Brando Marlon
Publié le 07/12/2021
Extrait du document
Brando Marlon Acteur américain
* 3.4.1924, Omaha, Nebraska
C'est avec la pièce de Tennessee Williams, \"Un tramway nommé Désir\", interprété d'abord au théâtre, puis au cinéma en 1951, qu'il devient une vedette. Digne représentant de l'Actor's Studio de New York, où il étudie sous la direction de Lee Strasberg et d'Elia Kazan, il s'impose dans le rôle du jeune rebelle dans \"L'Equipée sauvage\" en 1954 et, la même année, dans \"Sur les quais\", pour lequel il obtient un Oscar. Il lui faudra ensuite attendre les années 70 pour revenir sur le devant de la scène grâce, entre autres, aux rôles de solitaire aigri que lui offrent Bernardo Bertolucci (\"Le Dernier Tango à Paris\", 1972) et Francis Ford Coppola (\"Apocalypse now\", 1979). En 1971, Brando refuse un Oscar pour dénoncer l'image réductrice des Indiens transmise par le cinéma hollywoodien. Dans les années quatre-vingt-dix, il n'a rien perdu de sa présence ambiguë comme en témoignent ses rôles dans \"Don Juan de Marco\" (1994) de Jeremy Leven, \"L'Ile du docteur Moreau\" (1996) de John Frankenheimer ou \"The Brave\" (1997) de Johnny Depp.
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Brando Marlon
Acteur américain
* 3.4.1924, Omaha, Nebraska
C'est avec la pièce de Tennessee Williams, "Un tramway nommé
Désir", interprété d'abord au théâtre, puis au cinéma en 1951,
qu'il devient une vedette.
Digne représentant de l'Actor's
Studio de New York, où il étudie sous la direction de Lee
Strasberg et d'Elia Kazan, il s'impose dans le rôle du jeune
rebelle dans "L'Equipée sauvage" en 1954 et, la même année,
dans "Sur les quais", pour lequel il obtient un Oscar.
Il lui
faudra ensuite attendre les années 70 pour revenir sur le
devant de la scène grâce, entre autres, aux rôles de solitaire
aigri que lui offrent Bernardo Bertolucci ("Le Dernier Tango à
Paris", 1972) et Francis Ford Coppola ("Apocalypse now",
1979).
En 1971, Brando refuse un Oscar pour dénoncer l'image
réductrice des Indiens transmise par le cinéma hollywoodien.
Dans les années quatre-vingt-dix, il n'a rien perdu de sa
présence ambiguë comme en témoignent ses rôles dans "Don Juan
de Marco" (1994) de Jeremy Leven, "L'Ile du docteur Moreau"
(1996) de John Frankenheimer ou "The Brave" (1997) de Johnny
Depp.
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