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À la manière de Voltaire, imaginez un ingénu du XXIe siècle et confrontez-le à une injustice ou un dysfonctionnement contemporain. Vous rédigerez un chapitre dans lequel vous décrirez avec précision les origines du personnage, le fléau auquel il est confronté, ses réactions face à cet évènement. Vous préciserez au préalable les registres choisis (épique, satirique, parodique, ironique).

Publié le 22/12/2021

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Ci-dessous un extrait traitant le sujet : À la manière de Voltaire, imaginez un ingénu du XXIe siècle et confrontez-le à une injustice ou un dysfonctionnement contemporain. Vous rédigerez un chapitre dans lequel vous décrirez avec précision les origines du personnage, le fléau auquel il est confronté, ses réactions face à cet évènement. Vous préciserez au préalable les registres choisis (épique, satirique, parodique, ironique).. Ce document contient 1166 mots soit 3 pages. Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système gratuit d’échange de ressources numériques. Cette aide totalement rédigée en format PDF sera utile aux lycéens ou étudiants ayant un devoir à réaliser ou une leçon à approfondir en: Français / Littérature.


« À la manière de Voltaire, imaginez un ingénu du XXIe siècle et confrontez-le à une injustice ou un dysfonctionnement contemporain.

Vous rédigerez un chapitre dans lequel vous décrirez avec précision les origines du personnage, le fléau auquel il est confronté, ses réactions face à cet évènement.

Vous préciserez au préalable les registres choisis (épique, satirique, parodique, ironique) . • Origines du héros => à vous de l’imaginer. Il peut venir d’une tribu Inuit, du fin fond de la Russie ou de la Chine, peut-être d’une autre planète ou d’une autre époque. Il faudra le décrire avec précision et montrer que ses manières peuvent différer des nôtres. Ex : « Un samedi de février de l’année 2008, M.

et Mme Danopi se promenaient tranquillement dans leur village.

Ils avaient acheté quelques fruits et légumes à la petite marchande qui venait toutes les semaines et du pain.

Leur chien marchait à leurs côtés, ravi de ce froid sec.

Le couple discutait de la politique, du remariage du président et de la vitesse à laquelle trop de gens roulaient dans le village.

Soudain, Mme Danopi poussa un petit cri : quelqu’un venait de lui tirer sa queue de cheval (c’était, malgré les protestations de M.

Danopi qui préférait que les cheveux de sa femme soient dénoués, sa coiffure favorite car en deux tours de chouchou, elle était faite).

Elle se retourna, furieuse, et se retrouva nez à nez avec un petit homme, tout menu et tout noir, vêtu d’un simple pantalon de toile et d’un collier, qui tenait dans une main son chouchou rose, et dans l’autre, un petit balluchon. – Non mais dites donc, Monsieur, comment osez-vous me tirer les cheveux, et qui-plus- est me prendre mon chouchou ? – Veuillez m’excuser Madame, je ne voulais pas vous importuner, je voulais simplement vous dire bonjour. – Bonjour ? en me tirant les cheveux ? Mais d’abord qui êtes-vous ? d’où venez-vous ? Vous n’êtes pas du village, il me semble. – On m’appelle Smerdia, ce qui veut dire « intéressé ».

Je suis originaire d’une petite tribu d’Afrique noire et je suis venu ici par bateau (il montre du doigt une des péniches amarrées au port du village).

J’ai toujours rêvé de découvrir le pays de Voltaire et d’Hugo.

Dans mon village, où il n’y a pas toutes ces grandes maisons ni de chiens aussi poilus (il montrait le beau colley de Mme Danopi) et où il fait toujours chaud, il y a des livres sur la France.

J’ai. »

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