Alfred Adler

« La psychanalyse est pratiquée par les psychologues depuis plusieurs années.

Évidement, chaque psychologue a sespropres théories, ses propres méthodes.

Le prochain travail traite d’Alfred Adler, un psychologue pas aussi connuque Freud ou Jung dans le domaine de la psychanalyse mais qui a cependant apporté sa propre contribution audomaine.

Vous apprendrez davantage sur certaines théories les plus marquantes comme; sentiment d’infériorité,ordre de naissance et personnalité.

Biographie Alfred Adler(voir Annexe 1) est né à Vienne en 1870.

Il était le deuxième enfant de sept enfants, ce qui ainfluencé ses théories.

En 1895, Adler reçoit son diplôme de médecine de l’Université de Vienne.

En 1902, Adler sejoint à la société psychanalytique de Freud.

Durant ces années, Adler est connu comme étant le disciple de SigmundFreud.

Toutefois, après plusieurs désaccords entre Adler et Freud, Adler décide de quitter la sociétépsychanalytique en 1911.

Il a été le premier à quitter mais pas le dernier! En 1912, Adler crée l’école de la« Psychologie Individuelle », le nom a probablement été choisi pour qu’Adler puisse se différencier en tant quepsychologue indépendant dans sa recherche et pour surmonter son propre sentiment d’infériorité.

Adler était plusconcerné par le dépassement de la dynamique d’infériorité/supériorité.

Il est le premier à jeter les divanspsychothérapeutes et les remplacer par deux chaises.

Alfred Adler meurt en 1937. Sentiment d’Infériorité Selon la théorie d’Adler, tout le monde est né avec un sentiment d’infériorité.

Nous commençons nos vies comme unenfant faible, sans défense. [1] Pour surmonter ceci, nous essayons de devenir plus supérieures que ceux qui nous entourent.

Adler appelait ceci La quête de supériorité. Il voyait ceci comme la force motrice de toutes les pensées humaines, les émotions et les comportements.

Adler explique que c’est le sentiment d’infériorité qui donne un but àla vie humaine.

Il avance que l’être humain se dirige vers un certain domaine dans la vie pour surmonter sonsentiment d’infériorité.

Adler croit que c’est les premières années d’un enfant qui montrent les premiers indices deces pulsions. [2] L’enfant démontre le désir d’être au premier rang, d’obtenir l’attention des parents ce qui poussent ses pulsions.

Adler croit qu’une personne qui se sent inférieure, elle essaie de compenser.

Par exemple, un individuqui se sent inférieure dans un domaine va essayer de s’améliorer dans ce domaine, ou va se concentrer dans unautre champ, pour compenser son infériorité.

Adler étudie Napoléon Bonaparte pour prouver sa théorie. Cependant, Adler croit que l’excessivité du sentiment d’infériorité va avoir des effets négatifs.

Son excessivité laissecroire à l’individu qu’il est moins important que les autres, qui en conséquence, lui donne un sentiment de désespoir.Sans une motivation à lutter pour la supériorité, la personne est laissé incomplète. Ordre de naissance Adler croit que l’ordre de naissance d’une personne a une grande influence sur sa personnalité (il était le deuxièmede sept enfants).

Dépendamment où se situe un enfant dans l’ordre de naissance, l’enfant va subir un« détrônement » ou « l’indulgence excessive ».

Le « détrônement » se passe lorsqu’un enfant reçoit toutel’attention de ses parents jusqu'à l’arrivé d’un autre enfant.

Ceci cause un sentiment de « détrônement » car il n’estplus le centre le l’attention.

« L’indulgence excessive » est lorsqu’un enfant reçoit le plus d’attention de ses parents.Adler associe des traits spécifiques à chaque enfant.

Pour l’enfant unique, il dit que cet enfant est toujours lecentre de l’attention et aime cela.

Cet enfant subit « l’indulgence excessive » qui fait en sorte que cet enfant estplus égocentrique et ont de la difficulté à faire des compromis et à partager car ils n’ont pas développé l’interactionavec un frère ou une sœur.

Positivement, ils sont habituellement plus intellectuels.

Adler dit que les premiers né sontles enfants qui subissent le « détrônement ».

Il présume que ces enfants se sentent plus autoritaire et ont plus deleadership car ils sont souvent laissé à s’occuper des autres enfants.

Il croit que ces enfants sont plusresponsables.

Dans le cas du deuxième, Adler croit que cet enfant est perçu comme un rebelle, surtout s’il se sentmoins important que les autres.

Ils sont plus indépendants et compétitifs, surtout envers le plus vieux.

Positivement,cet enfant est plus créatif et expressif.

L’enfant du milieu est indépendant comme le deuxième, mais plussympathique.

Ils ne sont pas le centre de l’attention mais cela ne les dérangent pas.

Ces enfants s’adaptent plusfacilement et ont des bonnes compétences sociales.

Finalement, pour le dernier né, il subit « l’indulgenceexcessive ».

Ils sont habitués de toujours avoir tout de leur manière.

Ils sont perçus comme des enfantsirresponsables.

Adler suppose que le dernier né est charmant et aventureux. Personnalité Adler suppose que la personnalité d’une personne est créée par les attentes que cette personne à pour le futur. [3] Adler croit que la perception qu’à la personne pour le futur (fiction), est l’inspiration pour toutes actions que cet individu fait.

Adler fonde l’école de « psychologie individuelle » car il croit que chaque personne est uniqueet a une personnalité unique.

Il dit qu’une personne doit rester cohérente et s'oriente vers un but. Adler croit que l’intérêt social est non seulement important pour la survie humaine, mais joue un rôleimportant pour définir un trait de personnalité d’une personne.

Pour lui, l’intérêt social qu’a un enfant est la mesurela plus importante pour déterminer sa santé psychologique.

Adler présume que l’environnement social d’une personnepeut modérer ses prédispositions innées.

Adler pense aussi que le style de vie d’un individu influence ses traits depersonnalités (ceci inclus aussi ses buts de vies, perception de soi, etc.).

Il explique que par l’âge de 5 ans, le stylede vie d’une personne est plus au moins défini.

Même si la personnalité d’une personne est définie par le style devie, Adler croit que chaque personne a l’habileté de choisir sa propre personnalité.

Il appelait cela le « pouvoir. »