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adam smith et le bonheur

Publié le 09/06/2024

Extrait du document

« Le texte pose la question de savoir comment le souci de notre propre bonheur et celui d’autrui peuvent nous guider vers la vertu.

Adam Smith suggère que nos envies égoïstes et bienveillantes sont à l’origine de notre pratique de la vertu.

Mais comment ces affections influencent-elles notre conduite ? Et quel rôle joue le « spectateur impartial » dans ce processus ? Nous allons voir dans un premier temps la relation entre le bonheur et la vertu selon l’auteur , puis nous regarderons le rôle du « spectateur impartial » 1 le bonheur et la vertu l’auteur distingue trois vertus : la prudence, la justice et la bienfaisance.

la prudence est recommandé par le souci de notre propre égoïsme , tandis que la justice et la bienfaisance sont recommandés par le souci du bonheur d’autrui.

ces vertus sont donc liées à nos affections égoïstes et bienveillantes. A.

La prudence La prudence est la première vertu , elle est recommandée par notre propre bonheur.

Cela suggère que la prudence est une vertu égoïste, qui nous pousse à agir de manière à maximiser notre bonheur. B.

La justice et la bienfaisance La justice et la bienfaisance sont recommandés par le souci du bonheur d’autrui.

La justice nous retient de nuire aux autre, tandis que la bienfaisance nous pousses à contribuer à leur bonheur.

Ces deux vertus sont donc guidées par nos affections bienveillantes 2 le rôle du « spectateur impartial » L’auteur introduit ensuite l’idée du « spectateur impartial », qui serait une sorte de juge intérieur.

Ce spectateur impartial nous guide dans notre pratique de la vertu et nous demande de rendre compte de nos action.

Il semble donc jouer un rôle important dans notre quête de la vertu et du bonheur A Le spectateur impartial comme guide Le spectateur impartial agit comme un guide, nous aidant à agir avecde la prudence, de la justice et de la bienfaisance afin d’obtenir un certain équilibre si nous nous en écartons le spectateur impartial nous demande de rendre compte de nos actions B.

Le spectateur impartial comme juge le spectateur impartial est également décrit comme un juge ou arbitre, qui nous reproche nos erreurs et nos manquement.

« ses reproches nous font souvent rougir intérieurement » l17, ce qui suggère que le spectateur impartial joue un rôle dans notre développement et dans nos actions future En conclusion, le texte suggère que notre quête de la vertu et du bonheur est guidé à la fois par nos affections égoïste et bienveillante et par le « spectateur impartial » qui réside en nous.

cela offre une vision complexe de la vertu humaine. Le texte pose la question de savoir comment le souci de notre propre bonheur et celui d’autrui peuvent nous guider vers la vertu.

Adam Smith suggère que nos envies égoïstes et bienveillantes sont à l’origine de notre pratique de la vertu.

Mais comment ces affections influencent-elles notre conduite ? Et quel rôle joue le « spectateur impartial » dans ce processus ? Nous allons voir dans un premier temps la relation entre le bonheur et la vertu selon l’auteur , puis nous regarderons le rôle du « spectateur impartial » 1 le bonheur et la vertu l’auteur distingue trois vertus : la prudence, la justice et la bienfaisance.

la prudence est recommandé par le souci de notre propre égoïsme , tandis que la justice et la bienfaisance sont recommandés par le souci du bonheur d’autrui.

ces vertus sont donc liées à nos affections égoïstes et bienveillantes. A.

La prudence La prudence est la première vertu , elle est recommandée par notre propre bonheur.

Cela suggère que la prudence est une vertu égoïste, qui nous pousse à agir de manière à maximiser notre bonheur. B.

La justice et la bienfaisance La justice et la bienfaisance sont recommandés par le souci du bonheur d’autrui.

La justice nous retient de nuire aux autre, tandis que la bienfaisance nous pousses à contribuer à leur bonheur.

Ces deux vertus sont donc guidées par nos affections bienveillantes 2 le rôle.... »

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