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Bolivie (1995-1996)

Publié le 12/09/2020

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« file:///F/Lycée/angui/1/449989.txt[12/09/2020 03:40:09] Bolivie 1995-1996 Le Mouvement nationaliste révolutionnaire (MNR, centre droit - au po uvoir) a poursuivi sa politique de libéralisation de l'économie.

Il a cependant rencontré une fort e opposition syndicale.

Sur le plan macro- économique, les principaux indicateurs ont enregistré un léger recul en 1995 par rapport à l'année précédente.

La croissance du PIB a atteint 3,8 % et l'inflation a été de 12,6 %.

Le gouvernement a fait voter une nouvelle loi sur les hydrocarbures perm ettant des prises de participations privées dans l'entreprise nationale YPFB et prévoya nt la construction d'un gazoduc vers le Brésil.

L'État a également cédé 50 % du capital de l'entr eprise nationale des télécommunications (Entel) à l'opérateur public italien Stet.

Mais la vente du réseau de chemin de fer (ENFE) à l'entreprise chilienne Cruz Blanca a soulevé une forte opposition syndicale.

En mars 1996, l a COB (Centrale ouvrière bolivienne) a décrété une grève générale qui a duré trente-six jours.

Les enseignants et les fonctionnaires se sont joints au mouvement.

L'origine chilienne du racheteur a également con tribué à la mobilisation, en raison de rivalités historiques entre les deux pays.

En 1995, les investisse ments chiliens en Bolivie atteignaient 151 millions de dollars.

La Bolivie s'est rapprochée du Marché com mun du Cône sud (Mercosur) en signant un accord provisoire pour la création d'une zone de libre-é change à partir du 1er janvier 1997.

En septembre 1995, la brigade des stupéfiants a été réorgani sée.

Certains de ses membres auraient participé à l'exportation d'un chargement de 4 tonnes de cocaïn e.

Par ailleurs, les producteurs de coca de la région du Chaparé ont dénoncé plusieurs cas de violations des droits de l'homme.

Une marche sur La Paz des paysans pauvres cultivant la feuille de coca a obligé le gouv ernement à mettre fin à sa politique d'éradication forcée.

La surface des plantations illégales est évaluée à 37 000 hectares.

La Bolivie a cependant reçu des États-Unis un "certificat de bonne conduite" da ns la lutte contre le trafic de drogue.. »

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