ORMESSON Jean d' [Jean LEFÈVRE, comte d'] 1925
Normalien, agrégé de philosophie, il a géré la revue Diogène depuis 1952, et dirigé Le Figaro de 1974 à 1977, poste qu'il résigna après que le journal eut été racheté par le groupe Hersant. Auteur d'un certain nombre d'ouvrages, qui ne manquent pas de fantaisie, à l'occasion (ainsi, Le Vagabond qui passe sous une ombrelle trouée, 1978), et d'une solide (et chaleureuse) biographie de Chateaubriand, en 1982. Son plus beau titre de gloire pourrait bien être, académicien depuis 1973, d'avoir favorisé l'entrée de la première femme à l'Académie, Marguerite Yourcenar.
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- « Le journaliste s'occupe du temps qui passe, l'écrivain du temps qui dure. Le journaliste s'intéresse à l'urgent et l'écrivain à l'essentiel, et il est bien rare que l'urgent et l'essentiel se recoupent ». Commentez et discutez, en vous appuyant sur des exemples précis, ce propos de Jean d'Ormesson.
- LA PEROUSE, Jean-François de Galaup, comte de (1741-1788)
- Jean 1925.
- JOINVILLE, Jean, sire de(1224-24 décembre 1317)ChroniqueurIl est le fils du sénéchal des comtes de Champagne, Simon de Joinville,et de la fille d'Etienne III, comte d'Auxonne, Béatrix, elle-même cousinede l'empereur Frédéric II.
- Jean-Baptiste Gay, comte de Martignac1778-1832Ce Bordelais est, en1798, le secrétaire de Sieyès et il est à bonne école, puis il retourne dans saville natale exercer son métier d'avocat.