Analyse linéaire "Les Fenêtres" de Baudelaire

« Explication linéaire 4 : Baudelaire, « Les fenêtres », in Le Spleen de Paris ou Les petits Poèmes en prose, 1869. Introduction :  Accroche : Après avoir lu Gaspard de la Nuit de Aloysius Bertrand, Baudelaire s’essaie à la poésie en prose.

Il tente de rompre avec le classicisme et ainsi créer une modernité poétique en écrivant sur des objets du quotidien, dans ce cas, les fenêtres.  Auteur : Charles Baudelaire est un poète français né en 1821 et mort 1867.

Il s’illustre dans la poésie française avec des œuvres tel que Les Fleurs du Mal, qui révolutionnent la poésie classique de l’époque par un langage inconventionnel et des réflexions profondes sur l’Homme.  Recueil : La continuité entre les poèmes n’est pas narrative : chaque poème correspond à un tableau, un portrait, une rêverie ou une anecdote.  Poème : Dans ce poème, Baudelaire se déleste de sa propre souffrance en imaginant celle des autres, mais cela peut aussi être considéré comme un exercice de style que Baudelaire s’impose.

Il essaye ainsi de tendre vers une poésie moderne en s’éloignant du classicisme. Mouvement du texte :  Lignes 1 à 6 : Réflexions sur la fenêtre.  Lignes 7 à 11 : Vision d’une femme à la fenêtre.  Lignes 12 à 17 : Introspection du poète. Projet de Lecture : En quoi Baudelaire élève-t-il un objet trivial comme la fenêtre au rang d’objet poétique ? Mouvement 1 : Réflexions sur la fenêtre Phras e Citation Procédé Effet 1 « Celui qui » Forme proverbiale 1 « Du dehors » - 1 - Balancement dans la phrase centré par la virgule. 1 « Ne voit jamais autant de choses que celui qui regarde une fenêtre Paradoxe Le lecteur reconnait déjà le caractère proverbial des dires du poète.

Cela généralise le propos. Point de vue extérieur inhabituel du poète = modernité poétique. Cela apporte la symétrie de dans la phrase = Rythme. Il est préférable d’imaginer plutôt que de voir.

Philosophie. »