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« La recherche du bonheur est-elle illusoire ? »

Publié le 01/10/2022

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« « la recherche du bonheur est-elle illusoire ? » Intro : En philosophie, lorsque l’on s’interroge sur le bonheur on réalise très vite qu’il y a un paradoxe c’est que tous les êtres humains désire le bonheur mais personne n’est d’accord sur la définition de ce qu’est le bonheur.

Nous aurons autant d’exemple que de personne concerné.

Sénèque : « tous les hommes veulent le bonheur mais dès qu’il s’agit de le saisir tous ont un nuage devant les yeux.

» Le but de la vie de plusieurs personne est d’être heureux mais rien ne garantit que cette recherche du bonheur nous fasse agir de la bonne manière.

L’objet du bonheur est totalement flou.

Cette recherche du bonheur pourrais devenir dangereuse.

La recherche du bonheur ne garantit pas de bien agir dans la mesure ou le bonheur à servit à justifier les pires erreurs et les pire crimes.

Le désespère qui ce suicide considère que c’est son seul moyen d’atteindre le bonheur. Blaise pascal « tous les homme recherchent d’être heureux. Cela est sans exception quelques différents moyens qu’ils y emploient.

Ils tendent tous à ce but (…)la volonté ne fait jamais la moindre démarche que vers cette objet.

C’est le motif de toutes les actions de tous les hommes jusqu’à ceux qui vont se pendre.

» A notion de bonheur peut rentrée en conflit avec la notion de devoir.

Si on place la notion de bonheur comme le but de l’existence, comment expliqué que certains individus soit capable de sacrifier leur bonheur pour autrui.

Le devoir peut amener a sacrifier sa propre personne pour autrui. La chose plus élevé pour certain est le devoir envers autrui PB : est il légitime de considérer le bonheur comme la fin de notre existence ? Le bonheur est-il susceptible d’une définition objective quelles sont les conséquences pour la société d’une recherche purement individuelle du bonheur . I. L’impossible définition universelle du bonheur. A.

Le caractère inconsistant de la notion. - Le bonheur n’est jamais qu’un état subjectif de bien être qui ne correspond à aucun objet du monde réel.

Être heureux se n’est jamais qu’être bien avec soi-même.

Être bien avec soi-même ça ne garantit pas que nous avons raison d’être heureux On pourrait tout à fait se contenter d’assimiler le bonheur à un sentiment de bien être durable.

Mais nous allons réaliser un test qui va montrer les limites d’une telle doctrine. ROBERT SPAEMANN  attaché sur une chaise 1er hypothèse : si on accepte la proposition d’être attaché sur la chaise, cela veut dire que l’on considère le bonheur comme un état purement psychologique et purement subjectif, le bonheur est h24 la et perd de sa valeur.

Un tel état de bonheur absolu nous empêche de ressentir le moindre manque, hors le bonheur n’est possible que dans la satisfaction d’un manque donc il y a à nouveau un paradoxe. 2eme hypothèse : on accepte pas car le bonheur répond à des conditions objectives minimale.

Par exemple il n’y aurait pas de bonheur sans exo de la liberté.

Une telle position doit nous amener à admettre qu’il est nécessaire de définir ce qu’est une vie bonne. on peut par ailleurs considérer aussi que le bonheur est notion purement négative.

Certains philosophe développent une vision extrêmement pessimiste certains philosophe vont remettre en doute soit l’existence même du bonheur, soit ils vont affirmer que le bonheur ne peut être définis non par ce qu’il est mais enfaite par ce qu’il n’est pas.

Le bonheur = l’absence de malheur.

C’est une définition minimale du bonheur. Contrairement au bonheur, l’expérience du malheur est beaucoup plus facile à définir, la mort la souffrance sont des malheurs qui sont universellement reconnu comme tel.

Si nous définissons le bonheur comme l’absence de malheur, on évite tous les obstacles précèdent puisque pour le coup on tous s’entendre sur le fait qu’éviter la mort et la souffrance est un bien.

Par contre c’est une définition du bonheur qui sera très modeste.

Une telle conception s’oppose totalement à l’idée que l’on se faisais du bonheur dans l’antiquité ou on voyait le bonheur comme une plenituque = je suis heureux bien et je même une vie bonne et enviable. 1) Vouloir, privation, satisfaction, désir, contentement, satisfaction. 2) Être heureux n’est qu’éphémère, le désir est un cercle vicieux 3) En somme l’auteur émet une critique au désir satisfait, celui-ci tend à penser que la plénitude nous met dans une situation de manque la connaitre une fois ne fait que nous en rendre dépendant, lorsque celui-ci disparais on est alors plus que déçu.

Être satisfait un si petit laps de temps n’est enfaite que privation car on se retrouve vite face à la réalité. Synthèse texte 1 : Dans le texte n°1, SCH montre qu’il existe un rapport étroit entre le désir et le bonheur, d’un coté le désir est la force naturelle qui pousse tout être vivant à agir et à persisté dans son être (se reproduire et ne pas mourir).

Il semble donc que le désir soit une condition de l’accomplissement et de la satisfaction.

Cependant le désir est aussi le signe de la souffrance et de la privation, la condition humaine c’est d’éprouver le manque.

Il n’est pas possible d’atteindre un bonheur durable si ce n’est en ce libérant du désir.

L’auteur dira que c’est l’extinction du désir qui peut mener au bonheur sauf que cette extinction n’est pas possible totalement. B.

Le bonheur entre hasard et injustice Il n’existe pas de méthode pour atteindre le bonheur ce qui prouve d’ailleurs que le bonheur n’est pas une notion rationnelle.

Si le bonheur était une notion rationnelles on serais capable de le définir et d’expliquer comment le définir. Dans le film compte d’été.

Le personnage principal, cherche à rencontrer Lena en se laissant guider par le hasard.

Il ne connait ni son adresse ni son numéro et espère simplement une rencontre sur son lieu de vacance.

Gaspard à compris que la recherche du bonheur ne répondait pas à l’application d’une recherche rationnelles.

Un philosophe ancien comme Sextus emrinicus prenais l’exemple suivant : un jour un peintre cherchait a représenter l’écume qui sort de la bouche d’un cheval mais il n’y parvenait pas alors de rage il a saisi son pinceau et lancer sa peinture sur le tableau formant la parfaite écume du cheval, pour se l’homme qui cherche le bonheur est comme ce peintre, seul le hasard et la fortune peuvent l’y aidé.

Chercher le bonheur ne sert à rien puisque c’est le hasard plausible. D’autre philosophe ont critiqué la recherche du bonheur paracerque ils assimilent le bonheur à l’inaction (ce que nous dit SCH aussi) hors ne pas agir c’est également ne pas agir var le bien.

Dire du bonheur qu’il est de l’ordre du repos cela veut pour ainsi dire que le bonheur peut être égoïste le bonheur impliquerai alors de ne se soucier que de soi même éventuellement dans le meilleur des cas ne pas nuire à autrui mais ne pas non plus agir favorablement vers autrui. 1) Agir pour sois même 2) Agir pour autrui 3) Agir pour le bien publique Le bonheur rendrais apathique c’est ce que nous affirme le texte 2 (KANT).

La nature à placer l’homme comme un être actif et qu’on ne saurait/ pourrait être jamais totalement satisfait.

Si le bonheur était l’inaction et la plénitude et bien pour lui se serait une forme d’immobilité qui ressemble à la mort.

La vocation de l’homme est d’agir. D’autre philosophes encore ont soulignés que le bonheur peut très bien s’accompagner de l’injustice et qu’un être humain mauvais peut très bien être heureux. Une des questions qui a le plus agité l’esprit humain est celle de savoir pourquoi le juste peut être malheureux tandis que l’injuste peut être heureux ? Cette question a d’abord suscité des réponses d’ordre religieux parce que dans ce cadre une telle situation relève d’un scandale théologique.

Dans le livre de job plusieurs réponses sont apportés mais aucune ne semblent être définitive.

A la même époque les philosophes grecs vont se poser la même question mais d’un point de vue complétement diff : comment ce fait il que dans un cosmos ordonné une nature parfaite il puisse y avoir un tel désordre dans les affaires humaine, comment ce fait il que la police soit autant en promis à la justice Par exemple Platon va ce demandé dans quelle mesure l’homme injuste peut être heureux et donc dans quelle mesure la sagesse philosophique ne peut pas proposer une solution a ce pb qui est quand même très préoccupant. Dans le texte n° 3 Intitulé Gorgias Socrate dialogue avec un de ses antagoniste les plus fameux Calliclès Calliclès représente le jouisseur celui qui pense que le dépend du plaisir qu’il faut recherché à la fois l’accumulation et l’intensité des désirs et les satisfaire Le pb de la position de Calliclès c’est quelle peut être considéré comme la vérité absolue et dans d’autres passages du texte Calliclès affirmera aussi que la justice =force Socrate oppose l’Ideal de l’homme mesuré va adapter ses désire à des besoins raisonnable et donc il va atteindre un état de plénitude totale II. La recherche du bonheur est légitime.... »

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