Analyse texte 8 Sido

« Texte 8: sido Introduction : Sido de Colette est un texte divisé en 3 parties/chapitre. Une œuvre autobiographique écrite en 1929, qui est un extrait, fait partie de la 1e partie de l’œuvre qui évoque sa mère qu’elle admire et qui est très présente dans ses textes.

Dans ce texte l’aube est un moment propice a la rêverie puisqu’il plonge le lecteur dans un univers poétique.

Les sauveurs des promenades matinales témoignent de vives émotions liée au jeune âge de Colette. Mouvement 1: le don de l’aube Mouvement 2: la naissance du jour Mouvement 3: les regards sur l’enfance Mouvement 1 La première phrase a une structure ternaire car c’est un éloge lyrique. Répétition de «étés», au pluriels: signe d’un récit qui se répète. Abondance d’adjectifs qualificatifs ( jaune, grands, chaud…) qui parler de le souvenir marquant de cette saison. Le jonc tressé ( métaphore ) rappel la blondeur de l’enfance. « étés presque sans nuits » allusion a la durée courte des nuits estivales et transitions au promenades à l’aube. « car » conjonction de coordination causale qui montre la célébration qui est centrée sur l’hobe c’est un moment important pour Colette « déjà » adverbe temporel qui souligne ici la continuité entre l’enfant et l’adulte qu’elle est devenu « Tant/ corrélation consécutive tant que » adverbe d’intensité qui est utilisé ici par corrélation avec la consécutive, cette coloration réunion insipide cette célébration de l’hobereau et de ça mère apte à donner le monde à son enfant La phrase est longue donc il y a une parataxe La description du paysage qui est accueillante, agréable ( fraise, cassis, groseille…) Phrase factuelle qui présente l’heure ( trois heure et demi ), le lieux, et le but de la promenade. Les terres maraîchères qui se réfugiaient, personnification. Dans ce premier mouvement la célébration est exaltée en un registre lyrique a travers la saison, l’aube et la figure maternelle Mouvement 2 Répétition de l’heure « trois heures et demi » ce paragraphe décrit l’atmosphère magique du moment en répétant l’heure et en la mettant en valeur en début de phrase Pronom indéfini « tout » ainsi qu’un lexique indistinct ( un bleu originel, confus, humide…) ceci évoque le caractère enchanter de l’aube qui sort de la banalité pour devenir le symbole d’une re création du monde « jambes, torse,.... »