? En effet la pièce emprunte le sujet de Britannicus à l’histoire romaine, plus précisément à Tacite . Cette œuvre appartient donc au mouvement du « classicisme » du 17e siècle dont la devise est « Plaire et Instruire » car c’est en effet, une forme d’argumentation indirecte. Cette pièce de tragédie classique apparaît en 1969 et raconte une histoire qui commence au début du règne tyrannique de Néron et qui suit donc, les règles des trois unités du « classicisme » : Agrippine, mère de Néron a fait mener des vices afin de mettre au pouvoir son fils. Ainsi Britannicus, en couple avec Junie, a été écarté du trône. Cependant, Néron se pose des questions sur sa mère possessive, manipulatrice, qui nourrit énormément d'ambition pour son fils et ne recule devant rien pour l'aider à prendre le pouvoir. Son amour immense pour Néron est motivé par la gloire de son fils qui rejaillit sur elle. Ensuite, celui-ci devint éperdument épris d’amour pour Junie, ce qui va poser des problèmes politiques, familiaux mais aussi amoureux. En quoi Britannicus de Jean Racine présente-t-elle la tragédie de l’homme face au pouvoir. Nous allons voir dans un premier temps que cette tragédie présente les dangers du pouvoir, incarnés par Néron, et nous étudierons dans une deuxième partie la visée didactique et satirique de celle-ci.
D’abord, Racine dénonce les dangers du pouvoirs à travers le début du règne de Néron.
D’une part, Néron abuse de son pouvoir, ce qui rend plus intense la tragédie à venir. Premièrement, l’« attentat » qui va inaugurer sa tyrannie, selon les termes d’Agrippine, est l’enlèvement de Junie. Effectivement, il « Fait enlever Junie au milieu de la nuit ». De plus les antithèses ou encore les champs lexicaux péjoratifs comme les mots tels que « nuire », « chaîne », « malignité » démontre sa descente dans la tyrannie. Ainsi, le conflit familial apparaît car Agrippine, par l’intermédiaire de la double énonciation, lui présage un avenir funeste. Deuxièmement, il aimait « jusqu'à ses pleurs » qu’il faisait « couler », ce qui annonce bien le côté sadique de Néron qui grandit, de même avec le vers « J'employais les soupirs, et même la menace. ». De plus, son orgueilleuse mère insiste sur son avenir tyrannique : en effet elle le compare à Domitius pour son règne tyrannique, et à Auguste dans les vers « Il commence, il est vrai, par où finit Auguste. Mais crains, que l'avenir détruisant le passé, Il ne finisse ainsi qu'Auguste a commencé. » : Agrippine prédit que son fils finira dans la tyrannie même si il a bien débuter son règne, car au contraire, Auguste a mal commencer mais néanmoins il a terminé le sien avec la Pax Romana. Troisièmement, son règne est réellement définit de tyrannique, lorsqu’il empoisonne Britannicus pour faire abstraction de ses sentiments avec Junie. En effet, contre toutes attentes, avec perfidie, tue Britannicus alors qu’il s’était fait « bon ami » avec.
D’autre part, Jean Racine dénonce le mauvais contrôle de la société. Effectivement, Néron se fait influencer par plusieurs personnages intrigants, ce qui va accélérer sa chute vers la dictature. Certains personnages sont fous de pouvoir et feraient n’importe quoi pour l’obtenir. D’un côté, Agrippine se présente comme une mère prestigieuse, autoritaire, dont la présence est primordiale pour aider son fils dans son règne, alors qu’en réalité, celle-ci se résume à une mère possessive, assoiffée de pouvoir, qui trouve à travers son fils, comme seul intérêt : gouverner sous le nom de son fils, car en cette époque il n’existait pas d’impératrice, mais pour participer au pouvoir elle devait continuer à influençait Néron comme elle le faisait quand celui-ci n’était pas apte à gouverner. Elle pense que Néron est toujours sous sa tutelle, ce qui va causer une perplexité chez Néron qui va s’écarter d’Agrippine, pour ensuite rejoindre les conseils influenceurs de Narcisse, qui n’est pas mieux. Donc, d’un autre côté, il y a Narcisse qui a le rôle de double-jeu. En effet Narcisse n'est pas un personnage comme les autres, c'est au fil de la pièce que l'on découvre qui il est réellement. Au début de la pièce il est perçue comme étant un bon conseiller de Britannicus et le seul qui le soutient encore. Mais finalement on finit par comprendre que Narcisse n'est qu'un fin manipulateur. Il n'est en faite qu'un traître, un imposteur sous les ordres de Néron. C’est quelqu’un de très malicieux qui a la stricte volonté d’asseoir le pouvoir de Néron pour y contribuer. C’est pourquoi, il va le guider peu à peu vers le mal : c’est le moteur de la tyrannie de Néron et ainsi de sa décadence. Il va notamment l’encourager à aimer Junie, pour le pouvoir, mais encore, c’est aussi lui qui va le persuader de tuer Britannicus, toujours dans un souci de pouvoir.
Ensuite, l’auteur, à travers sa pièce de tragédie classique, a l’ambition de transmettre ses idées, à l’époque où la critique du roi est condamnée.
D’une part, il recherche le Catharsis. Mais, qu’est-ce que la Catharsis ? La catharsis est l’une des fonctions de la tragédie selon Aristote. Il s’agit de libérer les spectateurs de leurs passions en les exprimant symboliquement. L’idée est que le spectacle tragique opère, chez le spectateur, une purification des passions. La catharsis peut se comprendre, à l’instar du rêve, comme un accomplissement des désirs, ou un exorcisme des craintes. Il cite par exemple : « La tragédie est donc l’imitation d’une action noble […], et qui par l’entremise de la pitié et de la crainte, accomplit la purgation des émotions de ce genre. En effet, on retrouve ici les composantes d’une tragédie classique : la démesure, ou « hybris » en grec, la terreur et la pitié. D’abord on assiste à une destin funeste auquel on ne peut pas échapper. Cette notion de démesure est mise en valeur par les tournures comme « c’en est fait », « voilà […] mais trop tard », ou encore par exemple avec la restriction « Je ne sais si ». Ensuite, le spectateur est amené à condamné l’attitude de Néron qui perd toute sa modération. Enfin, on ressent de la pitié, d’une part pour Junie car on assiste à son enlèvement, mais d’autre part pour Néron tout de même puisqu’on assiste à sa chute. En effet, nous avons aussi pitié d’un homme qui a perdu son humanité en raison d’un amour impossible. C’est pourquoi ces composantes nous démontrent bien le souci Racinien de provoquer la « Catharsis » chez les spectateurs ou les lecteurs. Effectivement, la Catharsis nous montre un mauvais portrait que l’on doit éviter de devenir, elle nous permet aussi de nous vider de nos pulsions. On peut donc dire qu’elle détient une certaine visée didactique.
D’autre part, cette pièce de tragédie classique relate en effet une visée didactique, mais aussi satirique. D’un côté, sa visée didactique provient de la diffusion de la Catharsis, ayant pour but de faire réfléchir les spectateurs ou lecteurs sur leur propre vie. Mais de plus, d’un autre côté cette œuvre de Racine permet de critiquer indirectement le pouvoir royal de la France. En effet, elle présente aussi une visée satirique. En inscrivant cette pièce à l’époque de l’Empire Romain, c’est-à-dire en 56 après Jésus-Christ, l’auteur délocalise son œuvre et a ainsi permis de critiquer la monarchie absolue de la France sous Louis 14.
Ainsi, Britannicus de Jean Racine présente bien la tragédie de l’homme face au pouvoir, la tragédie d’un amoureux naïf, Britannicus lui-même qui finit empoisonné, la tragédie d’une mère possessive et assoiffée de pouvoir qui finit par être tuée, tout comme le conseiller Burrhus, la tragédie d’une pauvre femme, Junie qui parvient à s'échapper et à se réfugier chez les vestales, prêtresses de la déesse du foyer Vesta, privant ainsi Néron du fruit de ses crimes, et enfin la tragédie de l’empereur Néron, privé de son amour et submergé par la folie. Néanmoins, la seule mort réjouissante est celle de Narcisse, personnage froid et vicieux, moteur de la tragédie. Mais cette pièce de tragédie classique permet aussi de faire raisonner l’Homme sur le contrôle de leurs propres émotions notamment, mais aussi de dénoncer la monarchie absolue. Elle nous montre les dangers de la monarchie absolue, la cruauté cachée au cœur d’une âme humaine. Néanmoins, cette forme d’argumentation indirecte, donc cette critique indirecte, peut aussi être symbolisée par une autre forme de théâtre : le théâtre comique.
↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓
Liens utiles
- Montesquieu a écrit le texte proposé issus de « Lettres persanes ». Il a été écrit à la fin du règne de Louis XIV. Dans quelles mesures cette lettre plutôt ironique traduit-elle la monarchie absolue de Louis XIV ?
- Dans la préface de Britannicus (1670) Racine définit ainsi la tragédie : une action simple, chargée de peu de matière telle que doit être une action qui se passe en un seul jour, et qui, s'avançant par degrés vers sa fin, n'est soutenu que par les intérêts; les sentiments et les passions des personnages. Vous examinerez dans quelle mesure cette citation peut s'appliquer (ou non) à la pièce de Cocteau, La Machine Infernale.
- GRACQ, Louis Poirier, dit Julien(né le 27 juillet 1910)EcrivainEcrivain exigeant, il est l'auteur, à ce jour, d'une oeuvre respectée dans lemonde entier.
- Antoine Watteau par Louis ReauMembre de l'Institut, Paris La renommée de Watteau, le peintre le plus exquis de l'école française duXVIIIe siècle, a passé par des alternatives d'admiration et de décri quijettent un jour curieux sur les variations du goût.
- CHARLES III LE GROS (839-888)Roi d'Austrasie dès 876, il se voit offrir la couronne impériale et royale après que Louis le Bègue les eut refusées (881).