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BIDAULT, Georges (5 octobre 1899-26 janvier 1983) Homme politique Reçu premier à l'agrégation d'histoire, professeur au lycée Louis-le-Grand à Paris de 1931 jusqu'à ce que la guerre éclate, Georges Bidault devient membre du Parti démocrate populaire, parti démocrate chrétien.

Publié le 17/05/2020

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Ci-dessous un extrait traitant le sujet : BIDAULT, Georges (5 octobre 1899-26 janvier 1983) Homme politique Reçu premier à l'agrégation d'histoire, professeur au lycée Louis-le-Grand à Paris de 1931 jusqu'à ce que la guerre éclate, Georges Bidault devient membre du Parti démocrate populaire, parti démocrate chrétien. Ce document contient 252 mots soit 1 pages. Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système gratuit d’échange de ressources numériques. Cette aide totalement rédigée en format pdf sera utile aux lycéens ou étudiants ayant un devoir à réaliser ou une leçon à approfondir en Histoire-géographie.

« BIDAULT, Georges (5 octobre 1899-26 janvier 1983) Homme politique Reçu premier à l’agrégation d’histoire, professeur au lycée Louis-le-Grand à Paris de 1931 jusqu’à ce que la guerre éclate, Georges Bidault devient membre du Parti démocrate populaire, parti démocrate chrétien.

Editorialiste au journal L’Aube , il est un antifasciste déterminé et s’oppose avec virulence aux accords de Munich .

En 1940 il est fait prisonnier.

Libéré au titre de la relève, il crée à Lyon, où il s’installe, le mouvement de résistance Combat.

Au sein du Conseil national de la Résistance il représente la tendance démocrate chrétienne, à laquelle il reste attaché.

Après l’arrestation de Jean Moulin , il préside lui-même le CNR.

Après la Libération , il est l’un des fondateurs du Mouvement républicain populaire .

Dès 1945 il est élu député de la Loire, mandat qui sera le sien jusqu’en 1962.

Président du gouvernement provisoire en 1946, il participe à des titres divers à plusieurs gouvernements de la IV e République .

Il fonde sa politique d’une part sur l’ alliance Atlantique et d’autre part sur la nécessaire unification de l’Europe.

S’il se rallie à de Gaulle en 1958, l’évolution de la politique de celui-ci lui paraît vite inadmissible en ce qui concerne l’Algérie .

Il devient l’un des dirigeants de l’Organisation armée secrète, ou OAS , au yeux de laquelle tous les moyens sont bons pour que l’Algérie reste française.

Lorsque son immunité parlementaire est levée, il s’exile.

Il ne rentre en France qu’après avoir été amnistié, six ans plus tard.

Après l’exil au-delà des frontières, il connaît l’exil intérieur.. »

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