Amour me tue de pierre Ronsard
Publié le 11/02/2022
Extrait du document
«
Pierre ronsard est un poète français né en 1524 et décédé le 1585 , issue d,une famille noble ,il a fait
des études pour une carrière militaire ,mais il y renonce malgré lui après une otite d,oreilles qui le
renda sourd a l,âge de 21 ans , alors il devint clerc a revenu constant, ce qui lui permettra de se
consacrer à l,art poétique, ensuite, il forma la brigade des poetes aves ses compatriotes comme
joachim , et grâce à lui ,la pleade sera connu pendant la renaissance, et il introduit le sonnet ,une
forme poétique italienne dans la littérature française, comme ce poème intitulé » amour me tue »
tiré du premier livre d,une de ces œuvres majeurs « les amours ».
Ce sonnet met en évidence la perception de l,amour par ronsard, d,ailleurs célèbre pour son lyrisme
et romantisme , il sera plus adequat de diviser ce poème en 2 axes,le premier se compose de 2
strophes,ou le poète évoque un amour plein de chagrin en image de sa bien aimé « Marie » et le 2
ème se compose des 2 tercets ,ou ronsard rêve d,une rencontre qui mettra à sa souffrance, la
problématique réside donc dans cette façon de dévoiler cet amour foudroyant déchirant et
inaccessible dans ce sonnet.
Tout d,abord ,on constate que les deux quatrins en decasyllabe sont à rimes unique ,riches,
majoritairement masculines ,avec cette asonance dans la reprise de la consonne R ,comme une
sorte d, enchainement du mot mentioner dans le titre » amour » mais aussi une douleur continue
jaillissant de son cœur, et le titre choisi et repris en premier vers « anaphore » appui clairement se
constat « amour me tue » une phrase complète et le verbe est au présent de l,indicatifs I qui est un
present d,énonciation donc le poète nous révèle son état d,âme pitoyable et lamentable, à cause
de cet amour qui le mène à la mort
Et ceci et mentionné par un euphémisme « je soupire,,martyre » ainsi que le champ lexicale de
souffrance qui renforce cette situation précaire « mal, mourir,secourir je soupire, guerir ,martyre »,
donc cet ,amour a eu un effet néfaste sur notre poète a cause de la peur et le doute de ne pouvoir
requérir sa bien aimé.
Dans la deuxième partie qui commence par « tait -toi longueur, je sens venir le jour » il y,a un
changement vers une modalite jussive, vue qui,il y,a l,impératif present,et le destinataire n’est que
« longueur « une personification en image de l,enmi redoutables du poète qui asombrie son avenir
,en remarque bien que le poète dans cette partie évoque un thème autre
Que l,amour ,c’est l,espoir et aussi parle d,un être autre que lui,qui est sa prétendu bien aimé « ma
maitresse » il faut dire que ronsard a toujours eu l,espoir dans ,l’autre d’ailleurs dans sa poesie c
,est ses amours qui l,ont inspiré et il leur a dédié plusieurs poèmes, en revenant au 3 ème vers de
ce tercet « voyant le soin qui ronge ma pensée « ici le poète montre un optimisme conditionel ,car
si jamais il y,a rencontre aves sa maîtresse elle sera bénéfique pour lui , apaisera sa douleur, et fera
disparaître son tourment.
Dans le dernier tercet qui commence par un adjectif d intégralité, « toute « met en valeur cette nuit tant attendue et désiré d,être enfin dans les bras de son amour ,car une seule nuit est largement suffisante pour apaiser sa peine et son chagrin . Pou conclure ,en voit bien que ce sonnet a remplie sa tache et ,l’histoire d,amour que nous raconte ronsard dans ces vers est d’une fluidité et harmonie ingenieuse L,amour c,est la vie cert mais ici ronsard nous a présenté un amour dangereux néfaste qui détruit la santé et honte l,esprit mais change d,effet une fois qui il est partagé avec la bien aimé et permet de reprendre goût a la vie.. »
↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓
Liens utiles
- Analyse linéaire du poème « AMOUR ME TUE … » de Ronsard
- Mignonne - Pierre de RONSARD
- Carnet du Lecteur Mignonne, allons voir la rose de Pierre de Ronsard
- « Poésie ! ô trésor ! perle de la pensée! [...] 0 toi ! des vrais penseurs impérissable amour ! Comment se garderaient les profondes pensées, Sans rassembler leurs feux dans ton diamant pur Qui conserve si bien leurs splendeurs condensées ? Ce fin miroir solide, étincelant et dur, Reste des nations mortes, durable pierre Qu'on trouve sous ses pieds lorsque dans la poussière On cherche les cités sans en voir un seul mur. » (Vigny, La Maison du Berger.) Vous dégagerez la définition de la
- Pierre de Ronsard, Discours des misères de ce temps, à la Reine Mère du Roi, vers 127 à 166. Commentaire