analyse_linéaire_machine_infernale_jean_coqteau
Publié le 28/04/2024
Extrait du document
«
Premier mouvement
1) représentation sphinx :
-mythologie → corps de lion ailé + buste et tête de femme
-œuvre de Cocteau →jeune fille de 17ans vêtu d'une robe blanche
-Œdipe de ne reconnaît pas le sphinx à cause de son apparence
2) début du dialogue
-La jeune fille engage le dialogue → interrogation totale «avez-vous déjà tué» pour cerner son potentiel
adversaire
cette question renvoi a sa hantise «c’est atroce de tuer» cela va amener Œdipe à raconter le parricide qu’il
ne sait pas avoir commis
-son histoire commence par la mise en place décor avec une phrase nominale « Une fois » + temps du récit
(imparfait) + cadre spatio-temporelle « au carrefour où les routes de Delphes et de Daulie se croisent »
-début du moment fatale de l'action « Comme je croisais l’attelage, un cheval se cabre »
→ présent de narration =rend la scène plus vivante ce qui renforce l’hypotypose (Description animée et
frappante de la chose dont on veut donner l'idée.) «me bouscule», «me jette».
-un registre épique en découle « cheval se cabre », « les chevaux s'emballent » + lexique de la violence → «
lève la main », « répondre avec un bâton »
-situation initiale → « et je me retrouve seul […] et en cassant leurs jambes.
» -ressentit de Œdipe → aucune empathie+ méprisant « cet imbécile », (qui désigne le domestique) + absence de sentiment « je me trouve seul avec un le cadavre d'un vieillard qui saigne » +caractère accidentel du meurtre =conjonction de coordination « mais », « et » enfin Œdipe confirme tout de même l’horreur de cette scène « c'était atroce...atroce ». TRANSITION Second mouvement -réponse du sphinx → présent de vérité générale « c'est atroce de tuer » = attitude humaine qui l'oppose à son rôle originel attribuer par les dieux -Œdipe minimise son acte « ma foie ce n’était pas ma faute » + il explique au sphinx son objectif à travers 3 subordonnées conjonctive.... »
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