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analyse linéaire le portait de giton

Publié le 22/06/2024

Extrait du document

« I portrait physique. On voit un porttrait au sens pictural car il dépeint un visage et une posture comme le montre le champ lexicale de la physionomie « teint » « visage » « joues » « œil » « épaules » « estomac » « démarche ».

tout démontre un homme un pleine santé on retrouve chez lui une assurance que l’on voit grace à la solidité de sa posture. On retrouve un parataxe qui créer un effet d’accumulation qui donne qui souligne une fois de plus cette vigeure. II l’impolie domniation de l’espace social par Giton. On passe d’un portrait physique à un potrait plus sociologique car quand l’auteur dépeint les relations de giton avec les autres : « il parle avec confiance, il fait répeter celui qui l’entretient, et il ne goute que médiocrement tout ce qu’il lui dit » On remarque un dédain à l’égatd des qui gens qui lui parle est la première remaque dépréciative du portrait .

la répetion du pronom « il » témoigne de l’égocentrisme de Giton.

Cette répetion le rend omniprésent dans tout l’extrait ce qui donne l’impression qu’il ne penses qu’a lui ce qui le rend incapable d’avoir une discussion avec les autres. Son excès de confiance le mène à une impolitesse choquante.

« il déploie un ample mouchoir….

Il éternue fort haut » la répétion de l’adverbe intensif « fort » insite sur la grossierté qui répend autant sa salive que ses paroles.

il domine l’espace sans respecter la bienséance du 17e C’est un homme très riche car c’est au cœur de la partie « des biens de fortune » l’argent confèrerait aux individys une sorte de passe droit permettant de ne pas respecter les règles de la bonne société. Bruyère dénonce la corruption de la société.

La richesse de Giton ne semble pas le fruit d’un travail abondant comme le montre le parralélisme « il dort le jour/il dort la nuit » L’antithèse jour/nuit donne un effet comique car on a l’impression de Giton hiberne Le présent de l’indicatif a ici valeur de vertité génerale : il dépeint un homme à la paresse exemplaire. La brutère proche des principes chrétiens de merite par le travail, dénonce dans « des biens de fortune » les fortune qui s’érigent sans efforts, mais par l’habilité parfois malhonnete d’opérations fiscale et financières Meme lorsqu’il dort il dérange puisqu ’ il ronfle en compagnie » la société se repose jamais de lui on le remarque aussi car il domine l’espace et l’auteur le montre par le superlatif « plus…que » il incarne donc une aristocratie dominatrice « il tient le milieu… » le terme « égaux » est ici ironique.... »

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