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Notre désir de savoir est-il satisfait par les sciences ?

DIRECTIONS DE RECHERCHE • Y a-t-il lieu d’inclure dans une réflexion strictement adaptée au sujet précis posé la question de savoir si notre désir de savoir peut (pourra) être satisfait par les sciences? • Problème(s) posé(s) par l’évolution des sciences. En quoi cela a-t-il une incidence (ou des incidences) en regard.de la question posée? • Qu’est-ce que ce notre peut désigner? « L’homme », tel ou tel homme? • Est-ce que les sciences telles qu’elles sont constituées (et constituables) peuvent répondre à l’ensemble des problèmes que « nous » pouvons nous poser ? — Ne sont-elles pas constituées de telle façon qu’elles ne peuvent que répondre à certains types de problèmes (à élucider) Cf. Le commentaire du sujet La philosophie a-t-elle un objet propre ? • Quelques « exemples » (même si « la philosophie » entre autres n’est pas capable éventuellement de répondre à ces questions). — La science ne manquerait-elle pas l’Homme? (Si, << l’homme » égal, moi unique et irremplaçable). — La science ne manquerait-elle pas l’Être? Cf. Heidegger Introduction à la métaphysique (PUF). Les sciences renoncent à l’absolu du fait même qu’elles s’imposent de circonscrire les problèmes, qu’elles posent certaines interrogations spécifiques. — La science ne marquerait-elle pas la signification des faits ? En ce que la Science n’atteindrait que l’accident. En ce que la Science ne viserait que l’objectif. — La science peut-elle fonder les valeurs (alors même qu’elle repose sur certaines valeurs)?

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