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BOURVIL

Publié le 16/05/2020

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« 1 / 2 BOURVIL PÉRIODE 1945-1956 NOTICE BIOGRAPHIQUE André Raimbourg naît le 27 juillet 1917 à Pretot-Vicquemare, en Normandie et passe son enfance dans le petit village de Bourville.

Il est passionné de musique mais ses parents préfèrent qu'il apprenne un métier et le pla­ cent en apprentissage chez un boulanger.

En 1937 il devance l'appel et fera son service à Paris, dans la musique du 2e régiment d'in­ fanterie.

Il participe à des «crochets» et obtient le premier prix à l'un des «crochets» de Radio-Paris.

Il chante alors le répertoire de Fernandel et tout particulièrement « Igna­ ce».

Puis c'est la guerre.

Démobilisé, il rentre en Normandie avant de repartir pour Paris où il exerce de nombreux métiers.

En 1942 il débute au cabaret «chez Carrère».

Il s'appelle simplement Bourvil.

En 1945 il tourne son premier film LA FERME DU PENDU, où à la fin d'un repas de noces il chante l'un de ses succès «Elle vendait des cartes postales».

Le cinéma exploite son côté «paysan benêt» mais Clouzot lui offre un rôle totalement différent dans MIQUETTE ET SA MÈRE, celui d'un timide.

Dans LE ROI PANDORE, il crée l'un des personnages clé du cinéma français, le gendarme.

Dans LE ROSIER DE MADAME HUSSON il prend la place de Fernandel qui avait interprété le fameux« rosiern en 1931.

Grâce aux TROIS MOUSQUETAIRES il trouve un nouvel emploi, celui de valet dans les films de cape et d'épée.

Plus tard, il sera Passepoil dans LE BOSSU, Cogolin dans LE CAPITAN.

1956 marque une date importante dans la carrière de Bourvil.

Il obtient le grand prix d'inter­ prétation au Festival de Venise pour son rôle de Martin dans LA TRA VERSÉE DE PARIS.

«l'ai eu le prix à Venise, bon, j'en suis pas mal fier, déclare-t-il, mais je ne confond pas vitesse et précipitation, Bourvil et Sarah Bernhardt.

Le rire dans la qualité c'est ce que je voudrais pouvoir faire, l'imbé­ cile heureux, voilà mon emploi.

Que je m'évade de temps en temps je ne dis pas non mais ce sera toujours pour y revenir.» (cité par M.

Bessy in «André Bourvil»).

FILMOGRAPHIE 1945 LA FERME DU PENDU (Jean Dreville) .

~ 1946 PAS SI BÊTE (André Berthomieu) /Y'I] ,tè $/,/?,yi .cl/,~ 1948 BLANC COMME NEIGE (André Berthomieu) 1948 PAR LA FENÊTRE (Gilles Grangier) 1949 LE CŒUR SUR LA MAIN (André Berthomieu) 1950 MIQUETTE ET SA MÈRE (Henri-Georges Clouzot) 1950 LE ROI PANDORE (André Berthomieu) 1950 LE ROSIER DE MADAME HUSSON (Jean Baver) 1951 LE PASSE MURAILLE {Jean Drev1lle) .

1951 SEUL DANS PARIS-(Hervé Bromberger) 1952 LE TROU NORMAND (Jean Boyer) 1952 CENT FRANCS PAR SECONDE (Jean Boyer) (apparition) 1953 LES TROIS MOUSQUETAIRES (A_ndré Hunebelle) 1954 SI VERSAILLES M'ETAIT CONTE (Sacha Guitry) 1954 CADET ROUSSELLE (André Hunebelle) 1954 POISSON D'AVRIL (Gilles Grangier) / ! /, ~ /.

h j 1955 LE FIL A LA PATTE (Guy Lefranc)-S'i Pcm's MIN ,l/a,1- ,:cM/I (d- if''' 'J/ 1955 LES HUSSARDS (Alex Joffé) "' QJ "' "' E 1956 TA TRA VERSÉE DE PA RIS (Claude Autant-Lara) 1956 LE CHANTEUR DE MEXICO (Richard Pottier) (à suivre) @ 2 / 2. »

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