): A priori, il paraît normal de vouloir s'appuyer sur des certitudes pour agir dans la vie pratique (s'assurer que les freins de la voiture sont en bon état.
Publié le 08/12/2021
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Ci-dessous un extrait traitant le sujet :
): A priori, il paraît normal de vouloir s'appuyer sur des certitudes pour agir dans la vie pratique (s'assurer que les freins de la voiture sont en bon état.. Ce document contient 2192 mots. Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système d’échange gratuit de ressources numériques ou achetez-le pour la modique somme d’un euro symbolique. Cette aide totalement rédigée en format pdf sera utile aux lycéens ou étudiants ayant un devoir à réaliser ou une leçon à approfondir en : Echange
): A priori, il paraît normal de vouloir s'appuyer sur des certitudes pour agir dans la vie pratique (s'assurer que les freins de la voiture sont en bon état...), dans la vie morale ( être sûr que notre ami ne nous trahira pas..) et dans la vie intellectuelle (que vaudrait une théorie incertaine, et donc non fiable, en Mathématiques, en Physique?). Ce 'sentiment d'être dans le vrai ' est même notre principal soutien pour prendre une décision, -- pour admettre une affirmation, une doctrine .... comme vraie.
I) La philosophie présente un atout : elle stimule chez nous le douteII) La philosophie éveille notre curiosité face au monde extérieurIII) La possibilité de douter fait toute la valeur de la philosophie Selon Bertrand Russell, la philosophie a un caractère incertain, et c'est cela qui lui donne toute sa valeur. L'auteur défend dans ce texte l'idée que l'homme n'est libre de ses pensées qu'à travers un jugement teinté de pensée philosophique ; en effet, le recul que lui apporte la philosophie lui permet d'émettre un jugement raisonné, loin des préjugés et des convictions.Certes, la pensée philosophique est, par définition, rationnelle et déductive. Mais la philosophie est-elle pour autant libératrice, est-elle un vecteur de vérité ? Nous apporte-t-elle des réponses définitives à nos questions, ou au contraire, nous laisse-t-elle dans l'hésitation et le doute ? Qu'apporte-t-elle à notre jugement, à nos pensées ?
[...] Commentaire de texte de philosophie : Extrait de Problèmes de philosophie, Bertrand RUSSELL Niveau : lycée SOMMAIRE Extrait étudié INTRODUCTION I. La philosophie présente un atout : elle stimule chez nous le doute II. La philosophie éveille notre curiosité face au monde extérieur III.
I) La vie sans la philosophieII) Ce que nous apprend la philosophieIII) Comment agit la philosophie D'après l'opinion commune, la philosophie est une discipline peu utile, on peut donc vivre sans philosopher. Le texte "Problèmes de philosophie" de Russell est donc paradoxal puisqu'il nous invite à dépasser ce préjugé.Il montre en effet que la philosophie est au contraire très utile dans la vie de l'homme car elle le libère de certains préjugés en élargissant son champ de pensée et en lui faisant découvrir de simples choses sous un aspect nouveau ()
[...] Russel tout comme Descartes rejette les idées préétablies. Pour trouver une vérité sur laquelle s’appuyer il faut tout remettre en cause pour pouvoir par la suite accéder à la vérité même si celle si n’est pas conforme à ce que pense les autres. Il ne faut pas faire confiance aux autres, à leurs idées, à nos sens car ils peuvent tous être à un moment ou à un autre être trompeurs. Pour ne pas se tromper il faut s’en remettre aux doutes car comme le dis Russel les doutes sont libérateurs Comme Socrate, Russel veut montrer qu’il n’y a pas de réponses préétablies, et que les apparences sont parfois trompeuses. [...]
L'objectif du texte de Russell sur la valeur de la philosophie est de réfuter une opinion courante, et de nous permettre de « penser conformément à la philosophie ». Dans un premier temps, Russell énonce sa thèse. Puis dans un deuxième temps, il décrit « celui qui n'a aucune teinture de philosophie » et dans un troisième temps, il définit la philosophie comme vision nouvelle du monde.
Texte étudié : Russel, Problèmes de philosophie : valeur de la philosophie :
« La valeur de la philosophie doit en réalité surtout résider dans son caractère incertain même. Celui qui n'a aucune teinture de philosophie traverse l'existence, prisonnier de préjugés dérivés du sens commun, des croyances habituelles à son temps ou à son pays et de convictions qui ont grandi en lui sans la coopération ni le consentement de la raison.Pour un tel individu, le monde tend à devenir défini, fini, évident ; les objets ordinaires ne font pas naître de questions et les possibilités peu familières sont rejetées avec mépris. Dès que nous commençons à penser conformément à la philosophie, au contraire, nous voyons, comme il a été dit dans nos premiers chapitres, que même les choses les plus ordinaires de la vie quotidienne posent des problèmes auxquels on ne trouve que des réponses très incomplètes. La philosophie, bien qu'elle ne soit pas en mesure de nous donner avec certitude la réponse aux doutes qui nous assiègent, peut tout de même suggérer des possibilités qui élargissent le champ de notre pensée et délivre celle-ci de la tyrannie de l'habitude. Tout en ébranlant notre certitude concernant la nature de ce qui nous entoure, elle accroît énormément notre connaissance d'une réalité possible et différente ; elle fait disparaître le dogmatisme quelque peu arrogant de ceux qui n'ont jamais parcouru la région du doute libérateur, et elle garde intact notre sentiment d'émerveillement en nous faisant voir les choses familières sous un aspect nouveau. » (Russel, Problèmes de philosophie, Valeur de la philosophie).
La philosophie, qui est une constante recherche de vérité et de lucidité, sous un aspect théorique, a un caractère incertain pour Bertrand Russell. C'est ce qui la rendrait si singulière, et nous imposerait, nous les hommes, à penser au travers d'idées philosophiques et personnelles, de prendre du recul et d'émettre un jugement non-interrompu par certains préjugés selon le philosophe. D'un côté, la philosophie serait une activité futile, dont on pourrait se passer. D'un autre côté, Bertrand Russell dans son texte nous invite à aller au delà de cette manière de penser en nous montrant que celle-ci peut-être très bénéfique pour l'Homme, pour percevoir le monde d'un autre œil. Mais, la philosophie serait-elle la solution ? Peut-elle réellement répondre à toutes nos questions ? C'est à ce problème que se confronte Bertrand Russell, philosophe et encore politicien du XVIII ème siècle, dans le texte << Problèmes de philosophie>>. Dans un premier temps, nous allons tenter d'expliquer en quoi la philosophie pourrait être bénéfique, ensuite voir si elle apporte vraiment la vérité, et enfin comment ferions nous sans elle.
La philosophie serait une étape essentielle dans la vie de l'Homme, et <<celui qui ne s'y est pas frotté travers[erait] l'existence comme un prisonnier>> selon Russell. Un esprit qui ne s’attelle pas à cette différente manière de penser et qui ne fait pas appel à sa raison serait donc parasité par les croyances de son pays ou de son temps, et par tous les préjugés l'entourant. L'invocation de la philosophie suggérerait de <<nouvelles possibilités>>. p Ainsi, la philosophie serait un moyen d'élargir notre champ de vision sur le monde. Une approche différente pourrait effectivement nous amener à redécouvrir les choses sous un nouveau jour. Il faudrait s'ouvrir aux possibilités peu familières sans éprouver de mépris. L'Homme qui ne philosophe pas ne se questionne pas. Le monde est ainsi fait pour lui. Rien ne peut changer. Mais en philosophant, en élargissant son horizon et grâce à son incertitude où réside la valeur de la philosophie, un monde nouveau peut être observé. S'opposer à l'idée commune serait un premier pas pour élargir le champ de notre pensée selon Russell. En s'ouvrant ainsi, même les plus banales et ordinaires des choses seraient source de problèmes, et n'auraient pas forcément de réponses complètes. Mais malgré cela, malgré cette incapacité à répondre à certains doutes, la philosophie est capable de nous faire découvrir de nouvelles possibilités encore jamais pensées. Nos connaissances se voient augmenter en traversant ce doute, définitivement libérateur.
Si la philosophie augmente notre connaissance, notre savoir, ne serait-ce pas là une approche vers la vérité ? Malgré l'absence de réponses définies à certaines de nos questions ? La vérité, selon Bertrand Russell, est inaccessible. Elle serait la réponse à nos questions. Mais, nos questions, demeurant sans réponses, nous laisseraient douter et nous priveraient de cette dite vérité. Mais par cette privation, nous développerions notre faculté d'émerveillement en revisitant les choses de tous les jours sous un autre angle, poussant notre esprit à s'élever, à philosopher. Mais la vérité resterait inatteignable. Beaucoup trop de possibilités peuvent être évoquées pour tenter d'expliquer quoi que ce soit, laissant notre esprit se torturer pour accéder à cette vérité tant espérée, mais non-présente.
possibilités peu familière sont rejetées avec mépris
que même les choses les plus ordinaires de la vie quotidienne posent des problèmes auxquels on ne trouve que des réponses très incomplètes.
S'ouvrir aux possibilités
Présentation du texte Formulation du paradoxe '' d'un côté .... cependant, d'un autre côté''D'après l'opinion commune, la philosophie est une discipline peu utile, on peut donc vivre sans philosopher. Le texte "Problèmes de philosophie" de Russell est donc paradoxal puisqu'il nous invite à dépasser ce préjugé.Il montre en effet que la philosophie est au contraire très utile dans la vie de l'homme car elle le libère de certains préjugés en élargissant son champ de pensée et en lui faisant découvrir de simples choses sous un aspect nouveau ()Problématique --> alternativePrésentation du texte et de l'auteur --> thèse – C'est à ce problème que ce confond...Plan 3 il voit la philo comme une nouvelle vision du monde
la philosophie apporte-t-elle réellement des réponses à nos questions ?
Permettre l'évasion de l'esprit, la liberté, ses propres choix et non pas ceux du monde environnant.
): A priori, il paraît normal de vouloir s'appuyer sur des certitudes pour agir dans la vie pratique (s'assurer que les freins de la voiture sont en bon état.. Ce document contient 2192 mots. Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système d’échange gratuit de ressources numériques ou achetez-le pour la modique somme d’un euro symbolique. Cette aide totalement rédigée en format pdf sera utile aux lycéens ou étudiants ayant un devoir à réaliser ou une leçon à approfondir en : Echange
): A priori, il paraît normal de vouloir s'appuyer sur des certitudes pour agir dans la vie pratique (s'assurer que les freins de la voiture sont en bon état...), dans la vie morale ( être sûr que notre ami ne nous trahira pas..) et dans la vie intellectuelle (que vaudrait une théorie incertaine, et donc non fiable, en Mathématiques, en Physique?). Ce 'sentiment d'être dans le vrai ' est même notre principal soutien pour prendre une décision, -- pour admettre une affirmation, une doctrine .... comme vraie.
I) La philosophie présente un atout : elle stimule chez nous le douteII) La philosophie éveille notre curiosité face au monde extérieurIII) La possibilité de douter fait toute la valeur de la philosophie Selon Bertrand Russell, la philosophie a un caractère incertain, et c'est cela qui lui donne toute sa valeur. L'auteur défend dans ce texte l'idée que l'homme n'est libre de ses pensées qu'à travers un jugement teinté de pensée philosophique ; en effet, le recul que lui apporte la philosophie lui permet d'émettre un jugement raisonné, loin des préjugés et des convictions.Certes, la pensée philosophique est, par définition, rationnelle et déductive. Mais la philosophie est-elle pour autant libératrice, est-elle un vecteur de vérité ? Nous apporte-t-elle des réponses définitives à nos questions, ou au contraire, nous laisse-t-elle dans l'hésitation et le doute ? Qu'apporte-t-elle à notre jugement, à nos pensées ?
[...] Commentaire de texte de philosophie : Extrait de Problèmes de philosophie, Bertrand RUSSELL Niveau : lycée SOMMAIRE Extrait étudié INTRODUCTION I. La philosophie présente un atout : elle stimule chez nous le doute II. La philosophie éveille notre curiosité face au monde extérieur III.
I) La vie sans la philosophieII) Ce que nous apprend la philosophieIII) Comment agit la philosophie D'après l'opinion commune, la philosophie est une discipline peu utile, on peut donc vivre sans philosopher. Le texte "Problèmes de philosophie" de Russell est donc paradoxal puisqu'il nous invite à dépasser ce préjugé.Il montre en effet que la philosophie est au contraire très utile dans la vie de l'homme car elle le libère de certains préjugés en élargissant son champ de pensée et en lui faisant découvrir de simples choses sous un aspect nouveau ()
[...] Russel tout comme Descartes rejette les idées préétablies. Pour trouver une vérité sur laquelle s’appuyer il faut tout remettre en cause pour pouvoir par la suite accéder à la vérité même si celle si n’est pas conforme à ce que pense les autres. Il ne faut pas faire confiance aux autres, à leurs idées, à nos sens car ils peuvent tous être à un moment ou à un autre être trompeurs. Pour ne pas se tromper il faut s’en remettre aux doutes car comme le dis Russel les doutes sont libérateurs Comme Socrate, Russel veut montrer qu’il n’y a pas de réponses préétablies, et que les apparences sont parfois trompeuses. [...]
L'objectif du texte de Russell sur la valeur de la philosophie est de réfuter une opinion courante, et de nous permettre de « penser conformément à la philosophie ». Dans un premier temps, Russell énonce sa thèse. Puis dans un deuxième temps, il décrit « celui qui n'a aucune teinture de philosophie » et dans un troisième temps, il définit la philosophie comme vision nouvelle du monde.
Texte étudié : Russel, Problèmes de philosophie : valeur de la philosophie :
« La valeur de la philosophie doit en réalité surtout résider dans son caractère incertain même. Celui qui n'a aucune teinture de philosophie traverse l'existence, prisonnier de préjugés dérivés du sens commun, des croyances habituelles à son temps ou à son pays et de convictions qui ont grandi en lui sans la coopération ni le consentement de la raison.Pour un tel individu, le monde tend à devenir défini, fini, évident ; les objets ordinaires ne font pas naître de questions et les possibilités peu familières sont rejetées avec mépris. Dès que nous commençons à penser conformément à la philosophie, au contraire, nous voyons, comme il a été dit dans nos premiers chapitres, que même les choses les plus ordinaires de la vie quotidienne posent des problèmes auxquels on ne trouve que des réponses très incomplètes. La philosophie, bien qu'elle ne soit pas en mesure de nous donner avec certitude la réponse aux doutes qui nous assiègent, peut tout de même suggérer des possibilités qui élargissent le champ de notre pensée et délivre celle-ci de la tyrannie de l'habitude. Tout en ébranlant notre certitude concernant la nature de ce qui nous entoure, elle accroît énormément notre connaissance d'une réalité possible et différente ; elle fait disparaître le dogmatisme quelque peu arrogant de ceux qui n'ont jamais parcouru la région du doute libérateur, et elle garde intact notre sentiment d'émerveillement en nous faisant voir les choses familières sous un aspect nouveau. » (Russel, Problèmes de philosophie, Valeur de la philosophie).
La philosophie, qui est une constante recherche de vérité et de lucidité, sous un aspect théorique, a un caractère incertain pour Bertrand Russell. C'est ce qui la rendrait si singulière, et nous imposerait, nous les hommes, à penser au travers d'idées philosophiques et personnelles, de prendre du recul et d'émettre un jugement non-interrompu par certains préjugés selon le philosophe. D'un côté, la philosophie serait une activité futile, dont on pourrait se passer. D'un autre côté, Bertrand Russell dans son texte nous invite à aller au delà de cette manière de penser en nous montrant que celle-ci peut-être très bénéfique pour l'Homme, pour percevoir le monde d'un autre œil. Mais, la philosophie serait-elle la solution ? Peut-elle réellement répondre à toutes nos questions ? C'est à ce problème que se confronte Bertrand Russell, philosophe et encore politicien du XVIII ème siècle, dans le texte << Problèmes de philosophie>>. Dans un premier temps, nous allons tenter d'expliquer en quoi la philosophie pourrait être bénéfique, ensuite voir si elle apporte vraiment la vérité, et enfin comment ferions nous sans elle.
La philosophie serait une étape essentielle dans la vie de l'Homme, et <<celui qui ne s'y est pas frotté travers[erait] l'existence comme un prisonnier>> selon Russell. Un esprit qui ne s’attelle pas à cette différente manière de penser et qui ne fait pas appel à sa raison serait donc parasité par les croyances de son pays ou de son temps, et par tous les préjugés l'entourant. L'invocation de la philosophie suggérerait de <<nouvelles possibilités>>. p Ainsi, la philosophie serait un moyen d'élargir notre champ de vision sur le monde. Une approche différente pourrait effectivement nous amener à redécouvrir les choses sous un nouveau jour. Il faudrait s'ouvrir aux possibilités peu familières sans éprouver de mépris. L'Homme qui ne philosophe pas ne se questionne pas. Le monde est ainsi fait pour lui. Rien ne peut changer. Mais en philosophant, en élargissant son horizon et grâce à son incertitude où réside la valeur de la philosophie, un monde nouveau peut être observé. S'opposer à l'idée commune serait un premier pas pour élargir le champ de notre pensée selon Russell. En s'ouvrant ainsi, même les plus banales et ordinaires des choses seraient source de problèmes, et n'auraient pas forcément de réponses complètes. Mais malgré cela, malgré cette incapacité à répondre à certains doutes, la philosophie est capable de nous faire découvrir de nouvelles possibilités encore jamais pensées. Nos connaissances se voient augmenter en traversant ce doute, définitivement libérateur.
Si la philosophie augmente notre connaissance, notre savoir, ne serait-ce pas là une approche vers la vérité ? Malgré l'absence de réponses définies à certaines de nos questions ? La vérité, selon Bertrand Russell, est inaccessible. Elle serait la réponse à nos questions. Mais, nos questions, demeurant sans réponses, nous laisseraient douter et nous priveraient de cette dite vérité. Mais par cette privation, nous développerions notre faculté d'émerveillement en revisitant les choses de tous les jours sous un autre angle, poussant notre esprit à s'élever, à philosopher. Mais la vérité resterait inatteignable. Beaucoup trop de possibilités peuvent être évoquées pour tenter d'expliquer quoi que ce soit, laissant notre esprit se torturer pour accéder à cette vérité tant espérée, mais non-présente.
possibilités peu familière sont rejetées avec mépris
que même les choses les plus ordinaires de la vie quotidienne posent des problèmes auxquels on ne trouve que des réponses très incomplètes.
S'ouvrir aux possibilités
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