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ALALC

Publié le 16/05/2020

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« 1 / 2 ALALC 1 Le 18 fevrier 1960, sept pays d'Amerique latine (Argentine, Bresil, Chili, Mexique, Paraguay, Perou et Uruguay) signent le Tralte de Montevideo, creant l'Asso- clation latino- americaine de libre commerce (ALALC).

Depuis, l'Equateur, la Colombie et le Venezuela ont adhere a Ia nouvelle institution, qui rassemble ainsi tous les pays du continent a !'exception de ceux de l'Amerique centrale (dont le marche commun est plus avance) et de la Bolivie.

2 Le but de l'ALALC est d'augmenter les echanges entre les pays membres, !Integration etant reconnue comme un moyen de developpement scatter& En Amerique latine, le rythme de Ia croissance economique tend a baisser, en partie a cause de !'explosion demo- graphique.

L'ALALC pretend rendre les echanges plus rationnels, et diminuer la dependance a regard du commerce international.

3 Les debuts de ('association se heurtent vite a de fres nombreuses difficultes.

L'ALALC est davantage une ebauche d'unlon douanlere qu'un marche commun.

Des negotiations annuelles portent sur retablissement de listes de produits dont les droits de douane sont pro- gressivement abaisses.

Ainsi, en cinq ans, le commerce intercontinental avait augments de 15 p.

100 et des accords sur les transports et les compensations bancaires avaient ete signes.

Neanmoins, le total actuel des echanges entre pays latino-americains ne represente encore qu'une falble partie de leur commerce global, et Ia dependance vis-a-vis des marches internationaux a eu tendance a augmenter.

4 En 1966, l'ALALC cite un Conseil des minlstres, mais celui-ci n'a pu et ne pourra resoudre aucun problems essentiel tent que les grands pays membres (Argentine, Mexique, Brea) se refuseront au molndre abandon de ALALC 1 Le 18 février 1960, sept pays d'Amérique latine (Argentine, Brésil, Chili, Mexique, Paraguay, Pérou et Uruguay) signent le Traité de Montevideo, créant l'Asso- ciation latino-américaine de libre commerce (ALALC). Depuis, l'Équateur, la Colombie et le Venezuela ont adhéré à la nouvelle institution, qui rassemble ainsi tous les pays du continent à l'exception de ceux de l'Amérique centrale (dont le marché commun est plus avancé) et de la Bolivie.

2 Le but de l'ALALC est d'augmenter les échanges entre les pays membres, l'intégration étant reconnue comme un moyen de développement accéléré.

En Amérique latine, le rythme de la croissance économique tend à baisser, en partie à cause de l'explosion démo- graphique.

L'ALALC prétend rendre les échanges plus rationnels, et diminuer la dépendance à l'égard du commerce international.

3 Les débuts de l'association se heurtent vite à de très nombreuses difficultés.

L'ALALC est davantage une ébauche d'union douanière qu'un marché commun.

Des négociations annuelles portent sur l'établissement de listes de produits dont les droits de douane sont pro- gressivement abaissés.

Ainsi, en cinq ans, le commerce intercontinental avait augmenté de 15 p.

100 et des accords sur les transports et les compensations bancaires avaient été signés.

Néanmoins, le total actuel des échanges entre pays latino-américains ne représente encore qu'une faible partie de leur commerce global, et la dépendance vis-à-vis des marchés internationaux a eu tendance à augmenter.

4 En 1966, l'ALALC crée un Conseil des ministres, mais celui-ci n'a pu et ne pourra résoudre aucun problème essentiel tant que les grands pays membres (Argentine, Mexique, Brésil) se refuseront au moindre abandon de 2 / 2. »

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