autobiographies de femmes

« Maitre Isaline L3 Lettres modernes Dissertation « Mon idée d'une vraie féministe est une femme qui se sent suffisamment libre pour faire ce qu'elle veut.

» Lana Del Rey.

C’est ainsi qu’Eliane Lecarme-Tabone a pu parler de l’autobiographie des femmes comme se présentant sous la forme « d’un récit d’enfance et de jeunesse fortement structuré », retraçant « fermement un itinéraire personnel de la libération qu’une dialectique du particulier au général protège du danger du narcissisme ».

Mme. Lecarme-Tabone nous dit ici : ces femmes à travers leur autobiographie nous trace leur parcours d’enfant à femme.

Et comment dans leur récit, écrit sous une forme qui permet l’identification, sont-elles arrivées à une forme de liberté.

Que peut-être le rôle des autobiographies ? C’est au pouvoir de celles-ci que nous allons s’intéresser.

Certes, l’autobiographie permet de raconter sa vie ou une partie de celle-ci.

Mais, elle permet avant tout de dénoncer une société.

En définitive, le combat des autrices est avant tout celui de toutes les femmes.

Pour traiter ce sujet nous nous apurions sur trois œuvres : Une femme de Sibilla Aleramo, Mémoires d’une jeune fille rangée de Simone de Beauvoir et enfin Dans ma peau de Doris Lessing.

Certes, l’autobiographie est un récit d’enfance, de jeunesse mais pas seulement.

Cela dépend de l’âge ou les autrices écrivent leur œuvre.

Plus elles écrivent tard, moins elles auront de souvenir de leur enfance ou jeunesse et se concentrera plus sur le temps où elles étaient. »